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TEL. 201 108
VOL. XXXVI--No 25
Tout Canadien devrait parler les deux langues officielles du pays jee.
QUEBEC M. Beverley Baxter, journaliste et député consérvateur à la Chambre des communes d'Angleterre, Ca-
nadien né à Toronto, parlant récemment devant les membres | pius conscience de l'importance de [leur pays dans les affaires mon-
du club Canadien et du cercle des femmes canadiennes, au châtéau Frontenac, a évoqué le brillant avenir qu'il prévoyait s d'orine, le Cine-2......mmmmmmmmmmétnimhent |
chaines an-
da . : née I1 s'est dit d'opinion que M. Baxter
cha ; connaître | tournée à travers le pays, après et langues ofti- |Queiques paroles de remercie- L ais et l'an. |Mments en français, s'est dit émer- gla veitl é de
ce qu'il a vu au Cana-
Ralliement diocésein bien réussi à St-Paul
manifestation de foi.
ST-PAUL, Alta — Le 2 octobre a marqué le point culmi- nant de la Croisade en faveur de la récitation du Rosaire en famille dans le diocèse de St-Paul, Alta. La manifestation a groupé environ cinq mille diocésains au terrain de jeu de la ville de St-Paul. Des représentations nombreuses vinrent de ions du #
1
11 nré_ isidence de à Pre” | Baudoux,
| Prenait aussi
toutes les paroisses et miss diocèse La cérémonie tai t sous
S, Exc. Mgr Maurice évêque de St-Paul. art à la cérémonie, S. Exc. Mgr Francis Carroll, évé- que de Calgary. M. le Dr Gilles AyoRs, de ÉAnnyville, remplissait | b rôle de maître de cérémonies,
Directeur
Cortège imposant
Le cortège se forma en face de l'église-cathédrale et se mit en branle à 3 h. 50, Prenaient part au cortège, notamment, les enfants de St-Vincent, en costume de | choeur, cent cinquante jeunes fil- [les de dix différentes paroisses, les Enfants de Marie du diocèse, les religieuses, MM. les maires des villes et municipalités du diocèse de St-Paul, les membres du clergé tant séculier que régulier au nom- bre de 35, LL. EE. NN. SS. Mau- rice Baudoux et Francis Carroll, les Chevaliers de Colomb, for- mant la garde d'honneur de Leurs Excellences, le char de triomphe de la Vierge, accompagné par les membres de la maîtrise des petits chanteurs de Notre-Dame de St- H | Paul, puis les fidèles des différen- tes paroisses.
Orateurs Le premier É-ge À à être pré- der Maurice de St Paul, puis
ce senté fut S. Exc.
M. Chartand Prud’homme, St-Boniface, Man, vient d nommé directeur général des] élections pour la province du Ma- nitoba.
Le nouveau directeur des élec- tions était enregistreur des com- pagnies dans le bureau du secré- taire provincial. |
M. Prud'homme, arcien élève du collège son baccalauréat ès arts de l'Uni- | faire versité du Manitoba en 1926. Il Coeurs, fut reçu avocat en 1930, puis en- tra immédiatement dans le service civil provineial,
M. Prud'homme est trésorier l'Association d'Education des Ca- n \diehs- Français du Manitoba. |
Draeus. ane ce fut S Mer Evêque de Calgary, et pu J'abbé Haw- ryluk, prêtre du rite orlentél y ré de Glendon, qui à parl ukrainien. S. Exec, Mgr
régner la allocution:
sera gouvernée par les tyrans’”, [Suite à la neuvième page]
L’ inséminetion artificielle est immorale, dit le Pape
CASTELGANDOLFO — Sa] Saintété le pape Pie XII a déclaré récemment que l'insémination ar- tificielle est immorale et condam- nable,
exception que lorsque l'interven-
tion du médecin est nécessaire | decin est nécessaire pour aider la “pour aider la nature” dans le ma- | nature. L'Eglise considère dans ce riage. Le Saint-Père a fait cette |cas l'insémination comme l'achè-
déclaration au cours d'une audien- ce de deux heures qu'il a accor- | dée aux délégués du quatrième congrès international des méde- | cins catholiques. Les autorités du | Vatican ont dit que le texte des emarques du Souverain Pontife ra publié sous peu.
Le pape « souligné que l'insé- | son enfant.
sc
me D insista notamment sur la néces- sité de la prière et, particulière- de St-Boniface, obtint | ment, de la prière en famille pour dans la famille et dans la société, D'autre part, S. Exc. Mgr e | Carroll prit pour thème de son ‘A moins que la so- de |ciété ne soit régie par Dieu, elle
mination artificielle doit être ré- prouvée surtout si elle est prati- quée en dehors du mariage. Mé- me dans le mariage, cette prati- que est illicite et condamnable. Il Il a ajouté qu'il ne peut y avoir |n'y a qu'ine seule exception et | c'est lorsque l'intervention du mé-
|vement du travail de la nature.
Pie XII admet que les médecins adoucissent les souffrances de la |maman à la naissance à la condi- tion que cela ne mette pas en danger la vie de la mère ou de l'enfant, et que cela n'altère pas Iles sentiments de la mère pour
WINNIPEG, Man.
|
ipremier plan.
qui revient d'une |
| jourd” hui,
}glement de bien des problèmes.
|pour gagner l'âme des Canadiens”. Plus de 5,000 personnes participent à une touchante |
| la
|
NOTRE FOI, NOTRE LANGUE!
DIEU ET MON DROIT!
WINNIPEC, MAN., VENDREDI 7 OCTOBRE 1949
da au cours de son récent voyage, Les Canadiens, dit-il, on le cons- tate partout, prennent de plus en
diales et ils ont raison d'y récla- mer de jour en jour une place de Canada, c'est certain, en est rendu à l'âge adui- te comme nation.
Parlant des troubles économi- ques qui assaillent le monde au- M. Baxter a déclaré que le Canada tient la clé du rè-
“J'ai constaté, dit-il, que quelque chose est survenu dans ce gr Las et que le Canada commence à penser à lui-même. Une bataille formi dable se livre entre la Grans | de- Bretagne et les Etats-Unis
Deux unités monétaires
À cause de cela, a suggéré le député anglais, il serait possible que le Canada adopte deux unités monétaires, la livre sterling et le dollar comme moyen de combler différence entre les deux blocs. “Je ne puis comprendre, a ajou- té l'orateur, pourquoi trois grands peuples comme les Anglais, les A- méricains et les Canadiens, qui se sont si bien entendus durant la guerre, ne pourraient pas em- ployér le même esprit dans le rè- glement de leurs problèmes éco- nomiques, nroblèmes qui sont les mêmes, pratiquement, dans les trois pays.
“Cependant, cette union devrait s'arrêter au plan économique car ce serait une erreur de conclure une entente politique. Les peuples ont le droit de choisir la forme de gouvernement qui leur convient, comme l'Angleterre l'a fait en 1945, en élisant un gouvernement socialiste.”
M. Baxter est d'opinion que ja récente dévaluation de la livre sterling n'a-pas réglé les problè- mes de son pays. Il a reproché au
ERLLLLE 1)
de dons de livres trés de l'Europe.
ên Elections
prochaines au Manitoba
gouvernement actuel, non pas les| WINNIPEG -— Le premier mi- réformes apportées au régime du |nistre du Manitoba, l’hon. D, L. pays — certaines sont bonnes — | Campbell, a ord pour le*10
mais la rapidité avec laquelle le gouvernement les a imposées au pays. Il a ajouté que les Anglais sont un peuple fatigué et qu'ils ont besoin d'un peu de chance, d'une nourriture meilleure et plus abondante. Malgré tout, ils sont restés le même peunb que celui qui a fait face à l'ennemi en 1940,
même tem semblée ! membres au lieu de 55.
prése
Maître-ès-séiences
au 5 mé res La proc
lative du du Manito qui en sera
Tieu de 10 de la ville de
comptait 10 dépu
nelle.
On trouvera dans cette édition les rubriques suivantes:
Article de Thomas Greenwood P.1
Chronique sportive Pp2 Chronique parlementaire P2 Chronique et horaire de CKSB P2 Chronique internationale . “PA Billet par VIllettré . P3
Classification du cinéma Histoire du Canada en 7e ; Prix du marché _
Histoire du Manitoba, par G.-J, C.
Radio Française Ô Courrier de Louise . Problèmes de Bridge Autour des Mots :…. Boîte aux Questions Propos Agricoles Le Coin du Collège Nos Mots Croisés … Comiques … à Page Littéraire Feuilleton
TQ-
Le P. Paul Labarre, SJ. fesseur de botanique au Collège de St- Boniface, vient de recevoir le degré de maître-ès-sciences à la collation des grades de la Fa- culté des Sciences de l'Université
de Montréal. Déjà licencié-ès- sciences depuis plusieurs années, le R. P. Labarre fit comme tra- vail de maîtrise une étude écolo- gique et systématique d'un grou- pe des algues vertes. Il vérifia les conditions de vie des Oedogonia- les et établit l'existence de 38 es- pèces inconnues jusqu'à ce jour au C a.
novembre prochain la tenue des élections provinciales, révélant en
que la prochaine As- gislative compterait 57
C'est à la suite d'une séance de son cabinet que le premier minis- tre a annoncé la tenue des élec- tions générales dans la province, ntation des candidats aura lieu le jeudi 25 octobre, et le scrutin préliminaire se fera du 3
e Assemblée ra
ie
Auparavant, la ville de Winnipeg représentant toute la ville; MAlS, F« l'avenir, el- le sera divisée en trois circons- criptions électorales — Winnipeg- Nord, Centre et Sud — chacune ayant quatre représentants à la législature, Ces représentants se- ront désignés par un scrutin basé sur la représentation proportion-
leur seront envoyés demande des contri vent être envoyés aux quartiers de “Care”, à New-Y ork, ou à ses succursales. (NC)
|leux aussi,
Rayons vides à la Bibliothèque de Louvain
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EE TEE ÉDLLÉEET ES © ISARAES 6 SRE ÉTPICO RE.
. SWERSRRR ES TERRE
Dans la salie de lecture de la Bibliothèque de l'Université de Louvain, une religieuse et quelques élèves font des recherches: on peut voir à l'arrière-plan les nombreux rayons qui sont encore vides de livres, à la suite des bombardements de la dernière guérre. Des bibliothèques de 14 pays bénéficieront organisation américaine de secours envers les sinis-
r “Care”, utions de livres techniques et scientifiques anglais, qui peu
Attentats des marxistes pour soviétiser la Pologne
VARSOVIE -- Le gouvernement communiste de la Pologne vient de lancer un programme de six ans destiné à “détruire l’âme de la nation, à pousser les enfants à l'athéis- me marxiste et à transformer la Pologne chrétienne en un
bastion d’impiété”, x
L'agence de presse inter-catho- le à rapporté dernièrement que le Politburo n'a rien négligé dans cette campagne, afin que “les jeunes Polonais soient entourés, dès leurs premières journées d'é- cole, et jusqu'à leurs années uni- versitaires, de pédagogues stric- tement communistes”,
de peuple polonais, si profon- dément catholique, a mis toutes
D 8 app et toute "Ron ingé- one ue ti e.
La résistance contre l’athéisme soviétique est révélée par le fait que le premier secrétaire du co- mité exécutif des ouvriers unis — communistes — Marian Rybicki, s'est plaint amèrement que les universités polonaises minent se- crètement l'influence de l'idéolo+ gie communiste, Ce personnage a cité comme exemple typique le cas de l'Université de Jagiello- nie, en Cracovie, Des 1,500 pro- fesseurs et assistants qui s'y trou- vent, 60 seulement appartiennent au parti communiste, et des 800 instructeurs piu: ‘eunes, 29 seu- lement possèdent des cartes de membres du parti. Les étudiants, fuient également le communisme comme la lèpre.
Le gouvernement use de repré- sailles par l'entremise de son “Union de la jeunesse polonai- se”, contrôlée par les communis- tes. On rapporte que les membres de cette union forcent les enfants à assister à des assemblées durant lesquelles on leur donne l'ordre d'émettre des “résolutions” con- damnant “le Vatican impérialiste et le clergé polonais réactionnai- re”
Des enfants ‘dénoncent les prê- tres, se plaignent de leurs parents quand ceux-ci leur défendent d'as- sister aux assemblées communis- tes, et accusent les religieuses d'élever la jeunesse polonaise en ennemie du peuple”, L'Union de
membres,
ner leurs a
en vue de.leur collectivisation,
ment
(Suite à la neuvième page)
Organisateur
ciation.
la Jeunesse délègue trois de ses des adolescents, dans chaque village, en vue d’espion- , ét afin d'inciter les paysans contre les autres ré- sidents et procurer ainsi des pré- textes pour confisquer les fermes
Pendant ce temps, le gouverne- lonais trompe les journa- listes étrangers en leur racontant la pus nm entrevue d'un groupe de prêtres polonais avec le prési-
M. Elphège St- Arnaud, ce Gra- velbourg, Sask., qui a° été nom- mé organisateur général de l’'As- sociation Catholique Franco-Ca- nadienne de la Saskatchewan par le Comité exécutif de cette asso-
Et 6" ET LE ES di ” À
PRINCE-ALBERT, Sask.
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PRIX: CINQ SOUS
Les films immoraux font
oeuvre de
‘sabotage
NEW-YORK -— Dans une entrevue avec les membres de
la presse intercontinentale catholique,
le célèbre auteur,
Thérèse Bonney, a affirmé que les films et reportages photo- graphiques américains, à tendances sexuelles, causent beau- coup de tort aux Etats-Unis, et font mépriser ce pays sur les
autres continents. x mple, elle cita le ré- % à, dE à dt TRErTe® conférence gé- sr pour une large part mur |lations culturelles qui existen nérale de l'Unesco, à Paris, où entre ce pays et les Etats-Unis.
l'ambassadeur polonais en France, Jerzy Putrament, attaqua la faus- se culture des Etats-Unis repré- sentée dans les films de Holly-
Thérèse Bonney est officier de la Légon d'Honneur et après la der- nière guerre, elle fut décorée de la Croix de Guerre avec palmes,
wood et les PONGAERRS :e, SULERe par le gouvernement français, et tion, Elle ajouta que “les immen- de l'ordre de —n Rose Blanche de ses ressources éducationnelles et Finlande. Elle était photographe culturelles du cinéma et de la delle de l'Armée ‘trancaisa photographie ont à peine com- officielle de l'Armée française.
c sv À e des s mencé à être utilisées, contraste] Mlle Bonney fut une des pre frappant avec le faux usage qu'on |Miéres personnes autorisées à en à fait jusqu’à présent”. Elle a | prendre des photographies à l'in- même qualifié ce faux usage de |térieur du Vatican. Quelques-u “sabotage”, soulignant les possi- | nes de ses photographies ont servi bilités constructives et illimitées | à illustrer une dizaine de pages que possède l'art cinématographi- | d'un grand magazine américain, que et plus tard furent publiées en un
Mile Bonney, qui a traversé | volume intitulé “Le Vatican” l'Atlantique plus de 110 fois, est Son livre le plus connu est ce- native de Syracuse, N.-Y., mais | pendant “Europe's Children”, re elle a passé la plus grande partie | portage sur les ravages de la
de sa vie en France. Elle a con- | guerre chez les enfants
KE Les assurances sociales
énéralisées aux E.-U. g WASHINGTON -— La commission budgétaire de la Chambre des représentants a préparé un projet de loi pour [la refonte du système américain d'assurances sociales institué {au temps de l’administration Roosevelt. La commission craint en effet que, à ia suite des nombreuses demandes récentes du
monde ouvrier aux grandes en-%-
treprises du pays pour la mise en pratique de systèmes indivi- duels de pensions et d'assurances, une situation “chaotique” n'existe dans tout le pays vis-à-vis du sys- tème fédéral.
Le projet de la commission vise surtout à augmenter le nombre des bénéficiaires actuels d'assu- rances sociales aux Etats-Unis d'environ onze millions de per- sonnes à 46 millions; les bénéfi- ces actuels des assurances socia- les seraient accrus en moyenne de 70 à 80 pour-cent et un nou- veau système d'assurances pour les personnes rendues totalement incapables de travailler serait inauguré.
Jusqu'à présent, le système a- méricain était fondé sur une par- ticipation égale des employés et employeurs qui remet falent cha- cun à l'administration des assu-
salaires se montant au maximum à $3,000 par an.
Selon le projet de la nouvelle législation la limite serait portée à $3,500 et les contributions des deux parties s'accroitraient selon le barème suivant: versement par chacun d'un et demi pour-cent au premier janvier 1950, de 2 pour-cent en 1951, de 2 et demi pour-cent en 1960, de 3 pour-cent en 1965 et de 3%4 pour-cent en 1970.
La commission, qui espère que les débats sur le projet de loi pourront commencer dès-mardi prochain en séance plénière, de- mande qu'il soit tel quel étu- dié par la Chambre, c'est-à-dire qu'il soit accepté ou rejeté pure- ment et simplement sans aucun remaniement.
On doute que le sénat ait le temps d'entreprendre” l'étude de cette législation à la présente ses-
rances sociales 1 pour-cent des
sion du congrès.
Le Souverain Pontife à Castelgandolfo
Par Thomas GREENWOOD (Spécial à ‘’La Liberté et le Patriote}
+ A l'horizon s'estompent le Les champs et les vignes se mausolée circulaire de sainte succèdent. Et nos compagnons de route racontent de piebses
Cécile Netellia et les jalons his- toriques de la Voie Appienne. Rome est déjà loin, et notre pe- tit tramway roule tranquille- ment dans la campagne ro- maine, qui s'étend à perte de vue jusqu'à la mer et jusqu'aux castellis vers lesquels nous nous
expériences et discutent avec dirigeons, Quelques habitants
admiration les mille activités pontificales, Le décret du Saint- Office contre le communisme est encore tout frais; aussi bénéfi- cie-t-il de nonibreux commen- taires animés. Bientôt, nous > à road la plaine pour grimper 6éucement les collines vers le midi. Des vergers, des jardins, des bosquets nous rapprochent du gros bourg d’'Albano où sim- pose une petite halte avant le dernier effort dans la montagne. De la place publique du en
on a une vue splendide sur les environs. Un coup de sifflet, et le tramway repart.
Au bout de dix minutes, on aperçoit les murailles de Cas- | telgandolfo. Il nous faut grim- per à ied une rampe qui mène ut à À la place et jusqu'aux Suite à la sixième CRUE O5 US NONNOR INR DE
ano et un groupe de pèle- rins sont nos ‘compagnons de voyage. On parle à voix basse du grand événement qui nous attend tous, la visite au Souve- rain Pontife à sa résidence d'é- té. Depuis quelques jours, en effet, le Saint-Pére 2 quitté le Palais du Vatican et les cha- leurs de la capitale pour aller prendre quelques semaines d'un repos laborieux au Palais de Castelgandolfo, qui est coquet- tement perché sur une hauteur où l'on peut avoir de la frai- cheur.
Les foyers sans Dieu causent plus de ravages que la guerre
per John Edgar HOOVER
Directeur du FEDERAL BUREAU OF INVESTIGATIONS Département de la Justice, E.-U,
la chute des empires a
a prouvé maintes fois que cal nent de Dieu par les individus, le rejet qu'ils font du code moral, et le culte qu'ils ont voué au matérialisme Q jui cont 12 à détruire les gloires antiques de la Rome? ( l'accroissement de l'indifférence vis-à-
oyant ma ls pouvaient se suffire : leurs prop'es règles de conduite. its de 1 ale comme étant Sans Dieu, ces
leur propre
Les foyers athées et la criminalité
Notre génération actuelle a produit un trop grand nombre d'horames et de femmes qui ont mis Dieu de côté parce qu'il les gène dans la poursuite de leurs intérêts personnels, que ce soit dans le domaine des affaires ou des plaisirs.
Dieu a été banni d'un trop gfand nombre de foyers et de certaines villes entières. Les statistiques de <rimes sordides, et la prédominance d'un mode de vie matéfialiste .— qui devient de plus en plus évident depuis le début de notre siècle — en sont une preuve frappante.
nu un scandale
ireneé qui sévit partout èrieusement le
: exemple, aux Etats-Unis. Nous le domaine ir empêcher la
na
des
Entrepreneur général en construction
situation alarmante de notre société, au sein de laquelle il se commet un crime à chaque 18.9 secondes, le jour comme la nuit, Attentat à la liberté
Il est vraiment regrettable d'avoir à souligner le fait qu'aux Etats-Unis sept millions et demi d'hommes, de femmes et d’ado- lescents — sait une proportion de 1 personne sur 19 — ont été mis sous arrêt pour offenses si sérieuses qu'elles justifièrent la prise des empreintes digitales des coupables, lesquelles sont conservées dans les casiers judiciaires.
Nous sommes en face d'une puissance formidable d’'entrai- nement au mal, puissance qui, depuis une génération, a été cause qu'il y eut plus de mortalités par meurtres aux Etats- Unis qu'il n'y eut d'Américains de tués durant la dernière guerre. Cette puissance est toujours active. A toute heure du jour ou de la nuit, elle est là pour piller, voler, détruire, tuer. Bref, cette puissance constitue un attentat continuel à notre liberté en tant qu'individus.
Malheureusement, le problème de la criminalité est essen- Ilement un problème de l'adolescence. Plus de 117,861 jeunes gens et jeunes filles âgés de moins de 21 ans ont été mis sous arrêt l'an dernier. Vingt-neuf pour-cent des voleurs, des cambrioleurs, des détourneurs de fonds, des auteurs de manoeuvres frauduleuses, des faussaires, des faux-monnayeurs, des receleurs, des incendiai- , Qui furent arrêtés n'avaient pas 21 ans Ces faits alarmants nécessitent sûrement que l’on se hâte d'organiser un programme d éducation et de direction pour notre jeunesse. Mais ce program- i igé sur une base solide, sinon toute la culture et la formation s'écrouleront au premier souffle de tempête.
Cause principale de la criminalité s sommes fiers de la croissance physique, intellectuelle et d: zctre peuple, mais spirituellement nous sommes des
t être ér
arriérés. Nous dépendons du secours divin pendant les années de notre enfance et de notre adolescence, mais une fois aue nous avons atteint la majorité, plusieurs d’entre nous croient que Dieu ne leur est plus nécessaire, Ils mettent littéralement la religion de côté de sorte que l'indifférence morale demeure l’une des causes principales de la criminalité de nos jours.
J'ai toujours cru que le moment favorable pour détourner les âmes du mal c'est durant l'adolescence, alors que les jeunes sont en période de formation. C'est pour eux le moment décisif de leur vie. Ils ont à choisir entre deux routes: le chemin amer du crime ou la voie droite de la dignité personnelle et de l'honnêteté,
La tâche de tous les parents
Si nous voulons des bons citoyens pour l'avenir, il faut que le foyer, où habite la famille, soit le premier centre d'éducation, C'est là que les fautes et les erreurs doivent être corrigées, ce qui constitue la tâche quotidienne de la formation des caractères. Il n'y a pas de plus grande force que l'influence familiale, Si nous voulons que la franchise, l'honnêteté et les croyances découlent d'une vie vertueuse, c'est à la famille que revient la tâche d’en- seigner ces responsabilités.
Le devoir fondamenta] des parents dans l'éducation de bons citoyens ne peut pas être transmis à d'autres. Ce sont eux qui enseigneront à leurs enfants l'obéissance aux lois du pays, l'amour de l’ordre protégé par le gouvernement, et qui susciteront chez eux le désir d’une conduite droite et honnête. Bien des parents ont mis de côté avec légèreté l’enseignement religieux comme étant un facteur négligeable dans la formation de leurs enfants. Si nous voulons éliminer la malhonnèteté, la cupidité, l'instabilité morale et quantité d’autres influences qui entraînent nos jeunes sur le chemin du mal, il est certain que nous devons laisser nos enfants prendre une part active à toute entreprise qui a pour but princi- pal la formation du-caractère.
MARCEL-J. CHOISELAT
Téléphone: 202 348
Une vie de famille qui laisse à désirer ouvre la voie à la cri- minalité. Un foyer où la vie familiale n’est pas stable, c'est un foyer sans discipline et sans ordre, par conséquent un foyer où l'on ne respectera pas la loi, et là où n'existe pas le respect de la loi, il ne peut y avoir l’amour de Dieu, Le foyer doit tre un temple d'amour, un rempart protégeant la dignité chrétienne. Le foyer doit être le berceau de la foi simple où on inculque dans l'esprit des jeunes l'idée que sans Dieu ils ne peuvent espérer vivre honnêtement avec leurs semblables,
I nous faut retourner aux jours où la vie de famille était simple et sincère, I: nous faut retourner à la saine coutume de la prière en famille, La famille qui s'agenouille ensemble dans la prière érige une digue contre les vagues de la tentation et du mal,
La prière en famille est la solution
Je suis convaincu que l'empire du mal dans le monde sera réduit à des proportions insignifiantes si les familles reviennent à l’ancienne et simple coutume de la prière quotidienne en commun. La prière rend l'hemme meilleur, Un homme en prière est un homme qui se soumet à Dieu, qui reconnaît Dieu comme étant l'Alpha et l'Omega, le commencement et la fin de toute chose. L'homme en prière se révèle comme étant la créature de Dieu, le serviteur de sa toute-puissance, et comme un être dont la destinée est d'atteindre un jour au bonheur parfait.
Le temps est venu pour nous de nous consacrer de nouveau à Dieu, et de mettre son commandement en pratique: “Tu ai- meras ton Dieu de tout ton coeur, de tout ton esprit, de toute ton âme et de toutes tes forces, et ton prochain comme toi- méme”,
Pourquoi ne pas dire à Dieu, chaque jour, que nous voulons réellement “vivre” ce précepte?
Eglises, Ecoles, Salles paroissiales, Maisons, etc.
Winnipeg, Mon., 7 octobre 1949
The Western Savings & Loan Association Edifice Poris, Winnipeg, Men.
i au dessus de 24,000,000
(1250 bes) VENDREDI 7 OCT.
des Communes...
(Spécial à ‘’La Liberté et le Patriote") Par Denys PARE
Le Canada aura sa Maison blanche.
|
:
il
La session semble
au cours de la saison, Par contre, | Mal et ne peut s'excuser. Après les Dodgers n'ont pas de bons lan- | tout, les joueurs qui portent l’uni-
ci même leur as, Don Newcombe, n'est pas assez régulier pour qu'on puisse le considérer comme un
[facteur important dans épreuve classique. Williams faiblit
Par une coïncidence très étran-
|ceurs sur qui ils peuvent se fier, | forme des Blue Bombers reçoi-
vent un salaire identique à celui qui est payé aux joueurs des au- tres équipes; ils jouent dans les
cette! mêmes conditions et d'après les
mêmes règlements, et il semble- rait juste, pour les amateurs de football, qu'au moins une ou deux victoires viennent au moins leur
11.55—Rapport des routes 1200—Nouvelles
300—Nouvelles 305—Ranch 1250 400—Nouvelles 4905-—Ranch 1250 -suite 430-—Menu musica: 445—Redio cré-Coeur 5.00—Nouvelles 505-Le Forum Ecolier 530—Yvan l'intrepide 600—Nouvelles 6.05-—Musique à la carte 625—Nouvelles sport 630—Musique à la carte (suite) 00-Nouvelles arnet Social 7.15—lnterméde
9.36-—-Don Quichotte iu vu-Nouvelles 1005—L'Heure Exquise 10 50— Résumé des Nouvelles
1100—0 CANADA!
MERCREDI 12 OCT, 730—Let's Learn
l'avoir conservée si longtemps a- vec toutes ses facultés et ensuite à toi Radio français, d'être venu au soir de sa vie, au coin du feu de sa chambrette où elle se reti- re le plus souvent, égayer sa so- litude, lui apporter tant de bon- heur par ta chanson qu'elle peut
French 8.0u— Nouvelles comprendre et qu’elle chérit, car 8.05—Intermède l'âme française chante toujours,
8.10— Bulletin
des agriculteurs |elle chante sa joie, sa peine et
Tél. 927 348
REGNIER et MAGERA Avocats - notaires
Pratique générale du droit Ajustement de dettes et placement d'argent sur fermes 216, EDIFICE McINTYRE Téléphone 923 924
: : 12-CKSB À travers 106—Ouv * TS EE ON oestree surtt je Canada | 108-Réveile antin CPE — if 4 iiniermede | Rire Fume Président: R. D, GUY, CR. Vice-président: A. J. BROWN £ 7 du Matin | 1010-FIN DES ‘ élu. (e af gr re : Exclusif à ‘’La Liberté et le Patriote” ane 7 Ve" Éntr-somer ent EMISSIONS Directeut et gérant: W. S. R. WILSON per Jacques LEMOYNE SE 8 05—Intermède LUNDI 10 OCT. Directeur et arsistont gérant: À. G. FRASER ” | . 815—Y'a d'La J | #. : Éqrv 2 mg | er ge on 6 | SR rique itioe SRE rigolant ue" ppepes SURLAUX: seball vient de se termi | , su, man | 209—Nouvelles po 2 cNoetèlee : la victoire de deux des clubs les/faciles, inspirer confiance aux ire ET UE ER AIR = à CALGARY: 221A=8e ave Ouest EDMONTON: 604, Edifice Agency |plus spectaculaires du baseball | joueurs et leur communiquer vet- du PR ES ‘er gis 2e" Sérieuiteurs |} SASKATOON: 407, Edifice Avenué REGINA. Edifice MeCallum Hill |moderne. Les Yankees de New-|te ardeur qui caractérisait les an- des Menagères at es | BRAMDON: 1, Edifice Royal Bank |York, rendus célèbres par seize |ciens joueurs de baseball quivne » Des fimtaire 8:20-—Sur les rayons de |championnats dans la ligue Amé- | pouvaient admettre qu'on puisse | j9 L — sn ss Are 9 LO— Nouvelles 5 BRAS TUE | ricaine, et les Dodgers de Brook- | perdre une joute de baseball.|,,,, Sosvele 22 + A PER LC US DT AT UNINRTRS © De LI |lyn, rendu célèbres par tout ce! Stengel était de l'école de 20 “it LT RUE N Une. auditrice | BERNIER et DENISET | qui, généralement, contribue à la| Durocher, mais il a profité “pes à ins te velies She D AVOCATS ET NOTAIRES déchéance d'un elub de baseball | méthodes modernes pour créer! -N guee i léger PEAR: — À. ogg écrit au poste Alenendre Bernier, C.R. Les Dodgers n'ont jamais gagné | un joueur agressif, courageux, dé-| 135—La nu veaux 1005-L'Heure Exquise LL.B ; | 2 1185—Rapport sur 18 1050— Résumé des Louis Deniset, B.A., à le championnat du monde, et les | terminé et poli tout à la fois. Pour} condition des Nouvelles CKSB Guen civil deu séfnisa |parieurs ne semblent pas vouloir | Stengel, les Yankees oubliaient | Sn ET, 2 do PM 11000 CANADA! : Municipalités, prêts, testaments et |leur laisser avoir le championnat | leurs blessures et jouaient leur : RL ia 120$—intermède MARDI 11 OCT. a é a Lors À DA de î D 614 EDUPICE AVENUE | qu'ils disputent pr tement aux | meilleur baseball en foutes cir- gn méro bestiaux—Horaire 1.30Nos chansonnettes | Dendant tes quatre années d'exis- | Tél. 928 914, 265. ave Portage, Winnipèg - - | Yankees. La série n'est pas encore | constances. tn 1215—Nos experts au g oo françaises Lara de À ge Ag + apeierien d . , 265. ortage. t Me re gpl fes Don ne en re Lcpegee ver au moment où ces li- Tout de même! en SR nieet | 1230—Maestro. Musique PAT de ru ré dans l'ombre, aujourd'hui je DA ds Pair Li e 1 = : . sv. à ù * 122 À collège Holy Cross, de Worcester, Mass., est ici présenté par John M.|£nes sont écrites, et ous sep 2° teurs de football de | !24%0—Nouvelles 1.00— Nouvelles des agriculteurs | dire avec silence obstiné| Monnin & Grafton Treaner, ÿr, (à gauche) à son frère, Richard, qui comence son cours | garderons bien de faire de gran- s AmauIs ce :700 € |1005—Nos plus belles 105—Interméde 815 Un Homme : e C Docs À ä} à l'Université, Le livre, “Manuel classique”, est un sommaire de la | des prédictions. Soulignons, en | Winnipeg et de la région sont por-}, ,, vais LCR de ras | 930-—Radio- Théâtre eg dent voie t'apprécions, Ra- AVOCATS et NOTAIRES mythologie romaine et grecque, et fut en premier lieu la propriété | ant les Yank _Ités à croire que les Blue Bomb- Pour vous, 130—Extraits d' #.Uv— Nouvelles o St-Boniface, | dé leur grand-oncle, Richard S. J. Burke, de la classe de 1873. (NC) POSRRR QU PRES PEN] èrent ! Une telle | 1120—Nouvelles 200—Nouveiles 9.05—Interméde Au nom de mx bonne et ten- | Chombre 4 Es Pine fhotr-oesie Brmnermsmbeeiehatnt sine Monrbnatr arerenetet Eesti à | vent compter sur plusieurs de|®Ts exagérent un peu: Une 1105—Intermède 203-Le Coin des sg dre mère qui sera bientôt nona- | Edifice Banque Canadienne Nationale |leurs meilleurs joueurs, blessés |*érie de défaites s'explique fort ie me pl - Mélomanes 9.15—Concert léger génaire, merci à Dieu d'abord de | 431, rue Main Winnipeg, Mon.
vouloir être tres courte,
OTTAWA — En l'absence du premier ministre St-Laurent, le ministre du Commerce, C. D. Ho-
l'ambassade de France. La maison Edouards est entourée d'arbres é- normes et dun riche domaine
we vient de déclarer que le gou- | couvert de verdure et de multi- vernement a décidé de fournir | ples fleurs. La résidence elle-mé-
une maison au chef de l'Etat ca- nadien, M. Howe a annoncé la nouvelle alors que le premier mi- nistre présidait des cérémonies à
Trenton. La déclaration du minis- tre Howe a été accueillie à l'u- nanimité par les Communes. En- fin, le Canada aura sa “Maison Blanche”. Et il n'est pas trop tôt. Notre pays était à peu près le seul au monde à ne pas avoir une résidence officielle pour le chef du gouvernement. “Maison du Canada”
11 est vrai que la question ne se posait pas avec autant d'acui- té durant les quelques vingt der- nières années, alors que M. Mac- kenzie King était à la tête du gou- vernement canadien, Ce dernier demeurait alors et occupe encore aujourd'hui la maison de Sir Wil- frid Laurier, qui lui a été léguée par la veuve de son prédécesseur.
Mais depuis que M. St-Laurent est premier ministre, l'absence d'une “maison du Canada’ deve- rait humiliante pour tous les Ca- nadiens fiers de leur pays. M. St- Laurent vit avec son épouse dans une maison de rapport de la ca- pitale, Ses appartements ne leur permettent même pas de recevoir à la fois toutes les membres de sa famille, encore moins les hom- mes d'états étrangers qui sont nombreux en visite officielle à Ottawa ces jours-ci. Dans l'espa- ce de deux semaines seulement, le gouvernement canadien rece- vait la visite de cinq figures in- ternationales les plus célèbres.
En approuvant le projet d’une résidence officielle, le chef de l'opposition, M. Drew a signalé que ie piemier ministre avait des devoirs qui sont une partie es- sentielle de la haute fonction qui lui incombe et qui devraient être une partie de la respénsabilité de l'Etat, M. Drew a ajouté qu'il est heureux que le premier mi- nistre soit en mesure de recevoir les personnages étrangers et de s'acquitter de ses fonctions d'une façon qui sera digne de la place du Canada dans le monde. Le chef CCF, M. Coldwell et le lea- der créditiste ont également ap- prouvé le projet de M. Howe en exprimant des opinions analogues à celles du chef de l'opposition.
Site, incomparable
En faisarit le choixgd'une rési- dence officielle pour le premier ministre ac l'et ses successeurs, le gouvernement ne fait que re- 1 ancienne maison qu'il tée depuis longtemps et q tait depuis lors louée au Haut commissaire de l'Australie, Il s’a- git de la maison Edouards située
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Ecoutez au poste CKSB tous les samedis, à 5 h. 15 p.m., “Le quart d'heure de Marie Imma- culée”, programme de l'Asso- ciation Missionnaire de Marie Immacul sous Ja direction des Révérends Pères Oblats.
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RE
| sion. Cette crainte s'explique par
| du peuple auront droit à leur in-| | demnité | c'est-à-dire
| putés ne bénéficieront pas de leur | indemnité. On parle de réformer |
avaient pour mission de prolonger les débats jusqu'à en perdre ha- leine de façon. à ce que la ses- sion soit suffis:mment
de soleil dans les montagnes qui
me est construite de pierres gri- ses. Son allure princière à multi- ples pignons va sûrement de pair avec le site où elle a été érigée. La future maison du Canada do- mine sur un vaste parcours la ri- vière Ottawa. En somme, disons qu'il ne peut y avoir de meilleurs eridroits pour admirer un coucher
sont à l'arr‘ère-plan du côté qué- becois de la rivière. L'autre soir justement nous étions à l’ambas- sade de France pour assister à la conférence de presse de M. Ro- bert Schuman, ministre des Af- faires étrangères de France. En attendant le conférenciér, nobs demandions à un parisien à nos côtés qui admirait lui aussi les reflets d'un soleil couchant, s'il y avait quelque chose de sembla- ble dans son pays?
Il nous répondit qu'il existait
ge, Ted Williams, le joueur qu'on
le plus utile à son club, cette sai- son, à failli à la tâche, une autre fois, alors que son éqg'ipe était à disputer une série vitaie, On se souvient que dans une série mon- diale, il y a quelques saisons, Wil- liams avait fait la même chose, et que sa moyenne avait été ridicu- lement basse, alors’ qu'à Boston, on fondait de grands espoirs sur Ted.
Dans les dernières joutes des séries Yankees-Red Sox, Williams a fait la même chose, s'avérant in- capable de frapper quand la ten- sion était très forte. On peut dire que la tenue de Williams a con- tribué un peu à la défaite de la courageuse équipe pilotée par Joe McCarthy.
Les Red Sox, favorisés au début de la saison pour se sauver avec les honneurs, ont prouvé qu'ils avaient bien du courge en quit- tant la quatrième place pour ter- miner la saison régulière sur un pied d'égalité avec les Yankees.
| a choisi rcmme ayant été l’athlète |
redonner confiance. Mais les Blue Bombers ont adopté un complexe de satisfaction depuis deux sai- sons; ils travaillent bien pendant un ou même deux quarts, puis ils retombent dans une léthargie dé- concertante dès que leurs efforts ne portent pas fruit du premier coup, Chose certaine, Je club Win: nipeg peut faire mieux, et les a- mateurs de football de la métro- pole de l'ouest ont certainement | droit de s’attendre.à de meilleurs l'efforts de la part de joueuts cen- sés connaître leur football, et qui sont payés pour éxhiber leurs ta- lents. Jusqu'ici, quelques rares ex- ceptions ont fait montre d’un ta- lent justifiant les Cépenses en- courues et plusieurs joueurs pour- raient même se faire demander le
exhibitions, pour ne mentionner
l'équipe locale.
Une nouvelle ligne Les Canadiens de Montréal sui- vent les autres clubs dé la ligu
avec leurs préparatifs d’entraîne-
L'an dernier, le club de McCarthy | ment. Is n'ont jusqu'ici rien dé-
avait fait la même chose, pour
des beautés qu'on ne pouvait co perdre dans une jouté d'après-
ployé qui pût enthousiasmer leurs partisans, et seul Dick Irvine ré-
400— Nouvelles 405—Ranch 1250—suite 430—Menu musicai
5.00—Nouvelles 5.05—Intermède 5.15—L'heure de l'Immaculée 5.30—Gaieté du Jour 5.45—Prévisions
Horaire 6.00—Nouvelles 6.05—Musique à la carte 625—Nouvelles sport 6.30— Musique à la carte 100--Nouvelles 705—Carnet Social 715—Intermède 7.30—Nos Albums
8.00— Nouvelles 8.05—]Intermède 8.10—Bulletin des agriculteurs 8.15—Polkas et chansons 8.30—Chansonnettes Françaises
8.00— Nouvelles 9.05—Intermède 9.15—D'Artéga présente 9.30—Veillée du
samedi soir
que les trois dernières joutes de | 1100—0 Canada!
: Chronique de CKSB
* Dimanche prochain le 9 octo-!l'habile direction de Léo Rémil- bre à 4 h, de l'après-midi, le te CKSB, de concours avec chestre symphonique de Winni-
de mare are eeemennne ne mreen | DIMANCHE 9 OCT.
1.00-—Ouverture 110—Résumé des nouvelles 115— Récital de Piano 130--Nos plus belles vaises 2.00—Opéra 3.00—Ballades et chansons 3.30—Chronique de France 345-Jan Peerce “hante 400—Le grand concert 5.00—Nouvelles 505—Intermède 5.15—Orgue populaire 5.30—L'Heure Religieuse 6.00—Nouveles 605—Concert populaire 6.30—Nos Albums Victor 100—Nouvelles — 195—interméede 715—
8.00— Nouvelles
9 lard. or-
Revue Radiophonique
8.15--Un Homme sa prière.
NS Merci d'être venu dès le dé-
8.u0— Nouvelles but de la journée te joindre à
EX AS PU dr mé nous pour ranimer notre ferveur du Québec en rendant nos devoirs au Divin
9.15—Concert léger Maitre.
D 9 y Aussi, puisqu'on dit qu'‘un Holmes saint Pi + mare saint”,
10.00— Nouvelles immédiatement âprès tu nous in-
LR À d pce vites à la rigolade pour ensuite Nouvelles nous enseigner un nombre va-
1100-00 CANADAI JEUDI 13 OCT.
rié de recettes si appréciées des ménagères et... de ieurs époux. Que nous réserves-tu encore?
730—Chansonnettes de françaises L'émission d'oeuvres de plusieurs Vi 24 Cr ef * [célébrités dont nous jouissons in- 810— Bulletin tensément, surtout cet artiste des agriculteurs |unique, Tino Rossi, qui par sa 8.15—Un Homme voix si souple et chaude, ses mots
si choisis et tendres, fait la con-
Mountaineers quête de presque toutes les da-
9.00-Nouvelles mes qu'il vient saluer, N'oubliant 10 Le Volaee personne tu t'adresses aux ma- - du Québec lades, tu soulages leurs souffran- 0 nie vi Pan ces morales, en leur apportant " Gustave re messages “qe a et de 10. 00—Nouvelien pérance venant de la part de lg pHeure Exquise | leurs parents et amis!
Nouvelles
ÿ: ai Tantôt tu t'arrêtes pour nous
informer où en sont tous les peu- ples de la terre, pour protéger et aviser jes voyageurs sur la cons dition des routes.
Bientôt nous voilà au milieu du jour où nous attend un copieux repas, qui s'ouvre par des con- certs légers suivis des plus beaux disques que des experts au cla- vier sauront compléter par un sa-
parer. On comprend qu'il soit dif- ficile d'admettre qu'un pays é- tranger soit supérieur à son pays natal, du moins sous certains as- pects. Rapidité inusitée
Le quasi éternel débat sur l'a- dresse en rénonse au discoürs du trône vient de se terminer sou-
clame la coupe Stanley. Ii y a en- core 70 joutes avant les élimina- toires, et même après ces 70 jou- tes, il n’y a rien qui puisse laisser entrevoir que le meilleur club ga-
Puisque nous parlons des Red |£nera les finales de 14 joutes. La Sox, il est intéressant de noter |Meilleure nouvelle émanant du que Joe McCarthy, l'ancien pilote Camp des Canadiens a trait au des Yankees de New-York, alfait que plusieurs de nos compa-
saison, contre les Indiens de Cle- veland, qui se sont ensuite empa- rés du championnat du monde,
Pas chanceux
dainement aux Communes: Ce dé- bat, on le sait, a l'habitude d'hc- bon gérant savait mener à bien caparer à lui seul plus d’un mois|,}4 bonne cntreprise. Lorsque de toute une session. Le fameux (McCarthy a quitté sa retraite
| prouvé cette année encore, qu'un | triotes se signalent avec les Habi-
nee et qu'un nouveau venu, Gil-
les Dubé, portera probablement le chandail accroché au clou de
débat sur l'adresse qui permet aux pour prendre charge des Red Sox | Toe Blake. Nous connaissons Du-
députés de parler sur n'importe quel sujet et surtout des besoins | de leurs comtés, a pris fin sans qu'on s'en doute un soir vers 11 heures, deux semaines après l’ou- verture de la présente session.
Nous avons dit deux semaines après l'ouverture de la session. Mais si on déduit le temps alloué aux mesures du gouvernement, soit deux jours par semaine, on voit que le débat sur l'adresse n'a en somme L'urée que six jours. C'est un fait très rare dans no- tre histoire pariementaire. Notons que l'adresse a été adoptée sur division, mais sans qu'on pren- ne le vote.
Cependant, à» chef CCF, M. Coldwell a proposé un amende- ment à l'adresse en exigeant la mise aux voix. Ce fut le premier vote de la session. La motion CCF reprochait au gouvernement de n'avoir présenté aucune me- sure visant à supprimer l'évalua-
de Boston, il s'est trouvé un grand
pour écrire que Joe ne serait pas capable de réussir à Boston, parce
“ville des fèves”, les joueurs qu'il avait sous la main alorsqu'il con- duisait les meilleures équipes des Yankecs de New-York au cham- pionnat reondial. Mais Joe vient
première place dans la ligue Amé- ricaine, prouvant par là qu’il n'a- vait peut-être pas ie don de ga- gner les joutes hors-concours, mais qu'il savait mener une équi- pe jusqu’au bout, durant Ja saison régulière.
Le pilote des Yankees, Casey Stengel, salué par un formidable éclat de rire quand il a été pro- mu à ce poste de confiance, doit |rire à son tour, maintenant que Iles Yankees disputent la série |mondiale aux Dodgers de Burt
k DR Shutton.
tion des resscurces à l'égard des st 1 déniché à bénéficiaires des / pensions de ®'enge!, éniché à San-Fran- vieillesse. Cet amendement ap- |Cisc0 par la direction des Yankees,
s'était rendu célèbre au baseball par ses trucs amusants, et les ré- | dacteurs sportifs de la grande mé- |tropole américäine persistaient à voir en lui un bouffon amusant, mais non un grand pilote. Casey cède actuellement aux Commu-|a prouvé qu'il pouvait remplir a- nes, la session ne s'éternisera cer- | Vec autant de facilité le rôle de tes pas cette année. Le gouverne- | bruffon que celui de jongleur. Il ment St-Laurent a infusé du sang | à fait marcher les Yankees sur des nouveau dans la vieille procédu- | béquilles toute la saison durant, re parlementaire, Et les choses s'est passé de son as Joe DiMag- vont tellement rondement que |£i0, et est parvenu à reéonner à certains dépuxés expriment une Vie Raschi sa grande forme du crainte quant à la durée de la ses-| Passé, pour en faire un gagnant de près de 20 joutes cette année, Casey Stengel n'a jamais eu tout son club au complet une fois cette
puyé par tous les partis de l’op- position a été rejeté par un vo- te de 135 voix contre 42. Club des 4,000 Au rythme avec lequel on pro-
le fait que la session durant 65 jours ou plus, les représentants
$4,000. Autrement, | a session est pro- | rogée avant cette période, les dé- |
de
° Dr Jacob DENTISTE ei Associés
le club des 4,000 dont les membres
Ze étage, édifice Time Angle Portage et Hargrave || Téléphone 928 319 — Winnipeg
longue
bé pour l'avoir vu à l'oeuvre, comn-
nombre de rédacteurs sportifs|me junior et comme senior, et
même s'il ne nous a jamais paru de calibre supérieur, il a tout de
qu'il ne retrouverait pas, dans Ja même démontré beaucoup de ta-
lent et une grande facilité pour compter des buts. Espérons qu'il pourra bien faire les choses avec Lach et Richard et aider ainsi Dick Irvine à résoudre un problè-
de terminer à deux reprises, en|me qui a toujours été des plus
embarrassant pour lui, depuis que Toe Blake ne joue plus pour les Canadiens.
N.D.L.R. — Nous présenterons, la semaine prochaine, une étude détaillée sur les divers clubs de la ligue Nationale de hockey, de même que des notes personnelles sur la série mondiale,
Protéger la famille per la religion
“Réveillez dans les fidèles le sentiment de l'antique et pieuse coutume de ja prière commune en famille. Qu'aux heures de prière, une atmosphère de sanc- tuaire envelappe quelque pieu- se image du foyer. Que la prière soit attentive, pieuse, adaptée aux circonstances de temps, d'action et de travail. Elle ne doit pas fatiguer ou ennuyer les enfants. doivent plutôt se sentir poussés à augmenter leurs prières.
“La prière commune en fa- mille est un spectacle digne des anges. Trop souvent la Vie pu- blique, superficielle et dange- reuse, loin de les développer, menace les biens les plus pré- cieux de la famille: la fidélité conjugale, ja foi, la vertu et l'innocence des enfants. La prié- re commune au sanctuaire de la famille est donc aujourd’hui plus nécessaire, peut-être, qu'aux temps où fleurissait à Rome une civilisation chrétien-
ne. “L'image de la mère de famille en prière est une grâce de Dieu pour le mari et les enfants. Le souvenir d'un €, haut placé gere t dans sa pro- ession et demeuré pieux, est un souvenir qui souvent anime et sauvegarde le jeune homme
peg, présentera le premier d’une série de programmes, qui com- prendront quelques-unes des plus belles oeuvres du répertoire clas- sique parmi desquelles il y aura des pièces qui figureront au pro- gramme de la symphonie durant la saison 1949-1950, Chacune de ces émissions du- rera une demi- heure, En plus de ces présentations musicales, vous aurez l'occasion chaque dimanche d'entendre soit |une allocution ou une interview a- vec des person- nalités de l'or- chestre sympho- nique de Winni- pég. Dimanche
prochain ce sera Son Honneur le Juge Thomas Beaubien.
S. H. le juge J.-T. Beaubien LL L£ LL
“La Maison de l'ennui”
La pièce à l'affiche à Radio- Théâtre mardi prochain le 11 oc- tobre à 8 h. 30 aura pour titre “La Maison de l'ennui”. Nous te- nons à vous assurer, cependant, que vous n'aurez pas l'occasion de vous ennuyer si vous syntho- nisez le cadran de votre poste ré- cepteur à 1250 pour Radio-Théà- tre. Ces programmes sont sous
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! : Après des heures aussi mou- le Patriote la semaine prochaine, | vementées, nous jouissons inten- soit le vendredi 14, nous vous | sément d'une sieste avant de sau- donnerons tous les détails au su-|ter à bord du-train de la gaieté jet de la revue Radiophonique|qui nous conduit à travers les de CKSB pour cet automne; les | plaines de l’ouest, les prairies ma- endroits que nous visiterons &in- | nitobaines, cherchant partout des sis que les dates de notre visite. | talents qui seraient, sans aucun Il y a du nouveau cette année | doute, restés cachés sans toi.
et l'organisateur de la revue, Re-| Merci encore d’être venu lors- né Dussault, promet à €cux qui Que je voyais ma chère mère les
mnmmnqes
se déplaceront pour assister à ces | séances radiophoniques, de la va- riété et beaucoup de plaisir.
Causeries de la J.0.CF,
Ce soir vous entendrez à 8 h. 05,
deuxième d'une série de trois causeries présentées par la J.O.- CF. La conférencière sera Mlle Jacqueline Breton et la dernière de ces causeries sera présentée le lundi 10 octobre par Mlle Annet- te Fredette. Ces causeries ont pour but de faire de la propagande pour les cours qui seront donnés prochainement par la J.O.C-F,
Causeries agricoles
M. Maurice Kenny, bachelier en science agricole de l'Universi- té du Manitoba, commencera la semaine prochaine une série des causeries préparées à l'intention des agriculteurs franco-manito- bains. C'est ia première fois que le poste CKSB a un agronome qualifié qui se charge de rédiger spécialement à l'intention des au- diteurs de CKSB des causeries agricoles, et nous sommes certains que nos auditeurs de la campa- gne seront heureux d'apprendre la nouvelle de cette initiative du poste CKSB.
La Journé: de Christophe Colomb
Le mercredi 12 octobre à 9 h. 15, le Conseil Provencher des Cheva- liers de Colomb présentera un programme d'un , pr" d'heure pour commémorer la journée de Christophe Colomb. “Le Trio Mo- derne”, sous la direction de Mille Denise Guyot, fera les frais du chant durant cette émission et une allocution sera présentée par le grand chevalier du Conseil Pro- vencher, M. Laurier Régnier.
Le nouveau prix
du blé canadien
LONDRES — Le conseil inter- national du blé a annoncé que le prix maximum du blé canadien, | vendu conformément aux disposi- tions de l'accord internationai sur le blé, sera de $1.98 le boisseau en monnaie canadienne pour le pro- duit de première qualité à Fort William, à Port Arthur et à Van- | couver, |
Le prix minimum pour la récol- te de 1949-50 est de $165, à
Cette mesure a été prise en rai- son de la dévaluation du dollar,
Si le dollar canadien reste coté au même »rix par rapport au dol- | lar américain pendant la durée de l'accord, le canadien se ven- dra à $154 en 1950-51, à $1.43 en 1951-51 et à $1.32 en 1952-53,
Pas de lutte, pas de victoire: |
mains trop lasses pour retourner les pages d'un roman commencé, que les doigts raidis par le dur labeur de ia colonisation refu- saient d'égrener son rosaire qui semblait si usé qu'on aurait eu grand'peine à en dire l’âge, le regard plongé dans l'infini dont elle se sent bien proche, cet in- fini qui serait si redoutable sans les promesses du Coeur Sacré de ésus que tu viens rappeler pour aire briller l'espérance à l'heure où le soleil, perdant son éclat nous annonce la venue des té- nèbres.
Voyons plus de gaieté, voilà la gent écolière qui vient se grou- per autour de l'oncle Claude qu'ils chérissent parce qu'il a toujours
ur eux une variété de surpri- ses en attendant que tout le res- te de ia famille se réunisse pour entendre ce qu'Etienne a glané un peu partout dans le monde du sport et les événements sociaux que chacun attend.
Enfin pour clore la journée de
uelques vieillards attardés ici et là sur la terre tu déroules un ta- bleau tout vivant du vieux toit paternel dans: ‘Un homme et son péché”, É
Pour cette délicate attention et tout le reste de ton oeuvre, puis- se le Maître Tout-Puissant laisser tomber sur toi sans compter ses plus abondantes bénédictions afin que tu puisses grandir et conti- nuer de semer longtemps encore la joie et le bonheur,
Dans ce même élan de recon- naissance je voudrais aussi réité- rer les mêmes voeux à notre jour- nal, La Liberté et le Patriote, dont je me sens bien incapable d'é- numérer les nombreux bienfaits, le dévouement qui ne compte ja- mais et que trop souvent on ou- blie, la vigile incessante à la gar- de de nos droits les plus chers: notre foi et notre langue, Aussi son triomphe, son développement disent bien mieux ce que sa mo- destie a toujours caché et que je voudrais proclamer,
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Si l'Association d'Education L2 . L2 LA disparaissait un jour. ..
L'Association d'Education des Canadiens français du Manitoba annonce qu'elle tiendra sa trente-troisième percep- tion annuelle le dimanche 16 octobre.
La nouvelle n'offre rien de sensationnel. Elle est cepen- dant d'une très grande importance pour la survivance du groupe français de la province.
En effet, du succès de la journée de l'Association dépen- dent non seulement le développement et le fonctionnement de notre organisme de défense nationale, mais aussi son main- uen
Or qu'arriverait-il si, faute de ressources matérielles, l'Association d'Education disparaissait? Question pertinente, on le conçoit, qu'il est sage de se poser à l'occasion de la journée de l'Association.
Si l'Association d'Education disparaissait, si elle cessait de rendre acceptable aux enfants catholiques et français la formation qui se donné dans les écoles publiques de la pro- vince, les Canadiens français devraient fonder et maintenir leurs propres écoles séparées.
Sait-on que d’après les estimés fournis par le Ministère de l'Instruction publique au Manitoba en 1948, il en coûte plus de $60.00 par année pour maintenir un élève à l’école?
Or durant l'année scolaire 1948-49 quelque 7,500 enfants canadiens-français fréquentaient les écoles publiques de la province.
S'ils avaient été éduqués dans des écoles séparées, leurs parents auraient dû débourser plus de $400,000 en une seule année pour ieur instruction.
L'Association d'Education épargne donc à la population française des sommes fabuleuses. Qu’'arriverait-il si elle allait disparaître?
Evidemment, il n’est pas question de mettre au rancart une association dont la nécessité est évidente à tout Canadien français de la province. Mais, par ailleurs, du volume de la contribution dépend pour une large part l'ampleur qu’elle pourra donner à ses activités au cours de l’année qui com- mence.
Sait-on le travail prodigieux qu'elle accomplit chez nous, sans tapage, sans publicité et surtout sans de vides pro- testations coiffées des fameux ‘attendu que”?...
Pour la faire connaître, il faudrait reproduire ici en entier le mémoire que M, Armand LaFlèche, directeur de la souscription annuelle, a préparé en août dernier. Nous nous contenterons d'en donner les grandes lignes.
L'Association d'Education surveille l’enseignement du français dans 108 écoles réparties dans 53 paroisses, aide 7,500 élèves canadiens-français à apprendre leur langue mater- nelle, agit comme conseillère auprès du personnel enseignant, maintient deux visiteurs d'écoles, facilite la solution de nom- breux problèmes de nos commissions scolaires, entretient des relations assidues avec le Ministère de l'Instruction pyblique; bref, elle assure l’enseignement de la religion et du français dans toutes les écoles fréquentées par les élèves canadiens- français.
Si l'Association d'Education disparaissait, les oeuvres qu'elle accompiit cesseraient. Et nous serions alors victimes d'une catastrophe dont on soupçonne les conséquences né- fastes.
Notre Association est l'affaire às tout le monde, En effet, curés, commissaires d'écoles, religieux et religieuses, pères de familles, écoliers et écolières doivent contribuer à son soutien.
Le dimanche 16 octobre révélera si nous avons à coeur le maintien de notre foi et de notre langue dans notre pro- vince,
L, Le
Le dimanche des missions
‘’Nos missionnaires canadiens font leur port, faisons la nôtre. L'occasion nous est offerte, en ce dimanche 23 octobre, de faire notre part, en colla- borant à l'Oeuvre Pontificale de la Propagation de la Foi; elle est la princi- pole oeuvre de soutien des missions. Cette oeuvre a pour but de recueillir les offrandes de tous les fidèles, c'est pourquoi on la nomme à juste titre la
prima primoria'' des oeuvres auxiliaires missionnaires.‘ (Cf, p. 44. Ma- nuel d'A. M.)
Nous avons des nôtres oux quatre coins du monde! Voici, d'après les dernières statistiques officielles du mois de juillet dernier: nous comptons 4 Sulpiciens canadiens-tronçois ou Japon; 41 Franciscains canadiens-français ou Jopon et en Amérique; 12 Copucins canadiens-français en Indochine et ou Japon; 208 Pères Blanes en Afrique; | Moriste canadien-français en Océanie; les Missions Etrangères de Scarboro, Ont., ont 17 missionnaires conadiens-français en Chine et en Amérique, celles de Québec ont 80 mis-
mnnaires canadiens-français en Chine, en Indonésie et en Amérique cen- trale. Les Doominicains comptent 22 Canadiens français ou Japon et les Pères de Ste-Croix en ont 35 aux Indes; les Clercs de St-Viateur en comptent 6 en Chine et ou Japon; les Montfortains comptent 8 compatriotes en Afrique et en Amérique; les Pères du St-Esprit en ont 18 en Afrique et en Amérique du Sud; les Missionnaires du Sacré-Coeur ont 16 des nôtres en Amérique et, enfin, les vaillants Oblots de Marie Immaculée ont plus de 160 Canadiens français en Atrique, en Indochine et en Amérique, en plus de leurs zélés ba- taillons dans les missions dures et pénibles de l'Ouest et du Nord du Canada, De plus, mentionnons les Frères des Ecoles Chrétiennes, les Frères du Sacré- Coeur et les Frères Moristes
Ajoutons les nombreuses religieuses de diverse: communautés qui colla- borent qvec tont de dévouement et d'abnégation, telles: les Soeurs du Bon Posteur d'Angers, les Ursulines, la Congrégation de Notre-Dame, les Soeurs Grises de Montréal, celles de St-Hyacinthe et d'Ot‘awa, les Soeurs de la Pro- vidence, les Soeurs de Jésus et Morie de Siliery, les Soeurs de Ste- Croix, les Soeurs de Ste-Anne, les Soeurs de l'Assomption, les Soeurs Francis- caines de Marie, les Soeurs de l’immoculée-Conception, les Soeurs de la Charité de St-Louis, les Soeurs Blanches d'Afrique, les Soeurs de St-François d'Assise, les Filles de la Charité du Socré-Coeur de Jésus, tes Religieuses de Enfont-Jésus, les Petites Soeurs de l'Assomption. les Soeurs de la Présenta- non, les Soeurs de St-Joseph (St-Hyocinthe), les Soeurs Dominicoines, Insti- tut du Bon Conseil, les Missionnaires Oblates du Sa:ré-Coeur {St-Boniface), es Soeurs Antoniennes de Morie, Reine du Clergé, les Soeurs des SS. NN,
Missionnaires du Christ-Roi.
Les bons Frères et les bonnes Soeurs des Congrégations ci-dessus nom- | mees Conpérent avec les prétres-missionnaires, fondent et soutiennent des oeuvres de miséricorde corporelle et spirituelle, Donc, faisons notre part! Qui, soutenons nos chers compatriotes, dispersés oux quatre points cardinaux, por nos prières et nos oumênes. Associons-nous tous, en ce dimanche des Missions, avec nos curés, à l'Oeuvre pontificale de lu Propagation de la Foi.
J.-Sylvio CARON, ptre, Directeur diocésoin
de l'archidiocèse de St-Boniface. À
|commente ailleurs dans ia page
aux Etats-Unis mardi.
les véritables coupables?
Notre rédacteur de la Saskat- chewan, le R. P. J. Valois, OMI,
éditoriale le bill que le député de Kamloops, M. E. Fulton, présen- tera à la Chambre des Communes dans le but de rendre illégale la vente de comiques immoraux au Canada.
L'action du représentant catho- lique de la Colombie-Britannique ne recevra que des enthousiastes de toute la popula- tion. Seuls quelques vendeurs et producteurs s'efforceront d'en contrecarrer l'influence.
M. Fulton réclame une législa- tion qui aurait dû être votée de- puis longtemps. En effet, il se pas- se rarement une semaine sans que les agences de nouvelles ne nous apprennent que quelque crime a été commis par des jeunes gens, souvent même par des adolescents dont l'imagination a été empoi- sonnée par la lecture d'histoires illustrées immorales.
Encore tout récemment, ven- dredi dernier, un jeure homme de Vancouver, âgé de 21 ans, a été reconnu coupable d'enlèvement et de faux, Il a affirmé à la cour qu'il avait été poussé à commettre ces délits par les mauvais films qu'il avait vus et par les livres immoraux qu'il avait lus. La technique de contrefaçon lui a été enseignée par des livres qu'il a- vait empruntés de la bibliothèque publique.
Le juge en a profité pour faire quelques mises au point. “Non seulement, a-t-il dit, on a permis à ce jeune homme de se remplir la tête d'idées criminelles, mais on lui a donné accès à Ja biblio- thèque publique où il a pu se pro- curer un livre lui enseignant la technique d'actes criminels , . .”
Evidemment les véritables cou- pables, ceux qui auraient dû prendre le chemin du pénitencier à la place du jeune homme, sont les éditeurs de livres mauvais et les producteurs de films immo- raux, Les législateurs, qui pour des raisons inavouables laissent les uns et les autres accomplir leur travail néfaste, portent leur part de responsabilité, Finira-t-on par se rendre compte que l'Etat se doit de protéger non seulement la santé corporelle des citoyens, mais aussi leur vie spirituelle?
Il existe d'excellents comiques rançais et angldis que les parents peuvent #cheter à leurs enfants pour quelques sous, L'avenir mo- ral de ceux dont ils ont la garde réclame qu'ils accordent quelque attention à une question d'aussi grande importance, L. L,
Hommage aux Martyrs Canadiens
Des fêtes grandioses ont marqué à Québec la célébration du troi- sième centenaire de la mort des saints Martyrs canadiens. C'était vraiment l'hommage Ge tout un peuple envers ceux qui ont tra- vaillé, prié, versé leur sang pour faire du Canada un pays chrétien. Leur exemple et leur patronage sont pour nous, en ces temps dif- ficiles, une de nos meilleures pro- tections. S. Exc. Mgr Roy le rap- pelait ainsi dans la conclusion de son émouvant sermon:
“En ce jour consacré à la mé- moire des saints Martyrs du Ca- nada, nous devons remercier la Divine Providence qui nous les a donnés comme protecteurs et comme modèles. Nous devons aus- si nous inspirer de leur exemple. Sommes-nous vraiment les fils spirituels de ces géants dans la foi? Après avoir admiré leurs vertus héroïques, ne nous con- tentons-nous pas trop facilement? Craignons de laisser perdre la moindre parcelle du grand héri- tage qu'ils nous ont laissé. L'his- toire du Canada, qui s'ouvre sur leur martyre, ne peut se conti- nuer dans la médiocrité, Appre- nons d'eux à nous renoncer par- faitement pour suivre la voie que Jésus-Christ nous a tracée et pour porter notre croix avec Lui. Prions, mes frères, afin que l’ex- emple des saints Martyrs inspire toute notre vie et que, par leur intercession, nous obtenions la foi intrépide et la charité rayonnante des apôtres et des saints”.
35,000 catholiques
en prière
TORONTO — Plus de 35,000 catholiques ont promis dimanche foi et fidélité au drapeau et à l'Eglise à l'occasion de l'heure sainte annuelle de l’union archi- diocésaine des sociétés du Saint- Nom au parc de l'exposition.
Des membres du clergé de l'ar- chidiocèse ort défilé devant l'es- trade remplie et ont pris place entre les fantares, les groupes de
LA LIBERTE ET L
maintenir Radio Canada il nous faudra $2.50 de plus par année!
Billet du vendredi
Le sens profond de “Don Quichotte”
{Spécial à ‘’La Liberté et le Patriote’),
Même ceux qui savent l'espa- gnol, et le lisent, ne prennent grand plaisir au texte original du Don Quichotte de Cervantes. La langue en est trop ancienne, ri- che de tournures et de termes tombés en désuétude, où l’hom- me moyen ne se retrouve pas. Hors des pays ibériques, il va sans dire qu'on ne saurait avoir accès au grand chef-d'oeuvre es- pagnol, si ce n’est par des tra- ductions. Il en est d'excellentes et de moins bonnes, de savantes et de populaires, proportionnées à la préparation, à la culture ou
aux préoccupations des lecteurs.
Il peut y avoir parmi eux des gens qui ne s'intéressent qu'au récit, il en est d’autres qui en- visagent l'oeuvre sous l’angle lit- téraire et scientifique, et consa- crent plus de temps aux notes des commentateurs qu'à l’affabu- lation elle-même, depuis long- temps connue. Sauf erreur, il n'existait pas de traduction de Don Quichotte au Canada, hors celles que nous importions de l'étranger. Aussi la maison des Editions Fides, de Montréal, com- ble-t-elle une lacune en offrant une édition canadienne du livre, en excellent français. Le nom du traducteur n'est pas indiqué. Il ne s'y trouve ni biographie de l'auteur, ni explication de l’oeu- vre, ni notes ou commentaires, de sorte que l'on conclut à un récit destiné à la consommation populaire. On ne pouvait guère demander plus. Ce que nous re- procherions le plus à l'ouvrage, c'est son format: celui des grands albums pour enfants. Il est en- combrant et rend la lecture dif- ficile.
*
L'histoire de Don Quichotte, de son fidèle serviteur Sancho et de son cheval Rossinante, n'est pas d'hier, Elle remonte aux premiè- res années du siècle dix-septième, Miguel de Cervantes vécut de 1547 à 1616, et publia son livre en 1605. On y trouve tout ce que l'on veut. Car le récit, sans être à clef, est une satire des hommes et de son époque. À certains é- gards, on est tenté de le rappro- cher du Gargantua et du Panta- gruel de Rabelais. Dès sa paru- tion, l'oeuvre eut en Espagne un succès immédiat. On n'en saisit pas tout de suite le sens profond et la portée, mais on s’amusa fort des aventures cocasses du héros et de son compagnon. D’après Cer. vantes lui-même, le livre visait à ridiculiser les romans de che- valerie de son temps, aussi in- vraisemblables que sots. En moins de six mois, Don Quichotte et San- cho Pança devenaient des types légendaires. On disait déjà, com- me on le dit encore: “C'est un Don Quichotte, c'est un Sancho”. C'est beaucoup plus tard que se révéla la valeur universelle de l'oeuvre, et que s'imposa la sereine philosophie de l’auteur. Entre
doutant, on volait Cervantes a- vec impunité, mais on le volait. Aussi cyniquement que si l’on s'était emparé de ses habits ou de sa bourse au coin d'un bois, sous la menace d'une dague ou d'une arquebuse.
*
Aussi l'écrivain resta pauvre, en dépit d'une renommée qui por- ta son nom à tous les pays d’Eu- rope. En 1608, trois ans après la publication de son chef-d'oeuve, il vivait dans des conditions si modestes qu’elles attiraient la pi- tié. I1 semble que Cervantes, écri- vant son livre, ne se doutait pas lui-même de ce qui allait y en- trer. Les premiers chapitres sont évidemment dirigés contre les ro- mans de chevalerie, Peu à peu,
le sujet déborda es cadres fixés,
et le mondre geste du héros prit un sens susceptible de générali- sation. C’est que Cervantes, qui n'était plus un jeune homme, a- vait une longue expérience, ra- contait sa vie à travers celle de ses personnages. Non seulement sa vie telle que vécue, mais sa vie idéale, celle qu'il eût voulu con- naître, où il mettait ce qu'il y a-
E PATRIOTE
» » »
nlernationcle {Spéciol à “La Liberté et le Petriote’'} Par Pierre GEORGE :
} (|
La déclaration de M. Truman a provoqué d'intéressantes
réactions dans
Si tout le monde savait que le secret atomique n'existait plus et que la fabrication de la bombe atomique par les Russes devait arriver un jour ou l'autre, il n'en reste pas moins que la déclara- tion du Président Truman a sou- levé un intérêt et une inquiétude qui se manifestent Gans toute la presse européenne. Les commen- tateurs ont beau écrire que la possession de la bombe par les Russes était une chose prévue et que les Américains ont tenu compte de cette éventualité dans l'élaboration de la défense de la zone atlantique, on constate, à la lecture des journaux, que ces commentateurs ont été pris au dépourvu. Toutefois, reconnais- sons l'absence de panique. Selon leurs tendances, ils esquissent des hypothèses qui n'ont pas un caractère alarmant. L'espoir et le besoin de paix sont telle- ment grands que les Européens n’acceptent pas l'idée d'un autre massacre. Mais les faits restent les faits, Comment les envisa- gent-ils? C'est ce que nous ver- rons en analysant les premières réactions de la presse europé- enne.
Ia réaction communiste
La presse communiste fran- çaise insiste sur le fait que la déclaration de M. Truman ne l'a pas surprise, car dès le 6 novem- bre 1947 M. Molotov avait dé- claré que le secret atomique a-
ait cessé depuis longtemps d'en être un. Toutefois, si pour les communistes les déclarations ve- nant du Kremlin ne peuvent etre que véridiques, on peut pen- ser que la confirmation fournie par M. Truman a raffermi la con- viction des communistes, quel que soit le degré de confiance qu'ils accordent à leur propagan- de.
Pour ‘L'Humanité’, le monde est devant ‘‘une campagne sa- vamment orchestrée pour déve- lopper une psychose de guerre. Le gouvernement américain en a besoin pour justifier la création de pactes d'agression contre l'Union soviétique, et les démo- craties populsires, pour faire é- chec au mouvement de la paix qui se développe dans le monde entier et grandit aux Etats-Unis, pour’‘enfin opérer une diversion contre les propositions concrètes de l’Union soviétique -—— renou- velées hier même à l'O.N.U. — en vue d'un contrôle effectif de l'énergie atomique et la destruc- tion des stocks de bombes ato- miques. En tout état de cause, la déclaration Truman est l’aveu de l'échec de la politique améri- caine de chantage à la bombe atomique.” En outre, si M. Tru- man fait du bruit, c’est en raison
vait en lui de meilleur, de plus “des difficultés accrues du camp
digne, de chevaleresque. C'est parce qu'il y mit son coeur, le feu intérieur qui couvrait en lui,
impérialiste et des succès gran- dissants du camp de la démocra- tie et de la paix.” Le chômage
les idées et les sentiments qui lui|se développe aux Etats-Unis et
furent des motifs de vivre, que l'humanité s'y retrouve. C'est là, en résumé, la conception que se fait un critique aussi avisé qu'Ed- mond Jaloux du livre de Cervan- tes. Il ajoute: “Comme son héros, il part en guerre pour des idées, des sentiments. A la fin de sa vie, mutilé, pauvre, malade, n'a-t-il point été frappé du ridicule d'u- ne existence toute tournée vers l'action idéale? A-t-il cherché à se guérir de ces tendances d’es-
en Europe occidentale, tandis que la plus grande prospérité règne dans les démocraties po- pulaires où le niveau de vie des travailleurs serait beaucoup plus élevé que partout ailleurs.
Mais la presse communiste (les journaux “Libération” et “Ce Soir” ne font que reprendre les thèmes de “L'Humanité”) insiste particuliérement sur les proposi- tions répétées du gouvernement soviétique tendant à la destruc-
prit romanesque, de sa crédulité | tion contrôlée de toutes les bom-
et de ses enthousiasmes, en écri- vant une charge de son propre caractère, une caricature, en un
bes atomiques. Ceux qui ne li- sent que la presse communiste croient donc que seule l'URSS.
mot?” L'écrivain a laissé d’autres | est en faveur de la mise hors la
oeuvres, dont ses Novelas Exem-
plares, qui suffiraient à le clas-
ser parmi les plus grands. L'ILLETTRE.
(reproduction interdite)
Les élections en Autriche
Dimanche prochain, 9 octobre, auront lieu en Autriche des élec- tions de la plus grande importan- ce. On élira un nouveau Parle- ment. L'Autriche est aujourd’hui le ‘poste le plus avancé dans l'ou- est de l’Europe de la civilisation chrétienne. Le communisme, ins- tallé sur ses frontières au nord, à l'est, au sud, la menace de plus en plus. Il fera de grands efforts pour renverser le parti du peuple qui détient actuellement le pou- voir. Si les socialistes, opposés à ct parti, retournent nombreux au
religieux et les chefs laïques. S.| temps, le livre était lu partout. | Parlement, ils seront tentés de de Jésus et de Marie, les Soeurs Missionnaires dx Notre. Dome des Anges, | Em. le cardinal McGuigan était | Les oeuvres littéraires ne jouis- |s'allier aux communistes, et alors
accompagné d'une garde neur composée de Chevaliers de
Colomb.
Avant la cérémonie, qui s'est
déroulée sous un ciel magnifique, la Croix de Jérusalem, que Thomas Becket, de Palestine, ac- compagne autour du monde, avait été portée à l'autel.
La Croix doit être transportée
d'hon- | saient pas alors de la protection | nous
d'aujourd'hui et des imprimeurs | s'esi paësé dans les pays voisins.
entreprenants, qui ne s'étouffaient | Toute l'Europe, et l'on peut dire
pas de scrupules, mirent sur le|le monde entier, se ressentiront
Dom | marché maintes éditions de Don | de cette élection. Que nos prières
Quichotte, dont l'auteur ne tou-| demandent au Diey des armées cha un sou vaillant, Il en parut | de faire triompher ceux qui veu- ainsi à Madrid, à Lisbonne et|lent le respect de ses droits et
| Valence. Sans s’en douter, ou s'en | de la dignité de l'homme.
verrons en Autriche ce qui}
loi des bombes atomiques et que les Etats-Unis s'opposent au con- trôle de l'énergie atomique. Or, la situation n’est pas celle décrite par la presse communiste. Le contrôle de l'énergie atomique
Réduite à l'essentiel, la tnèse des Soviets en matière de con- trôle d'énergie atomique est la suivante: mise hors la loi de l’ar- me atomique et destruction des bombes existantes, puis établisse- ment d'un contrôle international; chaque pays resterait maître sou- verain de la production de l'éner- gie atomique, La thèse améri- caine peut se ramener à ceci: éta- blissement d'un contrôle interna- tional de l'énergie atomique par l'intermédiaire de l'O.N.U., con- trôle s'étendant aux matières premières, aux usines, etc.; après l'établissement de ce contrôle, destruction des bombes et ges- tion de l'énergie atomique par un organisme international. Tant que la confiance ne régnera pas entre les grandes puissances, cette façon de procéder est la seule possible, estiment les Amé- ricains. L'U.R.S.S. ne possédant pas encore de bombes, son atti- tude pouvait se justifier jusqu'à un certain point,
Maintenant |
les divers pays.
| qu'elle est en mesure de se lan- | cer’ dans la production pratique des armes atomiques, l'URSS. modifiera-t-elle son attitude? Un | compromis est-il dans le domaine des possibilités? Guerre plus probable ou moins probable?
| La véritable question est celle- | ci: la possession de la bombe par l'URSS. et les Etats-Unis rend- elle la guerre plus probable ou |moins probable? Les optimistes |ne sont pas effrayés de la perte | du monopole américain. Ils es- [timent qu'un certain équilibre | étant rétabli, aucun pays n'osera | utiliser la bombe ‘ils raisonnent par analogie avec le conflit pré- | cédent, écrit René Payot dans le “Journal de Genève”, où de part et d'autres, on a renoncé à l'em- ploi des gaz délétères et des poi- | sons bactériologiques”’, Mais la réponse à la question posée au début de ce paragraphe dépend, note “Le Monde”, des deux res- ponsables, de la sagesse de leurs dirigeants: “Dans les milieux communistes internationaux on estime que le monopole améri- cain était en soi une menace de guerre, et que la perte de ce mo- nopole ne pourrait qu'inciter le gouvernement des Etats-Unis à plus de prudence dans sa politi- que extérieure. Dans les milieux américains, au contraire, on es- père que la possession de la bom- be donnera à l'U.R.S.S. un sen- timent accru de sécurité, et que celle-ci ne pourrait plus invo-
|
| | | |
:
|
{
quer les fallacieux motifs de
:. Un bill pour prohiber
PAGE TROIS
crainte dont elle n'a cessé de fai- re état dans l'orientation de sa politique. Elle serait donc ame- née à adopter une attitude plus raisonnable, à reviser ses thèses sur le contrôle international de
| | l'énergie atomique”. La conelu-
sion est donc que de nouveaux et de plus grands efforts doivent être faits pour aboutir à un con- trôle international efficace. Les “villes atomiques” américaines sont bien connues. 11 n'en est pas de même des ‘Atomgrad"” soviétiques. On voit d'ici les tà- ches de l'organisme de contrôle. D'autant plus, fait remarquer “L'Epoque”, que l'URSS. «a constamment refusé l'accès de ses zones industrielles et que, “l'étendue de la Russie et sa structure policière rendront tou- jours illusoires les assurances qu'elle pourra donner de son dé- sarmement comme les mesures auxquelles les Occidentaux re- courront pour les vérifier”.
La course aux armements
En attendant que l'on aboutis- se au contrôle efficace de l'éner- gie atomique, le programme d'aide militaire à l'Europe prend corps, de même que l'organisa- tion de la défense atlantique. De leur côté, l'U.R.SS. et ses satel- lites ne restent pas inactifs. Si les Soviets et les Américains ne parviennent pas à s'entendre, nous assisterons fatalement à une course accélérée aux armements, à une lutte pour les terrains d'u- ranium et à la recherche d'au- tres armes encore plus dévasta- trices que la bombe atomique. 11 suffira alors d'un simple inci- dent pour q la conflagration générale éclate. Et lorsqu'on au- ra abouti à un record sur le con- trôle de l'énergie atomique, il restera à convaincre les Russes et les communistes du monde en- tier qu'en principe, l'existence de pays à structure capitaliste n'est pas une menace pour la ‘patrie des travailleurs”. N'anticipons pas.
les comiques immoraux
M. E. D. Fulton, député de Kamloops en Colombie canadien- ne, a présenté un bill à la Cham- bre des Communes qui a pour but de prohiber la vente et la diffu- sion des comiques immoraux, La mesure donne une définition des livres et brochurettes qui sont de nature à faire tort aux enfants. C'est d'après cette définition que les comiques seront jugés puis prohibés. À la dernière session, une proposition semblable a été faite à la Chambre, mais malheu- reusement elle n'a jamais été considérée, Espérons que nos lé- gislateurs comprendront cette fois leur devoir sur ce point et agiront en conséquence.
La $anté morale des enfants importe encore plus que la santé physique. Si les autorités cana- diennes s'intéressent d'une façon toute particulière à la santé phy- sique des enfants — et c'est de bonne politique — elles devraient être encore plus soucieuses du bien-être moral de la jeunesse. La corruption des moeurs est un si- gne de décadence. Donc la lJitté- rature et le cinéma, qui enseignent le crime et glorifient le libertina- ge, minent les bases de la société, la famille chrétiennz où se per- pétuent les bonnes moeurs. Tout récemment, Sa Sainteté Pie XII demandait au cinéma de se met- tre au service de l’unité familiale, plutôt que de se consacrer à l'oeuvre malsaine des intrigues du divorce et de la séparation des époux. De même les comiques qui représentent les exploits scabreux et malhonnêtes des “gangsters” font une sale besogne. Il est grand temps que le gouvernement du
pays intervienne et nous débarras-.
se de cette littérature malfaisan- te.
Mais les parents chrétiens ne devraient pas attendre l'action plutôt lente de nos législateurs à cet effet, Ils devraient se mettre à l'oeuvre tout de suite; bien plus, ils auraient dû, de fait, avoir agi depuis longtemps contre cette lit- térature immorale et pornogra- phique, Certains comiques, cer- tains magazines, certains romans, certains illustrés ne devraient ja- mais franchir le seuil d'un foyer chrétien,
Le soir, le père de famille ver- rouille la porte — mesure de pru- dence contre les intrusions noc- turnes des voleurs. Or, par un il- logisme incompréhensible, ce mé- me père de famille, à qui incom- be la garde des trésors que le bon Dieu lui a confiés, les enfanis, laisse grande ouverte la porte de son foyer aux saboteurs d'âmes, les livres et les brochurettes ob- scènes et immoraux. Très fré- quemment, dans les cours juvéni- les, des enfants de quatorze ou quinze ans, petits voyous, décla- rent ingénument avoir commis le crime ou les crimes dont ils sont accusés tout simplement pour re- construire une scène de cinéma ou une histoire lue dans les comi- ques. “Dis-moi qui tu hantes et je te dirai qui tu es”. Avec des his- toires de cambrioleurs et de “gangsters”, on ne forme rien au- tre que des détrousseurs de grand
os mm
chemin et des criminels. Cette | morts.
pègre, que ce soit la haute ou la basse pègre, hypothèque lourde- ment l'avenir d'un pays. C'est dans les rangs de cette société que se recrutent les fomentateurs de désordres et de révolutions. Pour contre-balancer les méfaits de la mauvaise littérature, les ca- tholiques devraient encourager et soutenir la presse catholique, qui se dévoue aux meilleurs intérêts de l'Eglise et de la patrie. Cette presse lutte pour la vérité, pour le bien et l'intérêt général. Elle met en pratique l'antique mot d'ordre: “Pro aris et focis”, pour nos autels et nos foyers, Au lieu de recueillir les scandales et les crimes qui déshonorent notre pla- nète grise, elle présente à ses lec- teurs des idées et des faits de na- ture à inspirer le bien; elle dé- masque l'erreur et défend la vé- rité. Mais son travail est pénible, bien souvent, pour la bonne rai- son qu'elle n'est pas soutenue. “La voie de la presse catholique est parsemée d'épines”, écrivait S. Exc. Mgr Segura y Saenz, ar- chevêque de Séville, “car elle n'a pas seulement à subir l'opposition des gens de mauvaise volonté, mais celle aussi de ceux qui se di- sent bons. Il est certes pénible de devoir constater que l'on ne voit jamais un journal] catholique aux mains d'un libre penseur — si ce n'est pour mieux le combattre — alors qu'il se trouve de nombreux catholiques qui dévorent les jour- naux neutres et pornographiques”. Le reproche que l'archevêque de Séville adresse aux Espagnols peut également s'appliquer à de nombreux catholiques canadiens, qui préfèrent la littérature plus ou moins immorale des journaux jaunes et des magazines porno- graphiques à leurs journaux ca- tholiques. Voilà pourquoi la voie de la presse catholique est parse- mée d'épines. Si elle ne se déve- loppe pas à l'allure de certains journaux neutres, c'est parce que bien des catholiques versent leur argent à ces derniers, “Cet appa- reil (la presse) ne fonctionne pas sans des ressources pécuniaires très considérables, C'est ce besoin d'argent qui rend la presse véna- le et crée des difficultés presque insurmontables aux journalistes honnêtes et indépendants”, dit N. Delsor, ancien sénateur du Bas- Rhin. Mais il n'est jamais trop tard pour faire le bien. À la mauvaise presse, opposons la bonne presse. Canalisons vers les journaux ca- tholiques les sommes très consi- dérables que trop de catholiques éparpillent sur des publications qui n'en valent pas la peine, et qui, parfois, sont absolument mauvaises. I. V,
PARIS — Le sous-préfét de Meaux a remis à la ville de La: gny la Croix de guerre, en récom- pense de la courageuse attitude de la cité pendant les quatre an- nées de l'occupation.
“De 1430 à 1591, souligna le mai re, M. Flanant, dans sa réponse au discours du sous-préfet, Lagny se rendit célèbre en soutenant contre les ennemis du royaumé cinq sièges successifs”. \
Le matin, toutes les sociétés 10 cales s'étaient rendues au cimetiès re pour rendre hommage aux
PAGE QUATRE
L'Oeuvre des Bourses du collège de St-Boniface
Nous n'avons pas à présenter l'Oeuvre des Bourses au publie frabeo-manitobain Fondée il y « une dizaine d'années, cette Oeu- vre s'était assigné comme but d'ai- der des élèves rnéritants, plus ou moins néCensiieux, à commencer ou à compléter leurs études, De- vuis lors l'Oeuvre à dû débourser de ce chef tout près de 850,000, E1-
\remplacer les bourses actuelles et
: | | :
|dépenses dans les cadres qu'elle |
1 :
|
le à surtout permis à bien des pa- |
rents d'envoyer leurs enfants au Collège, car bon nombre qui ne pouvaient payer la pension en- tière consentaient à eh solder une Partie notable, Le fait que l'an depfier on à eu une classe de fi- flssants plus nombreuse qu'en aucun temps au collège de St-Bo- niface est Qù à l'Oeuvre des Bour- EUR
Cette Oeuvre n'a pas fait beau- coup d'argent l'an dernier, Pour des raisons qu'il n'est pas facile de déterminer, la souscription a ét& moindre que par les années passées, L'Oeuvre des Bourses s'était proposé, en plus d'aider les élèves nécessiteux, de créer un fonds dit “fonds intangible” avec
|
1
l'espoir qu'avec les ans on aurait |
une somme assez considérable pour couvrir les besoins courants,
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ongue, créer un fonds ve pour le collège lui- Depuis ces dernières an- Bourses a suffi res
merne, à à rese mére nées, l'Oeurre des à peine à rencontrer ses pr
s'est imposés. Le “fonds in ble” à cette allure risque de de- meurer un fonds immobile en plus d'étre intangibie!
Réunion importante
Le comité exécutif de l'Oeuvre des Bourses a tenu une importan- te réunion la semaine dernière. a été décidé d'activer la cam- pagne en faveur de cette veuvre vitale et d'inaister pour que notre population catholique aide large- ment encore cette année, Il a été suggéré de faire un appel pres- sant aux anciens élèves du colle- ge, surtout sa faveur du fonds in- tangible, qu'il faut augmenter a- fin d'assurer l'avenir de l'Oeuvre des Bourses
Nous nous contentons aujour- d'hui de soulever la question et d'en sou;:+ner l'importance. Il ne faut pas laisser tomber cette ini- tiative qui a déjà fait beaucoup de bien et qui est appelée à en ncore davantage. Il y va ir de notre clergé et de sse professionnelle, Que imposent des sacrifices en de l'Oeuvre des Bourses du
vue
collège de St-Boniface!
À ia Basilique
En l'honneur de Marie Samedi après-midi, tous les pa- roissiens qui le peuvent sont in- vités à se rendre, en auto, au devant de la statue de Notre-Da-
|me du Cap, jusqu'à Fort White.
On devra d'abord prendre place sur la rue Marion, à l’est de la rue Taché, avant 3 h. 30 p.m. A 3 h. 30, le défilé s'avancera vers Fort Jhite.
Au rerour, vers 4 h. 30, cérémo- nie spéciale à la basilique.
ALLOCUTION DE $S. EXC.
MGR G. CABANA A CKSB
S. Exec. Mgr G. Cabana, ar- chevêque coadjuteur de St-Bo- niface, prononcera une causerie au poste de radio CKSB le lun-
di 10 s«etobre, à 9 h. 15 p.m.
Cette causerie sera donnée à
l'occasia de la semaine de clô- ture de la Croisade du Rosaire,
Retraites fermées
OCTOBRE 7-10 — Dames de langue an-
£laise.
14-17 — Ukrainiens de Win- nipeg (en anglais).
17- Hommes et jeunes gens de Somerset, :
21-24 — Institutrices de lan- gue française,
24-28 — Hommes et jeunes gens de Notre-Dame de Lour-
des. 28-31 — Demoiselles ukrai- niennes (en anglais).
NOVEMBRE
4-7 — Dames de langue an- glaise.
8-11 — Dames de Somerset,
11-14 — Chevaliers de Co- lomb.
15-18 — Dames de Notre-Da- me de Lourdes.
18-21 — Demoiselles de lan- gue française (général).
N. B .— L'on peut se joindre à un groupe de son choix en a- vertissant, L'on peut même or- ganiser une retraité spéciale en s'entendant pour la date avec la Maison des Retraites.
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radiodiffusée
PAR Ce K. S,. B. Vendredi soir, le 7 octobre, de 10 h. 30 à 11 h. 30
Le chant par un groupe d'hommes
"FAMILLE QUI PRIE — FAMILLE UNIE"
:
|
:
M. l'échevin J. Van Belleghem
sera candidat à la convention
[libérale pour le siège électoral
|
|
| provincial de St-Boniface, qui au-
ra lieu le samedi 8 octobre à 2 h. 30 à l'hôtel de St-Vital On sait que le comté de St-Boniface sera | représenté à l'avenir par deux | députés au provincial. M. Glad- stone B. Shearer est l'autre ean- |didat qui briguera les suffrages des délégués samedi
À l'Hôtel de ville de St-Boniface
| Problèmes de construction
| Il a été décidé de procéder à l'étude complète des nouvelles méthodes de construction en cours let si nécessaire d'y adapter les réglements qui ont eu force de loi jusqu'ici. Cette décision a été prise après que le Comité de Construction eût été approché par un entrepreneur demandant de construire une maison sans sous- sol. Comme on le sait cetle mé- thode est maintenant prônée: on place les tuyaux pour chauffa- ge dans le plancher et on élimi- ne tout le sous-sol. Actuellement, les règlements de la ville de St- Boniface réclament qu'on fasse un sous-sol d'au moins cent pieds carrés. On a permis de procéder à la construction de cette maison, à titre d'essai, et le Conseil exa-
minera quels changements il se- | rait bon d'apporter à ses règle- |
ments de construction.
Problème ouvrier
L'échevin Boisselle a soulevé la question des nouveaux arrivés (personnes déplacées) qui, dit- on, acceptent de travailler pour des salaires moins élevés que les salaires courants et pendant des heures de travail plus longues que les journées de travail ordinaires, ce qui cause un problème. Il a été décidé de s'informer des con- ditions de travail de ces person-
ines en général. Ces renseigne-
ments devront être puisés auprès |
des gouvernements fédéraux et locaux et auprès des ministères du travail.
Le bill autorisant la construc- tion d'une école de $200,000.00 (pour la partie du‘Norwood) a subi sa seconde lecture. Les con- tribuables voteront à cet effet le 21 octobre, lors des élections mu- nicipales. En même temps, les ci- toyens se prononceront sur la question toujours aiguë du chan- gement d'heure. On sait que Win- nipeg doit aussi se prononcer sur ce point.
Le Conseil a décidé également de ne pas s'opposer à la hausse des taux de transport de la Win- nipeg Electric pour ce qui est des billets de tramway et d'autobus. I1 a été cependant souligné qu'on demanderait un meilleur service de la part des autorités de la Win. nipeg Electric.
Ld LI Décès M. FELIX LABELLE
Les funérailles de M. Félix La- belle, qui s'est-noyé accidentelle- ment le 18 septembre dernier, ont eu lieu le mercredi 5 octobre, en la Basilique de St-Boniface, à 9 h,
M. Labelle, qui était âgé de 26 ans, a fait partie de l'Armée ca- nadienne durant cinq ans, et a passé quatre ans outre-mer du- rant la dernière guerre.
Lui survivent, sa mère; une soeur, Mme Stanley Walker, de Norwood; quatre frères, Aimé, Louis, Harold et Robert.
PARIS — M. de Véricourt, con- seiller municipal, a signalé au pré- fet de la Seine l'état d'abandon dans lequel est laissé l’emplace- ment où se trouvait, avenue Lo- wendal, la statue du général Man- gin, abattue par les Allemands.
. Le préfet vient de répondre que l'on envisageait de remplacer le
coffrage actuel en mauvais état mais non pas, mes Frères, le re- |
par un petit monument très sim- ple qui serait entouré d'une bor- dure de buis encadrée par une plate-forme gazonnée et fleurie.
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| Nous tenons à remercier tous ceux qui ont bien voulu nous en- courager en venant voir et euten- la l'incomparable Séraphin et [ses compagnons. Plus de 6,000 des Inôtres ont assisté aux diverses | représentations et tous ont été sa- itisfaits et fortement impression- nés du jeu des acteurs. 1l est tel-
re
|lement plus intéressant depuis de }
suivre Séraphin à CKSB!
| Nous avons pu obtenir une au- | tre copie du film et elle sera mon- |trée dans plusieurs de nos cen- tres. Ainsi, à St-Pierre, dès la se- maine prochaine, et plus tard à St-Claude et ailleurs, Nous don- nerons la liste des endroîts où le film sera déroulé. Entre-temps, le film qui a été montré à Winni
| fait les délices des nôtres en - gerer
Question du film francais
gr cela pie Ja question à“ film français. Depuis un an
plus, notre société essaie d’intro- duire le film français au Manito- |ba. Les difficultés ne manquent | pas: tout film venant de la pro- | vince de Québec doit étrew#ensuré et les taux sont excessifs: un film | de 35- mil. d'une longueur raison- [nable est quoté à $40.00 pour la
|censure seule, Nous devons en |
| plus payer les frais d'envoi et de
| location qui sont toujours élevés, |
car il y a moins d'ouverture sur le marché pour le film français [que pour le film américain ou an- | glais çais, il faudra donc faire un petit sacrifice en ce sens. -Il faudra |aussi se méfier des films qu'on nous offre ailleurs, Il s'est dérou- lé des films français à Winnipeg dernièrement qui étaient non seu- lement peu recommandables mais ouvertement répréhensibles. Nous espérons pouvoir mettre sur pied d'ici quelques semaines un service de films français, tant en 35 qu'en 16 mil. Les prix seront à peu près les mêmes que pour les autres et ces films offriront les paranties morales que recommande l'Ency-
|
ra s'adresser à notre société à cet
d'organiser sous peu ce service.
et nous comptons sur l'appui de nos centres en ce sens. Si nos gens
| fournir. Bibliothèque
sion du livre français, Nous avons
bliothèque s'enrichit ment. Nous avons eu le bonheur
ment prometteur et encourageant, Conférences et films
. Nous sommes encore chargés du | circuit français de l'Office Natio- nai du Film et nous voulons en- core cette année appliquer la for- mule qui nous a été heureuse l'an dernier, c'est-à-dire envoyer des ue sujet ct u circuit gros,
Chevaliers | de Colomb
Savez-vous, Frères Chevaliers, qu'un des plus beaux programmes à CKSB durant la saison courante a lieu tous les dimanches soirs, de 9 h. 30 à 10 h.? J'emploie le ter- me “beau”, je pourrais dire inté- ressant, très plaisant, etc, . . . et le qualificatif serait encore appro- prié, Le Frère Lucien Daoust (on peut le dire puisque tout le mon- de le sait) non seulement se dé- voue mais fait des tours de force.
spécial, avec le di Lnest, M. Cla
Ce programme nous est très utile et le public a montré son | approbation. Le but de ce com- mentaire est de vous rappeler premièrement que le programme existe et, deuxièmement, que le programme dépend de vous. Vous serez invités à vous y joindre à tour de rêle. Mais pourquoi atten- dre une invitation? Offrez vos services . ..
Des Chevaliers ont commenté que le Grand Chevalier devrait aller souvent à la chasse, Notre dernière assemblée fut menée rondement à la satisfaction de tous et elle fut terminée de bonne heure,
La date de l'initiation a été re- mise à plus tard, en novembre. La raison est bien simple: nous voulons faire bien et le surcroît d'occupations diverses de ces jours-ci risquerait de nous trou- ver insuffisamment préparés, Donc, pour faire mieux, nous al- lons retarder un peu l'initiation, | erutement.
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A l'Heure Dominicale | Detites Notes
MM. Oscar et Gérard Saulnier, de St-Boniface, sont de retour d’un voyage d'affaires à Cambell's Bay, P.Q. Ils se sont rendus visiter des parents et amis à Montréal, Sherbrooke, Weedon et Stratford, P.Q.
Mme A. Jacques et Mlle Pau- line Martel sont de retour d'un voyage aux Etats-Unis. Elles ont visité le Michigan, l'Ohio, le Wis- consin et le Minnesota.
* L L
L'Association Progressiste Con- servatrice du comté provincial de St-Boniface a tenu une assem- blée le mardi soir 4 courant. Il a été décidé de convoquer uhe convention pour le samedi après- midi 15 octobre 1949. L'assemblée laisse à la convention le soin de décider si les électeurs du parti doivent donner leur suffrage au gouvernement de coalition ou nommer des candidats conserva- teurs indépendants.
M. l'abbé Ovila Bélanger, de Montréal, aumôniér général des centres d'apprentissage de la pro- vince de Québec, est le nouveau
commode pour Idéal pour manéhes difficiles à presser.
directeur de “l'Heure dominicale” qui reprendra l'horaire au réseau Français de Radio-Canada le sa- medi 15 octobre. Tous les samedis, à midi, la causerie développera un sujet qui sera discuté le lende- main soir, à 5 h. 30, par un forum de Jaïcs choisis dans tous les mi- lieux sociaux et éducationnels du
PARIS — Le nouvel évêque de Nancy, le chanoine Marc Lallier, est né en 1906. Ordonné prêtre en 1932, il a professé au séminaire de St-Sulpice à Paris, puis a exer- cé son apostolat auprès des étu- diants de la Cité universitaire de Paris, En 1949, le cardinal Suhard l'avait nommé directeur du petit
|de Notre-Dame du Cap, Reine du | sant, ces enfants choyés de la Ma- | Canada. |done du Cap pourront la remer- | Cette heureuse coïncidence est |cier dans sa nouvelle basilique,
|confiance en son intercession.
|
| statue de la Vierge en 1947,
ile centenaire du dogme de j'äin- | mac ‘ ipeuple canadien aura prouvé à
séminaire de Connflans, Meurthe-
Canada français. (S. R.-C.) be jee sr | À
| Salut à Notre Dame du Canada
Le centenaire de la prociama- | Notre-Dame son désir de coopé- Ition du dogme de l'Immaculée | rer à cette oeuvre de salut. Et a- | Conception approche. De même le | près avoir une fois de plus ressen- |cinquantenaire du couronnement |ti la protection de son bras puis-
|monument de foi et de générosité | édifié par les innombrables ro-|
ès maintenant à cette in- | de près ou de loin, tous | A cette occasion, il nous est |en choeur pourront chanter cette | doux de joindre notre modeste of- |stance d'inspiration sublime dont | frande, et d’unir notre humble |le motif constitue le ressort et qui | voix à celle de milliers de nos |doit demeurer le point de rallie- | compatriotes: pour construire ce ment de toute nation véritable- | que nous oserions appeler un |ment chrétienne: | “Pont de chapelets” au-dessus de| “La foi fut sa boussole et ton la vague rugissante de désordre |nom sa bannière. ui moral aussi bien que matériel qui] Au ciel ta douce étoile a guidé semble vouloir submerger notre son vaisseau. | chère patrie. | u'il vogue jusqu'au port de la | Tout particulièrement durant | pleine lumière, ; je | cette grande Croisade du Rosaire, PR un | à la clarté du céleste | profitant de sa visite dans notre | . | diocèse de St-Boniface, nous som- | MARIE-REINE. mes heureux de présenter à notre | bonne Mère nos respectueux | | hommages et lui dire toute notre Pour olbums de mariage, por-
traits de fomille et d'enfants pris à la maison téléphonez à 202 652.
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Oui, qu'avons-nous à craindre quand gronde la tempête? Comme le disait le vénérable apôtre du Christ-Roi, le R. P. Matéo, lors de sa rencontre mémorable avec | ils la |
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mieux.
GENE GAUTHIER | Photographe I 489, rue Giroux, St-Boniface, Man. ||!
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LA . Ste-Marie Eco Le 6 septembre dernier, notre école Ste-Marie rouvrait ses por- tes pour recevoir les enfants de notre desserte au nombre de 47,
née dernière et se divisent en 2 groupes presque égaux, 25 élèves Eee la première classe ‘: des krades 1,2, 3,.et 2 deuxième classe constituée par les grades 4,:5, 6, 7'et 8. Deux religieuses Missionnaires Oblates de la Maison-Chapelle dis- pensent l’enseignement à nos en- cédentes.
Partie de cartes Avec l'autumue, les activités de notre dvésserte ont repris leur cours. Ces activités sont les moy- ens indispensables qui rious pro- curent les revenus nécessaires pour boucler notre budget. Dimanche dernier avait lieu, dans la saile du sous-sol de notre chapelle, la première partie de cartes de la saison. Une assez nom- breuse assistance est venue pas- ser une agréabe soirée tout en faisant un bel acte de charité, Les dévouées organisatrices ont remporté un meilleur succès qu’à la première partie de cartes de l'an dernier. Voici la liste des heureux gagnants: Aux cartes: Mme Simonne Du- maine, M. Joseph Spronken, Mme E. Robillard, Mme Eva Dumaine, M. J. Spronken, M. Albert Mager, M. Aimé Hamel, Mme Alma Du- maine, Mme Joseph Plante, Aux tirages: M. P. Dumaine,
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Prix d'entrée: Mme Sylvio Mas-
Ils sont plus nombreux que l'an-|carin,
Avec grand plaisir et une très vive joie, nous remercions les gé-
ui abrité |néreux paroissiens qui ont fourni dans la | gratuitement
l'excellent goûter qui a été abondamment servi a- rès la partie de cartes, ainsi que es généreux donateurs des prix dont les noms suivent: Mme’Fred. Baker, les magasins Dayton, Gen-
fants comme par les années pré- |ser, MeLeod's Shoe Store, la bras-
seris Kiewel, M. Bert Cusson, la compagnie des produits Heiriz et M. Jacques Spronken, notre pa- roissien qui vient d'ouvrir, à la pharmacie Elm Park de St-Vital, chemin Ste-Marie, un dépôt de dé- licieux chocolats connus sous le nom “Tanguay” qu'il fabrique lui-même.
Notre prochaine partie de carte: aura lieu le dimanche 6 novembre, à 8 h.:30, dans la salle du sous-s0]l
de notre chapelle, Tous céux qui s'intéressent au développement de notre petit groupe sont côrdiale- ment invités,
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SUR ET COURTOIS
Cité de St-Boniface SOUMISSIONS
cachetées, marquées
(a) la collection des déchets et des cendres de la ville; (b) la collection des nettoyages de rues et des branches:
Pour plus amples détails, spécifications et formules de sou- mission, s'adresser au Département des Travaux Publics à
l'Hôtel de Ville,
Un dépôt de 5% du montant de la soumission devra accom-
pagner chaque soumission.
La plus basse ou aucune des soumissions ne sera nécessaire- ment pas acceptée.
PAR ORDRE Maurice PRUD'HOMME, Greffier
Hôtel de Ville, St-Boniface, le 4 octobre 1949,
, T octobre 1949
Winnipeg, Mon
Joseph
Di dt Crond banquet au Cercle Ouvrier St-
quet qui ré : le 150 zélateurs pour la C 1roisse e 5t-Boniface fut se ar au Cercle Ouvri u L ] cipaux chefs de la Croisade dan 1 pa e ont ad er les de ( : 1Ux zélateurs au sujet de Jeu important travail Mgr Georg irchevéque coadjuteur de St-Boniface, adressa la parole ; pour se re n « assista au ralliement, Son Honneur le juge Jos de la € diocèse de St-Boniface, adressa la partie, ainsi que M enri Lacerte. M, bbé Léo B « { la réunion. Au cours de la soirée, un film sur l'oeuvre du R. P. P, Peyton fut pré 6, Le souper était organisé par les Dames de Ste-Anne de la paroisse de la basilique.
Vue du centre de la salle du Cercle Ouvrier lors du banquet des zélateurs de la Croisade du Ro- saire, mardi dernier, Ù
tt
pour recevoir les dernières directives au sujet de leur travail dans la Croisade du Rosaire.
(Photos Gene Gauthier
| THE CITY OF ST. BONIFACE
NOTICE RE SUBMISSION OF BY-LAW TO THE ELECTORS OF THE SCHOOL DISTRICT OF ST. BONIFACE NO. 1188.
| |
|
|
|
_|La mission rédemptrice
TE ET LE PATRIOTE
LA LIBER
des penseurs catholiques
VATICAN —- Le pape a reçu en audience privée à Cas- telgandolto M. Roger Millot, président de “Pax Romana” international des intellectuels catholiques, au
mouvement
|sein duquel sont représentés 32 pays. Ce dernier a exposé au
Souverain Pontife les résultats du récent congrès de Luxembourg et l'a entretenu prochain congrès d'Amsterdam.
Sur le premier point, M. Roger Millot a sougné que des secréta-
riats spéciaux, ceux des philoso-
De Penn” tions des droits de la personne hu- | maine |
En ce qui concerne lé program- | me du congrès de 1950, qui se tien- |
phes et des intellectuels qui }dra à Amsterdam, M. Millot & re- | s’adonnent aux recherches scien- ! Ççu l'approbation du pape pour ce | tifiques, se sont ajoutes à |qui a traite à cette manifestation | ceux qui représentent déjà les | dont le thème sera: “Les intellec- différentes branches de l’activité | tuels catholiques dans la rédemp- intellectuelle, Le président de tion”. Ce congrès discutera des “Pax Romana” a également parlé [problèmes d'ordre professionnel, au pape de la position prise par | politique, économique, social et
culturel, qui s'opposent aux intel- lectuels catholiques, notamment à l'égard des recherches scientifi-
son mouvement sur la question de l'universalisme chrétien qui a suscité la lettre adressée à l'ONU
| Les Wallons
opposés au roi Léopold
LIEGE — Le congrès nat
n£ n à tenu ses assises à Liège
es
L'assemblée a adopté plusieurs résolutions dont l'une est oppo sée à la reprise par Léopold III de ses preérogalives royales et à la proposition de consultation p
pulaire sur la question royale Un ordre du jour proposant : referendum en Wallonie sur fédéralisme & été renvoyé au co- mité permanent du congrès. Prenant la parole à ce sujet, M
Dehousse, délégué de la Belgique |
à l'ONU. et au Conseil de l'Eu
rope, à notamment affirmé qu “seul le fédéralisme européen peut favoriser le fédéraiïisme en Belgique”. Selon l'orateur, le
dre de la Belgique et même ce de Benelux, est trop petit pou
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Pourquoi payer plus? Sa qualité est insurpassable
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Le macarumi Polo et Le spa ghetti Polo sont faits exclu sivement de semoule crème du blé
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pour protester contre les viola- | ques modernes résoudre certains problèmes et ER QNT = MALE ap Le 58 RM is Œ — | notamment les problèmes hollan- , RER | do-belges |P sdi . d Et ie crois que v ' P! d venus ux Au cours de la discussion, plu re iction une pris de Û us e re a |sieurs orateurs se sont livrés à . " . 1 | une violente critique du Benelux autre crise it | fermiers de l'Ouest CR F 3 | e économique TL . M : . . . £ L! ve \ ue OTTAWA — Les augmentations des prix du blé décré- | EGLISES : | 'mors.drviEnEe à le ; | tées par le conseil international du blé vaudront, prévoit-on, | POUR LES REFUGIES Mer Ch O nt, évi |des revenus plus abondants au syndicat du blé des éermiers | BERLIN | Une lettre pasto- | que aux Q 16 | , : : ue des arcneveèques t aes eve r'e . . | de l'Ouest, a annoncé récemment un porte-parole du gouver- |. catho euss fermes ls à été nement. Le haut fonctionnaire commentait une nouvelle de VIT he, dans toutes les ie PRAGAMEE ER E ER DR D ai TT FRÉLACURES EE __.. églises d'Allemagne, jour du cen ‘ Lu dise Pen gp gg Pgo M tenaire de la fondation de J'Oeu Y t déjà L'ETAT LOGERATI [188 en fonds ssdlens le Det Royaume-Uni au prix de $2 m7 vre de St-Boniface pour la propa- P ) e caus M. ST-LAUREN'T vi. Let: 4 |rieurement fixé par contrat. Un |gation de la foi chrétienne dans | pi cit DE cabane re je blé de {total de 12,000,000 de boiss les régions où les catholiques sont Î A ) Ex Poite de 1949-1950 est : €1 65 été vendu depuis le l'août | en minorité. Les évêques ont s « n d “A _ age ose dde R , ue de aux termes de l'entente erna- |ligné que 5,000 égiises provisoi-|tion pat ? repren HO , suite d'u dé mA + 4 ET éolier |tionale, soit à $1.80 le boisseau, | res ont été aménagées depuis 1945 |feurs de v . propi to pére ch “peut comporter éven- déclara le porte-parole |en Allemagne pour les réfugiés. | qui tient t leau Hall, } \trar r 2 . > »s autres 50,000,000 de bois-! —— _…— — |blée annuell Ig résicence officielle d tuellement des revenus plus éle- Les autres 50,000,000 - s | na - ms eg 1 | 2 vés pour le fermier qui fait acti- |seaux que le Canada s'attend de | NOUVEAU PROFESSEUR ll ré ‘ ve ist la. € 7m r d lu ù raient le maximum | “ conomiaque travt : son est actt ( ( vement partie du syndicat. On se | DES ndraient le maximum | A LAVAL | € _ same Fe + État Vos han : souvient que le prix maximum du | Ge $1.98 le boisseau ES | ù se milan us Matane he lire ds sr Conseil international avait d'a- 1 Le programme arrête pour | QUEBEC pe Phare. Mars COS 7 F Fr pe ( nt Déj À ré | M. St Latren a sa propriet bord été fixé ä $1.80 le boisseau. quatre ans a RU but de stabiliser | 2 deb de pesèr y mp eg vd | cote ie sc mble se tr insformer | de la Grande Allée, à Qui bec A Durant l'année en cours, le Ca-|les prix du blé et il prévoit des | à 1 université Laval < “é nm évoluer Si pr ne vo lons p 18 | Ottawa, il habite un appartement nada fournira 203,000,000 de bois-| échanges annuels de gr en | oops opus Le ra Z : PL Éoiulen sauce 1Sute l'Dens 18 même falren de rapport à l e i $ isseaux É ‘ inci |seur à nstitu histoire | qu ette évolution cause r- ans la M me 4 rapport seaux à l'agence internationale; | boisseaux de blé. Le principa PRE Lu i [te de la société, il faut l'orienter. Ihabite égaiement M. George Drew.
Sur cette photo, l'on voit une partie du groupe imposant des zélateurs réunis au Cercle Ouvrier |
|
| y-law to authorize the issue of € re ñ District of St. Boniface. No. 1188 he Hundred and Seventy Thousand ($170,000.00 NOTICE is here that a by-law (No. 102 District of St. Boniface, No. 1 \ PUursuanm tt he City of St. Boniface, be s ! The | c Schoo! Distriet of S e, entitled to vote the'eon in mes and
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140,000,000 de boisseaux vont au
pays exportateur est le Canada.
Marguerite Bourgeoys 1620-1700"
Marie sont ici. — Bravo! nous serons plusieurs pour nous amuser. Jouons à l'écoie. — Oh! oui et ce sera Marguerite la maîtresse, —— Pourquoi toujours Marguerite? Je veux l'être aujourd’hui. — Oh! non, pas toi Louise; ni moi non plus. C'est Marguerite
qui fait mieux . , . — Oui! oui! que ce soit Marguerite comme d'habitude,
sais que maman
uerite le rempl
Marguerite a 20 ans, elle est belle, élégante. *Les jolies robes, les bijoux lui plaisent plus que de raison . . . Un jour, au cours d’une procession, une statue devant laquelle la jeune fille est souvent passée, s'anime, lui sourit, Ce sourire de la Sainte Vierge change complètement les idées de Marguriete. Elle regrette le tmps perdu à des fri- volites, elle ne rêve plus que d'être utile au prochain.
35 ans, n'a pas de peur elle hés ainsi .
Sainte Vierge tranche la question. Apparaissant à Marguerite, elle duit dit pe t'abondonnerai pas.
Lorsqu'elle arrive à Ville-Marie, Marguerite aide d'abord à Jeanne Mance, puis à M. de Maisonseuve. Faute d'enfants d'âge scolaire, elle doit attendre 4 ans avant de faire la classe. En 1657, cinq garçons et trois fillettes, qui ont réussi à vivre malgré les Iroquois et le climat, seront les premiers écoliers de Montréal. Une branche de sapin abrite maîtresse et élèves; des bûches servent de chaises. L'année suivante, Maison- neuve offre une ancienne étable. Marguerite est ravie; elle fera la classe en bas et logera en haut dans le pigeonnier.
Mgr de Laval, vi
velle école réce
— Tu n'est pas ma mère. ., je ne suis pas maman, mais je t'assure que je fais de mon mieux pour la remplacer, Au lieu de me rendre la tâche difficile, aide-moi donc en te montrant raisonnable, Tu
çon qui te déplait . .
. seule femme sur le bateau avec cet homme qu'elle connaît à peine , .
Texte de Béatrice Clément Illustrations de Daniel Lareau
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! — Voyons, frérot, ne sois pas méchant. Je sais bien que
C'est bon, c'est bon! Je ne verrai plus ce gar- Lorqué M. Bourgeoys meurt à son tour Mars
n'aimerait pas . » es-tu contente ?
ace, lui aussi aupres de ses frères et soeurs; c'est une vaillante,
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M. de Maisonneuve est à Troyes. 11 cherche une personne courageuse qui consente à le suivre pour enseigner les enfants de Ville-Marie. Maîtresse d'école? Marguerite, à
perdu ses gouts de finettes; elle partira. Au dernier moment, prise ite; enseigner ne sera pas un jeu au pays des Iroquois! Et puis partir «7 La
r: Va,
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— Alors, c'est bien entendu, n'est-ce pas? vous fergz vos plus belles révérences, —— — Oui, Mère Marguerite, — Vous répondrez clairement, sans bredouliler, si Mon- seigneur vous interroge. —— 11 va nous questionner
| — Peut-être ; . . chut! le voici ! caire apostolique, est en tournée à Ville-Marie. 11 vient visiter la nou
mment construite par Marguerite Bourgeoys €6t encourager celle-ci
dans son veuvre d'éducation.
PAGE S1X LA LIBERTE ET LE PATRIOTE Winnipeg, Mon., 7 octobre 1949
Ste-Agathe ” Saint-Charles
| Visite de Notre-Dame du Cap Les dames de la paroisse de
LU . St-Charles ont le plaisir de vous
Durant sa tournée à travers le, smnoncer que leur souper annuel
ravers les Centres Français du Manitoba |: 7 7" 50
rime du Cap a fait un arrèt de d *'! manche 9 octob de 6 h. à!
jours Gans notre paro Elle a } dans la salle paroissiale
ve YTIVA 1€ soir ous | Le es en
| Des correspondants spécieux de ‘Lo Liberté et le Patriote fombosen à does pont de nant D. Lune procession et l'accompagné- | vités
rent jusqu'à l'église Les confes emission ee sions furent nombreuses ce soir B Il 2 là et les communions encore plus € eview : : . nombreuses jemai sur- x ombreuses les lendemain et si M ei Mme Anatole Massart. de
Au programme ‘’Leslie Bell Singers”
Thibaultville ST
Visite de Notre-Dame du Cap + pr lendemain. La récitation du ro- fÜterie lgin. de W ipeg, e* pence rm ad saire fut ininierrompue durant leër tils Par ce. rendirent Visité | miernDre dar mn nage e uré : 4 résen à | ls, ? ce, nait si ’ ourte ui toute la durée de la présence de | à M. et Mme Jules Meuvraumont, + d e 4 |la Madone. : M: dar # ' à de Ti LA D'ÉSÉEIA* SARA de Belleview, Man : - © sie € Le vendredi 23 septembre, à vs ce ra ERREUR CESR era = Létourneau 3 h., il y eut une cérémonie spé- . dar dr ati2. D Bie* iciale pour implorer la guérison St-Pierre-Jolys s ent à cit de nos malades. Les assistants | D erins d Lémus conserveront longtemps Île un tt | - a n 4 tin compte à Psouvenir de cette cérémonie très Tellier —Vermette —+ Le Souverain { tes et le no e des invités p 1 | L a [touchante, qui a témoigné du Le simedi 17 septembre fut cé- F petit rê S'ils D grand esprit de foi de tous ceux jébré, en l'église de St-Pierre, le Pontife à Castelgandolfo Pos " ’ e les f 1 Ro é, « qui imploraient leur guérison mariage de Mile Estelle Vermette, | ___ 1 ne Green : n … { mati ; F - ae ee s ss ns s sw ère. es nu d'un Le samedi matin Vers 9 h., les fille de M. et Mme Auguste Ver- |” (gite de 1 prenuere vage) dans une,p : etaie « 1x E Unis où à a paroissiens accompagnèrent enco- mette, avec M. Paul Tellier, fils | bureau du Sain g à N sp î Les pe ire une fois la Madone qui était de M. et Mme Hector Tellier, de | bortes du château pontifical. Des tendons sa voix dans la chambre Cat ens éprouvent e grande sur son départ, C'était la fin d'un | La Salle : : + voitures de luxe ave fanions voisine où il recevait une pri . évoux triduum fervént et le lancement! M. l'abbé J.-A. Sabourin, euré.! ous passent de prèt: ce sont des | cesse italienne et sa fille. Et Lr : nee, de de la grande croisade du Rosaire leur donna la bénédiction nuptia- | dignitaires et des diplomates aussitôt après, sans formalit st-B e sont venus | dans fotre paroissé le et la messe fut cé ébrée par M qui vont à une audience ou er voici cette chère et vénérabli S e ——————————— l'abbé J: Jurski, vicaire. Les! ;eviennent. On chuchote leurs présence qui eppa‘ait devant na ur | St G n FE Se g étaient accompagnés de} noms quand la foule recori D Nous sous prosternons et Da ait 3 à orécié e- eurs pères respectifs naît. Nous sommes # un I relève d'une voix douc Ouest A eneyieve La mariée portait une longue! heu tôt. Des boutique et ave. Venant du Canada ) } € G | ° - : Baptèemes be blanche d 1 brodé, ave eux attirent notre attention vous parlez frança s et angli À. j &e € Howard Cable et Le Dr Leslie Bell, de Goronto, prennent part au Le 10 juillet, ,à Ste:Geneviève: pe + va pe L RL. or es plus sage e hâtent « nous dit le sg" à Père, Que ch er aerr Etat programme hebdomadaire “The Leslie’ Singers”, adié à tous les! Joseph-Arthur-Théodore. fils d'E- #5 Mmancnes ermMi- | les buvettes rustiques qui bo SILs vous! Nous optons poi L î : - È - * Joseph-Arthur-lanëécdore. flls dE te I ample : ‘ train 6 nandént 161 " M Lau ” Oo dimanches sur les ondes de Radio-Canada. Howard Cable est chef rmilien Gauthier et d'Emilienne inies, La Jupe Nr de ". dent la place L'une 7enda LL - à j tre et le Dr Bell dirige le choeur. Gagnon. Porrain et marraine, M LS es \f g en ae plombe le petit t ce ‘ dote _ . M £ a 1 * hiodore € LS Son voile etait retenu d'émeraude qui git C t au | je nv | et Mme Théodore Gauthier. un diadème de sätin blanc le la résidence papale. De son | Ci rist si - — . [temps des souvenirs et impres- ii ” ta bouquet de roses | ; D" Don Le A , tant Saint Claude St-Jean-Baptiste sions du pascage de Notre-Dame Le 2 hôpital St-Boni- Rice PRG ac iù De D Saint Pèr Er le | ps « Li lu À armé « s € rs. | face: Emile-Joseph-An- PAL sé quets où le Saint-Pere aime / R A Visite de N.-D. du € du Cap parmi nous. Les coeurs, | RC ni doistèli Mile Juliette Péloquin, de St-| promener. Les jardins sont bien | C®tigq € y se v à fapié isite de N.-D, du Cap es âmes, les vies, tout ce qu'il y à dré, Edmond Boisiôli et iriln adiie dé mariée. était de ntretenus et les coins ofhbi simple et bo e : pe . de grand et de bon en nous a vis! d'Añna Gauthier, né le 19 août, | 4/0, AMIE QE 08 ARCS ER PR CRT OS ne Me cd : S \otre-L r 2 tobre \ Josef ’ aval | LS L'émori totale: la # Parrain et matraine, André Gau. | Moiselle d'honneur. Elle portait ! gés annoncent une fraicheur arole, Le 2 A 4 et M J eu tu pré [USED 0 aies "M le ét Su Fi thi r et TI irèse Isjoli. ” l'une robe de taffetas turquoise et | souhaitable avec la canicule qu impression profonde et édifi: + v F F L t e 25 sep t er eR upé- | 4 rs 7 ae 4 + T À lel était nds dia sm une coiffure de même teinte. Son | nous poursuit encore. La gande le par sa personne et son intc te F ‘ évoit : dd ‘ ñr o étaient de ja partie. Le ç ts pas d . D) ns at ‘oil: PR, phabr } * : rè r les Ps s soulevée À 0 > ; P M Ù : déau Pose DOSE | us . près de la terre. ou plutôt! Le 21 août, à l'hôpital St-Boni- bouquet co onia] consictait d'oeil horloge, que que part, sonnt r + pou ie | mes Et 2 + £ Furet et Mile Thérèse Fur: 2 LE - Croisade | ait la terre: avait accès lfacé: Joseph-Donald-David, fils lets et'de pois de senteui dix heures et demie. Il est au cours de | audience, Bt quell: et ‘ 2 NE + F Le Vous 1 Rosaire et à la récitation du la lerre qui avai un acces | 24€: "#Æ. n : , » m4 M. Richard Tellie de St-Nor- temps de se rentire au château, emotion quand nous nous age- Pélerinage grand-père et tant l'enfant IE Ce LE Les parois. | facile au ci d'Alfred , Gauthier £t de Doris bart: “agissait comme garc noülllâtnes our recevoir direc- é Mariage 5 HoohAisont Vlr GDS roi = ————— Cruse, né le 20 août. Parrain et ner PT AU MO Le grand poïtail du Palais | tement par lui cette grande fa- mo e Ù imedi ler octobre, le R. P. | 42 nce aux offices qui La Salle | marreine, M. et Mme David Té-| Copper ie de le pontifical de Castelgandolfo est | veur de la bénédiction pontifi- ‘ t jusqu'a , IMC. vicaire de la :çur lieu durant ces jours de treault. JE RES + mb a de ouvert, Quelques Suisses ee | cale, que nous le primes d'é ” et be bénissait le mariage de ère ii fa tanins in Dai d'H À arree,. Chant ht ss Te > | culottes bouffantes et envuban- tendre aussi à tous nos amis! lète QU e. Philir age PACE Voici le tableau d'honneur pour Le 2 octobre, à Ste-Geneviève: : Schubert, accompagné à l'orgue L hs 1l ve -de NT n« | L'audi à ipécial ; tant et au char Philippot, fille de M Pour rect le mois de septembre à l'école | Georgette-Si Ma fille d ar Mile Jacqueline Préfontai nées, hallebarde en Main, mo | audience spéciale prenait fin. hollss fe \lexis Philippot, de no di oeil StHvocinthas jSrenrge tte Dinons-ESarie, El Ve e par Mlle. Jacqueline Préfontaine. | tent la gorde. Des groupes de |. Avec un dernier geste paternel, dbt enthousiast, " LA isse, avec M. Aimé Badiou. | 57 Die rini 7 M NET CU ° | René Brandt et de Madeleine Van-! A l'issue de la cérémenie, il y | pèlerins attendent Je. moment | Sa Sainteté Pie XII nous don- - et Mme Simon Badiou. | étaient décorés de fleurs naturel- Grade IX: Lorraine Cormier, | dendorpe, née le 23 août. Parrair | eut réception à la salle municipale | pour se faire admettre. Nous | nait congé, et sa silhouette éd Q Dame de Lourdes. M Aid di Maclusie une Lucille Cormier. ; |et marraine, Georges Brandt et | de St-Pierre et le soir, grande ré-| montrons notre invitation, et | blanche disparaissait dans la eau prier « ’ 1T ette Mile Isa- lice ot pre pr cn6Ë Hits Mél ditne rade VIII: Isabel Lapointe, Annie Vandendorpe. | ception à laquelle assistaient bon! l'on nous fait passer de suite | salle attenante pour apporter sd aient comme bdrdés Ac: u Dead rs 7 SAEN Germaine Cormier, Mariette A* FR * nombre de parents et d'arnis, | dans la petite cour carrée du | encore à ceux qui l'y atten . ( M. Lo o de la Cl 1 wParnille qui | larY: Générosité et bazar | M. et Mme Paul Tellier récide-| palais. A droite, un escalier | daient sa charité, sa bonté, sa , eu Le a - M MS tamille but FT: ÈN a Grade VII: Merielle Gauthier, Les généreux donateurs de 1a+ront sur la rue Cariton, à Win-! d'honneur’ conduit aux anti- parole et sa bénédiction inesti- + ne vin 7 PS DUT LORS hat D 0e Le Albert Joye | SAP Sint enfin heurèux de | IAE: | chambres et aux oppartements | mable, 5 CE x : : L emain, \ Grade V: Frederic Wall eh jeu-Pcrr Le Pre C nue nee TM DEN TN AVE Ÿ | du très saint Père, Ce ne sont T. G. 11 s t réu Grade IV: Aline Lagointe, Lor. | Voir leur argent et leur bois pren- | : » pas les dimonsiong et la somp- EE AE dr 1 Kemerciements g ag à ‘ LUN MAPOINIC, LOT- Lire une allure constructive. En | Saint-Leéon ité des salles lu Palais " x raine Savon ; ? ” tuosité des salles et du Palai CULTIVATEL àf L res de la f le M ane Grade Ill: Juliette Schaubroëck |effet, depuis le 19 septembre der- | ; du Vatican. Mais c'est: un vrai VATEUR t exprimé de Intvre désirent exprimer leurs re bbé S 1, curé, en tête, sui- | REY AS d Cor: +'oagn TOC, Erier, une salle paroissiale de 24! In memoriam petit palais d'été, où le Père CENTENAIRE , part 48 , 9€ Fa ent ères à ‘ous le vi des enfants de choeur, des Croi- du T1. Hélène Lenolite Wii pieds par 36 s'édifie. Tour à tour | Le dimanche 11 septembre s'é-| commun des chrétiens vient P eseferaà2h:à2h ; et des autres é'èves du cou- ." , APOIRRE. EM | les dévoués paroissiens sont venus | teignait paisiblement à sa demeu-| passer quelques semaines d'un | Le doyen des eultivateurs en
vent, s'avancèrent pour aller à la | 8&rd Enns.
A » C2 Ô 6 © rav € tatue aux limites | Gtade 1: Eleanor Wall, Jacques repos laborieux. C'est “plutôt | core au travail en Angleterre est
donner leur temps et leur travail re Mme Eugène Kern, à l’âge de L pour changer d'air oue detra- | D:n Bullen, de Carbrooke, Nor-
en plus des dons mentionnés pour | 87 ans, après une maladie de plus
e 11 ( : 1 ch: de l'* ? eau. | { e ice ® PA A L rai ai i + set y FE Re re pe Rd Pate : RER enrichir leur paroisse d'une belle | de 15 ans, supportée avec gran-| vail que Sa Sainteté vient se totk: H.viènt 48 fier 1/10 me e] Mondor athic Dee QUR er COURS OR n . salle qu'ils seront fiers d'inaugu- | de résignation. réfugier à Castelgandolfo pen- | : 4 ‘ x s eur fils et ri 2 rl Ve er Les pe iv 4 à À l'institut Woodsworth | ;:; 165 9 et 10 octobre. Née à Anould, Vosges, France, } dant les grandes chaleurs, [Anniversaire de sa naissance, : eglhis pre l'enthoursiastes ova- ù PE A : . Creuseur de puits famille désire remercier tout par- | {me fait ; | Notre-Ditse 0 CS | # , : ÿ | On vous invite donc, amis et |le 20 juin 1862, elle vint avec, sa En efiet, les besoins et les LORETTE -- MANITOBA ticulièrement les porteurs et Tous } \sdone fut installée dans le | voisins de la paroisse, à venir voir | famille s'établir au pays en 1906 | problèmes de l'Eglise s'inté- ceux qui ont aidé avec leurs auto tuaire. entouréé de fleurs et! |ce beau travail de coopération | Ils travaillèrent dur pour se dé-| grent avec le temps constam- | Nous percatissons de trouver nob umières comme BE leèrs de len assistant au grand diner au|fricher, un çoin de terre. Aussi | ment en cours! Etle Saint-Père Albert S$. W B.S de l'eau Sport les plus solennelles. poulet, le dimanche 9 octobre, ain-| ce fut avec grande douleur qu'el-| est si conscient de cettepsitua- err ». ener, b,2c. En abondance, si désiré | Le dimanche 2 octobre, le club Alo commencèrent des’ priè si qu'à la soirée-bazar le même | le vit, en 1914, ses trois fils retour-| tion, qu'il fait méme le travail o É [de “curling” a tenu une assem- | 4; qui allaient se répéter Rice et | jour, Ce bazar se terminera le soir | ner en France pour y défendre | du secrétaire d'Etat, en £e con- ptometriste blée publique pour discuter le |,uit jusqu'au départ.de la Vierge. | du 10 par un gala enchanteur. | le sol natal. L'ainé, Eugène, fut| tentant d'avoir un substitut A1f, éditice Boyd OMER MARCOUX projet de ‘construction d'un noU- | Le R. P. Plaisance, O.M.I., le,zélé Un grand nombre d'objets nous tué au combat oi ve deux pré à: gd ds gp AN 1 4-pee Wu s % veau lo pour le jeu de “cur- | propagandiste de la dévotion ma- orit été fournis par les marchands | £utres furent blessés grièvement. tp à a ps Gp ve jp PRes ? peg Assurances Générales l'ancien ayant été détruit |riale, avait demandé que des| et amis des paroisses de Ste-An- L'un d prb eux, Lucien, cr mir ors “alnel ue le télé bo- Se rendra à St-Pie à la soil Vie. feu, auto, accidents, êlc lorsque les bâtisses de la Société | groupes de huit ou dix personnes | ne, Lorette, La Broquerie, Richer, | ensuite au Canada des suites de, Dh DA au re ph0- - rre, e selle sas dal d'Agriculture furent incendiées. se succèdent pour prier durant la | St-Norbert, Ste-Agathe, St-Jean- | Ses blessures. : tic! : 2H sn — re 82 yet ds quilles Tessier, tous les quinze LORETTE MAN Après de longues discussions sur |n La générosité des gens sur- Baptiste, St-Pierre et St-Boniface.| La défunte laisse dans le deuil À Valle à Le sc ibnes “re jours, le mercredi, à partir du 12 Téléphones: les différents lots disponibles ct | passa s espérances, ue pu En les remerciant sincèrement et| une RE Mme cbg "ue L'ODPCS basta Hands D'AM I u A va. éctobre, Q i + différente move le pré. | heures les plus és de lé # ° N DL dE St-Léon, ils, mé, " ps pp Dubé: AS Ssens: MAL HS ME ESC ROJONS QU pres ROUE A PES nes n° À Rent du fond du coeur, nous vous de-| 1° ©: a K7 2 France. 9! son additionnelle de là grande | : 2 lever les fonds nécessaires, il fut |il y eut des groupeside 200 et n mandons de venir voir ce bel as- | Lons-le-Saunier, Jura. France, 8! Uffection que le peuple romain Examen de la vue décidé de construire une not vel- Que: P sonnes qui récitaient | sortiment de cadeaux. Vous en| petits-enfants et 16 arrière-petits- | et les paysans de Castelgandol- s f le bétique pour le jou de CRE EST ES au matin Mani dy serez enchantés et nous vous pro-| enfants. Son époux la ‘précéda| £6 et de la région aiment à té- r lé premier lot au sud de lai: 22h99 qu man, MArCs "Ep mettons que vous repartirez heu- la tombe en 1900. moigner au Saint-Père, chaque D lle écol: eut une grand'messe célébrée par | eux Les funérailles eurent lieu le ° “ ÿ torts | écol + rar dames tv dar: reux. - fois qu'il leur en donne l'occa- | Cà et là LE UPS A YSC SOEUR] Ph he AE OR -P A | redi 14 septembre. La levée| sjon | M. Francois le Dorze est ps + pue Me L PA Que vu re ‘ | du corps fut faite par le R: P.|, a ainstul di ] rcredi 5 octobte pour tra- |", POI UGUX HRSIES, 108. SMS Pine Falls [Simon Nivon. qui chanta le ser- JANISIrE : ECCIESLASHIQUE Optometristes vailles d les chantiers en On- | STE VENUS en si ou drag 6 ; À | vice. Mmes Théobald Labossière nous SP, en A DR. M. R. SHUCKETT L No el orpaniss le programe de AE quartiers généraux db la! Le lundi 12 septembre au soir |et Félix Grenier firent la quête. | +: à pd red de pq pt " de ; É rs { née et de ë 1 uiva ‘ | ru Ts 4 rauz3 Ep 18 a : s la tr .| Les ’, LOL w > TP ! £ L 4 Opticiens M. Eug A J q L son : cérémonie du mardi après-midi, | Jeunesse CCF annoncent que M. er prb PRFRAENNS “] MUR | Les porteürs furent les petits | Souverain Pontife, Les meubles Dentiste 0 L 1] Lecoq, sont en | qui eut lieu vers 3 h.. était réser- | Jacques-V.. Morin, de Montréal, | P° Chevrier qui présenta ‘La pe- | enfants de la défunte: Marcel,| Ent anciens et impeccablement Examen de la vue |: ain de démolir la maison su le |vée aux chers malades de la pa- | président national du Mouvement | ve pres ere de 7: Ju (ERA go pme À sg Rondeau. | entretenus. Des tableaux de 656, rue Saiter lot qu'ils ont acheté Î enri |roisse. Pendant une demi-heure. |‘de la Jeunesse pour un Common-|qes cnansops € Mers té 6. ie | Martel Fra Dre 2 Dans | maîtres ornent les murs. Le: Winnipeg tosset en vue d'y i nous vimes ces pauvres malades |wealth Coopératif, prendra lui- | TEPres 5h sr 6 ré : deu fat, 4 2 Le arme ere) s: 'ames | fenêtres donnent sur les jardins mensingion | Téléphone tauraxt et salle € s'avancer à genoux, ceux qui le|même charge du secrétariat na- | aux ua ans l'apres-midi. La |de Ste-Anne précédait le corté- | et le lac, Dans la grande salle, © Se rendre à St-Picrre tous les ns . démié seront de H pouvaient. les autres debout ou | tional de ce mouvement à l'Insti- pluie battante retint plusieurs à | ge funêbre, | que nous traversons d'abord, les SA } CUT 922 496 M. Navoléon D t iu !sur des chaises roulantes, élever |tut Woodsworth, à Ottawa. la maison. | RENAN | pèlerins en masse sont déjà dis- mercredis, à partir du 12 octebre et habitera la maison de les bras au ciel et demänder leur | M. Morin est lirencié en scien- En visite chez M. Armand Mor- 6 posés pour l'audience du baise- à À | M. Pierre Wolfe dont il a fait guérison, C'était un spectacle tel- | ces sociales et a occupé plusieurs | rissette, il y a deux semaines, M | La famille Rondeau désire re- | Main. Puis c’est un salon rempli Bureau à la salle des allées de a tio lernent én vtionnant au'il est im- | postes de confiance dans diverses | Charbonneau et sa famille, de | mercier tous ceux qui lui ont ex- de religieuses. À mesure qu'on quilles Tessier possible à toute bouche humaine organisations, notamment prési- | Ste-Elisabeth, et, cette fin de se- primé de la sympathie à l’occasion approche du bureau pontifical, et à toute plume de le décriref Le | dent du comité d'action sociale, | maine. son frère, Oscar, sa soeur, | 4 he î les salles deviennent plus peti- + Pr ? 4 cape < IR É 47 né ul An, SU rére, VSsCcar, Sa 30 » de son récent deuil, dévoué missionnaire leur parla a- du comité de coordination des | Mme Ménard, et leurs familles, |
- La van. nnati le la sain l'ierge et | uv nt < 1 jei SE € s s | Pharmacie Préfontaine vec onetion de la ssinta Vistge MINS 0e RE 0740 Pannystelle Naissance | FT CORCSRAR SE nu € pe d . 7 | M. et Mme Eusèbe Dean eurent $ A -E. PAQUIN, propriétaire Le 20 au soir, S. Exc. Mgr G.|ration dela Chambre de com-| mp Fa race pe Ps semaine M. et Mme @érard Talbot sont | on ES Cabana, accompagné de son se- | merce les jeunes, secrétaire du | érnière an rentvant là ville de | Reureux d'annoncer’ à leurs pa- a aneti he Lise ce. crétaire, vint par sa présence re- | Conseil du film de Montréal, etc. | ins M. et Mme Arthur Poi-|1ents et amis la naissance dun Ora inces de médecins remplies avec soin hausser la cérémonie et encoura- | Il a aussi été délégué aux confé- | We a Woodridge | PRE | fils, le 29 septembre. Il fut bapti- Cértes de souhaits Honcones dou (oute ecession ger les pnaroissiens à continuer |'ences convoquées par la Com- , PP becs |sé le 30 septembre sous les noms i 157, avenue Provencher, $t-Bonitace Tel 203 863
\ de la Croisade si bien | mission canadienne de la Jeunes- [Yaent pas vus depuis pres de 40 de Joseph-Napoléon-Michel-Lio- encée. L'église était remplie |se à Montréal et à Ottawa. Avant |8ls . ; È 23 | nel et eut pour parrain et marrai-, »s commence- | d'accepter son nouveau poste, il! Ædmée Coulombe est revenue |ne M. et Mme Napoléon Talbot,
Pour vos
ideles. Les me
de pte È ke ét |
_ ren minuit et se succédèrent | était à l'emploi de la Caïsse Na- | chez elle après UHR SORA Pas- | ses oncle et tante, to es deux heures jusqu'au |tionale d'Economie depuis plu- }sée à l'hôpital de St-Boniface. | n : des communions nombreu- | Sieurs années || Mme Cuperus et ses deux pe- | |
nt distribuées à différen- | M. Morin est le fils de feu Régi- |tits garcons passèrent quelques| 11 ne faut pas s'offenser que les
F' atin Nous défendons s heures, il y eut plus de 1,200 | nald-V: Morin et petit-fils du no- |jours à St-Boniface et ils profi- autres nous cachent la vérité, Réparations “ommunions, Durant cette dernie- |taire Victor Morin, de Montréal. |férent de leur séjour là pour as- | Puisque nous nous la cachons si | © È pa pr 4 e nuit, pes de fidèle É la Croi- | Souvent à nous-mêmes
; P sister au ralliement Ge Us. let et chantaient ns = os fe Vers gti din LA ROCHEFAUCAULD. d'automobile Voyez notre agent local au sujet
res. Nombreux furent Plusieurs paroissiens se rendi- de nos services agricoles
rent à Winnipeg, le dimanche 25 ; « HP " \/ESTERN GRAIN COMPANY [ins itéan"'te dar at |
septembre, pour assister au ral- Fe. de 87 automobiles ac- |
liement de la Croisade du Rosai- à = re, Quelque quatre-vingts autos ! | Pièces de ulott jusqu’à
ensemble de Beauséjour. Le nom- | bre augmenta graduellement pour | atteindre au delà de deux. cent avant l’arrivée du cortège en ville.
de différents endroits partirent rechange
"on
|
Letelli | Baptèmes | | . Le mercredi 23, vers 10 nous avons eu le bonheur le saluer No- Seul le PROGRES | Le 18 septembre: Anne-Maxi- Huiles et tre-Dame qui endait a Aubi- l'A ORGANISE ne-Marie, fille de Narcisse Moquin | gny. M, le Curé et les élèves du ! peut op- et d'Isabelle Kenny, née le 31 P c | £ couvent accompagnés de leurs | porter le Hydro dans août. Parrain et marraine, M. a essences e erinage maitresses se rendirent au chemin k Y Mme Louis Paradis, | {}! pour chanter “Ave”, “Ave”, et a les maisons du Ma-
£ rec enthousiasme crier: “Vive No- + Le 24 septembre: Arthur-Jo- | de la Vierge [LE pamet eus Vic aucue (ÎM mitobe. Votre Hydro || Lptrrancel file d Aria de | | ne Mère! Vive la Reine du Cana- procède sûrement et | lo + d'A né le 1£| ! - x * - da!” : | septembre. Parr et. marraine l -h Dimanche après-midi 9 octobre Cordial. merci aux RR. PP! D. rapidement, confor- | M. et Mme Frank Watson, re- | J Al ez | 8 ez Te [e bonneau Ur. meêment au plan éta- [pente me Eee Desllets et | Point d d +: L'éali Thi : LR d Marquis, qu s ont apport : : 1 canne irouara, , k dusihgln «se co mA evet a mme de la Vierge des,be- .e. Votre représentant McCOLL-FRONTENAC
| Le 25 septembre: Danielle-Ma-
nédictions et des grâces sans nom- l 4 : | ria, fille de Lucien Desilets |
re L'apogée des triomphes de No-
Passage à Ste-Anne à 2 h. 30; à Steinbach à 3 h., à La Broquerie à 3 h. 30; retour à l'église de Thi-
de Salomée Carrière, née le 15
baultville vers 4 h, tre-Dame du Cap fut le grand septembre. Parrain et marraine, CIGARETTES | x e c à res | au pa Polo de L (M. et Mme A. Hébert,
ourte ollocution pur M. le Cure de Thibaultville. peg, le dimanche 25. Il semblait 8 ? = Salut et bénédiction du S. Sacrement par le R. P., que le bon Dieu et la Vierge a- ie ion vobéiiuts ne A@ SWEET
aient réservé tte journée idéa-
G.-H. Letourneau, C.Ss.R., curé de Ste-Anne bliable d'Alice Houston, né le 19 nr . 25, . [7e “ € l bliabie E £ 1,n 9 septem 3 : : phe de notre bonne Mère du ÿ |bre. Parrain, Louis Grandbois C A P [e & À L 353, avenue Provencher, 5t-Boniface Intentions du pelerinage " La paroisse de St-Jean-Bap- " marraine, Eva Houston. |
tiste était bien ù a ce Y H d Le 2 tob M Na grand rallierrent le formait un f octobre: arie-Naqine- iéfilé d'une centaine d'automobi- our Yur03 Goa Patricia, fille de Lucien Dupont les suivies de deux autobus qui ! Low cost electricity for Manitobo et de Denise Rey, née le 19 sep- transportaient les élèves du cou-' tembre. Parrain, Alfred Dupont, vent : représenté par Gérard Dupont, Nous ns et vivrons long marraine, Mme AÏfEa Dubent
1! Demonder pour tous les foyers le: grâces de force et de fidelité à la récitetion quotidienne du Rosaire
2} Demander un accroissement du règne de Dieu dens les fa-
familles, les poroisses et la société
Téléphone 203 970
LA LIBERTE 4% ©
E PATRIOTE
Perception de l'Association d'Education: dimanche 16 octobre
Nouvel sobosuitons de France au Canada
Histoire des origines de Îla province du. MoN
ants qui av tf de M : c { de . a ave g-P « r de { la qu av : é a Met con! : nrét e D cet | : n md uiou f € L ut qu'un art nt Bai Hud : s : vieux Mét ane Le Y eut-il rébellion? le de £ r qu « 11€ t .. à Er M ‘ 0 Norweëter. fut, torat ait gnal d'une campa B Hudson et Conditions du pays en 1869-70 + pa “ af I z r qu 1x M : : t € Norwester ét L t répa } . < r ( j i l 1 Bai te aq 1 1 pop 1 « : £ 1 vermet ( t ! et - )- Il 1 t it lu Norwes- yec à ter, naient I tige à l'exte- 1 {, et à eu à gnie de la Baie L Hu qu Désordres nl 4 ée 9 VIt aussi augu Énertié | \ tion 1e série de désordres | isité ar \ | de la! tt t ! nie et qu re | le a tant lé ë orité du | À ( ’ d'Assir Un nomrrx { tt en d’arrestation | Conseil d'Assiniboia et ndamné pour attentat con- | É Jeu fut mis en liberté | ’ * j mis s que ces der é é d ' nt f es portes de la e ’ { peu ! 1 Dr ( hef n- £ jai bre t tte { 1 ’ ! " ete ‘ é fs et au Lé « (4 éta { nn de 1x T ] le 7 ° : ne , { 1rq ‘ ° + n ode Son E é té C'est a Effets de ces désordres phié avec Mme Guérin, et leur I ! PPAURE : où M. Guérin a présenté ses lettres de c Il est ici malheureux de consta- i p he, | {er que, dans la presque totalité |s€1 de voy ageurs L u es auteurs des méfaits | M. n fut amt ideur de , D " 1- gens venus de l'est, ce | de son n VAN pee Il Ms té D à | n de nature à indisposer k- aique à Wa iington. (Tribune ÿ 1 trent tour à tour con » les Métis contre tout ce | trats, et que sa à canadien. Conséquence | d' M. Snow, appâtait le plus regrettable, c'était qu'a cha- | Indier [ whiskey dans le Population de la colonie que désord il devenait de plus | but d obtenir la possession de ter- } 1869, la population de co- |en plus évident que la compagnie |rains qui avpartensient déjà à 1 R 7 ’ de la Baie d'Hudson était incapa- | des tis de la Pointe de Chênes i- ble de affirmer maîtresse du t traduit devant un ma- 1 1s ché nouvel ordre de chose. Pour ceux | gistrat et mis à l'amende pour a- 4 it urt, de qui souffraient d'être témoins d'u- | voir fourni de la boisson enivran- ! et d'une né- ne transition par trop involontai- | te aux Indiens, cependant que ses té de p Blanc ce n'était pas un palliatif de | achat e terräins tombaient à ‘ ( néêt at explique par fait que la gran- l'e ! | À ie |de compagnie be 7 pre pet h Perte de confiance ' r l peu n- |sée dans l'expan ion on com- eh Schults 1 1e nr ce qué i inistra ' 19 " 1 le 1 gouverne du?! I F l mot Parti canadien 1 1 Baie La nouvelle de la format nt « t à t 1 Confédé canadienne f ‘ ” te +lun en pra | l : . ’ ? population vivait | r ge 1 d' : 1 e a 1 re Ju ent rs rer I te parti car 4 s r re et 1 DOU t plu tout prix 1! id 1 ) à-Ouest dans ' 1 ot} ue qu du Canada ét nous pénétre au}, 2 : i t 1: les vieux Métis de |” "ee r t les Métis 4 ] du Nord- Eh CONS 2 tt cha u d la Confédération eut “h . . a " { acce} ans aucun heurt: ce t à leurs for et n'eut été qu'un incident de leur Entente desavantageuse d éche né ible existence. L'attitude et pour la compagnie 1 sel le inc luite des Canadiens étaient Au mois de mars 1869. la com- J fra evenues pecirs aux Métis aui!, , 1 B: l'Hud i ‘ Qu avaient conci 1 Jue tous les Lana t n n ivec le gouver- Me ivaient, cor nt : diens étaient du même acabit. vertu de la- pou nd a Inondation de 1868 que te compagnie s’ té qui 4 ur P ée 1866 est restée funeste | geait à océder à la Co t Même après 1s l’histoire de la rivière Rou- | ses droits de gouverneme é du mme " L'inondation n'avait laissé que | monopole de la traite dans lation derrière elle e fléau |ritoi lu Nord-Ouest. La gran An les sauterelles était à son comble, | de comr essait d'être la bé- | le étaient dé- | néficiai lusi | nie pour le pou buffle avait e er | 1e chasse de ‘ I up | 1 Tommy Duchesne ’ D I : D I 1 : Da LL à L U | Roland Lebrun us ‘ er q V page 1nti- | 165 : " de ] eurs que compagn | ce à la } 1e à tu lu le paw ” Rs Chemin Dawson — M. Snow "+. pero generale FA £ n Un ee ne Iut Le A. Heaulé _p à À age a ‘au "Fort e, fitc 90 11S nêèi que S Nar À : tq \ t La « s : . ) L( m£€ 1 | | EF 4 eu ( 20. 1 er 1 w H ] it q 1 Le £ ire | ( ( £ \e juisit
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ce elle nce M. gr Guérin, le nouvel ambassadeur de France au Canada, est ici photogra- le marchepied du wagon qui les emmenait à Ottawa | ance, On voit, à gauc he, M. O.-A. Trudeau, assistant-gérant du du C.NR., qui les accompagna jusqu'à la capitale. Avant d'être nommé au Canada, M. Guérin dit qu'il est t ators qu'il
done du Cap était reçue triom- | Colliou et le prix de consolation | phalément à St-Norbert. Les Ré- | par Mlle Denise Sabourin. Les | vérends Pères Trappistes eurent | prix des messieurs furent distri- lies premiers cette précieuse vi-|bués comme suit: ler prix, M pue | Louis Abgrall, 2ème, M. Louis |
|
Décès de M. Léon Marcoux, de
!
M. Léon Marcoux, père de 1 [Sauveur Marcoux, ministre |municipalités dans le gouvern
|ment provincial et député du « |té La Vérendrye, est décédé # | que subiterr à Ste-Marie de | Beauee, PQ il était en v le mardi mat »bt Né à Ste-Marie de Beauce, P
ou
oct
|le 10 décembre 1870 Mar l'était arrivé au Manit à l'àg | de 11 ans avec ses parents qui s'é- |tablirent à Baie St-Paul. Pa
| suite, la famille déménagea à I
rette où le défunt passa le rest | de sa vie. En juillet 1892 il avait épousé Mile Adeline Ferland qu
[le précéda dans 1a tombe il y a deux ans
M. Mareoux laisse dans le deuil 17 f Sauveur, de Lorette, Al
| pho se, St- Bonif
de face, Pè
| Vancouver, C.-B., Joseph, de W nipeg, Louis et Léo, de Lorett | Jean. de St-Vit 6 filles, la Réx {Sr A. Marcoux, sgm. du 1 torium de St-Boniface, Mme F1
ent irardin, de La Salle Ré s St-Guy ét St-Jean
vila, de la maison re
St-Josept
rie du
House, Sask
[de Winnipeg: fants et 6 Une de ses Therrier Les funérailles Lbrette au début prochaine
_ St-Laurent
Le R. P. A OM.
petits
mourut
aur
de
Lizée, eco-
nome provincial, de St-Boniface, et le KR. P. Massé, OM, curé de Ste-Rose, étaient de passage
au noviciat récemment | Mariage | LAUZON=—CHARTRAND
19h R
| Le 30,
P
jeudi 29 septembre, i paroissiale, le sait le maria
de Mlle Léo-
* M
Soirée surprise
| Le samedi 24 septembre, : l {lieu une réunion de famille au domicile de M. Tk t Guibo- à l'oc Ï 1 75ème
naissance
lui furent enfants ve- l'Ontario
de cadeaux tous nus de Winnipeg et de Longue vie et santé à M. G | che.
| annive De beaux offerts par
rsaire
| | che |
ses
1ibo-
Partie de cartes
Dimanche dernier avait une autre partie de cartes au pro- {fit du bazar. Elle rapporta Ja somme nette de $95.57. Merci à tous ceux qui ont bien voulu nous encourager, Le ler prix des |mes fut gagné par Mille Béatrice | Léost, le 2ème par Mille Dorothée
} lieu
heureux vice diplo-
St-Norbert
Le 26 septembre la célèbre Ma-
faisait partie du &
consolation, Ro- termi-
de ) La soirée se
Calvez, prix
3 h. 30 p.m., un grand nom- | bert Lambert.
mi de paroissiens et tous les élè-
d'où la procession se mit en mar-
Lorette Le cort
!
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(Es Tr cat AS s |
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Winnipeg
| | q L it 1
| bé mande p« C
| We f a Îrères pi I i
[que rien ne peut rocs Ro-! Méditation ou
| pa ne prière à chaque séance
da- |
ves des écoles, précédés de la | na par le chant de l’“O Canada” |C roix, se dirigeaient vers la croi- | Croisade du Rosaire |sée des chemins pour accueillir! Le dimanche 25 septembre fut | la statue de la Vierge. A plein | pour les paroissiens de St-Laurent coeur nous acclamons la Reine du | une journée à jamais mémorable Cap jusqu'à d- ise, au chant de | au cours de laquelle ils surent l'“Ave Maris Stella” | magnifiquement prouver leur a Le R. P. PI: e. OMI mou filial envers la Vierge d te 1 tar \ réêiter le Rosaire À ire n t ibtion. À | La journée débuta par une mes- D.I nédictic T S se solennelle chantée à 9 h. 30 cren | ; la bénéc | à la grotte de l’Immaculée située ages s nalades qui se rendent | dans l'enclos monastique des RR à gen à la balustrade. | PP. Oblats. Le R. P. Lemieux, at TE croix encor | CM, officiait et le R. P. Chate- ko là, es br en croix, supplient join A Sroneoes le Feb pe sus- st le 1r F rit "1.4. | 1€ , ure, rononça erm h “A tot ie : a pu gd de circonstance. La chorale de la IOIE UCHante V1 a Le 2 : ser plus d’une 1 : Se ;_ | paroisse, aidée de celle des no- Coid 92 Ro pans pre 7 7e + di vices, exécuta ses plus beaux can- je FRA à we 2 | tiques à Marie, Les solistes fu- fessions, et à minuit il y a com-|: l'UE Ain Cadet munion géné ARR tan, | 20 PE. ASTON SENS S ercnd ». : 1 mg | Louis Boucher, Pat, Connelly et grand'r 0 ée par les hom- Mnie TIR ‘Vesria À 11 4) 18 mes ompagnée par M. Char- |," +7". TE + pp Îles Bernier. Trois autres messes | les ENDARENR: De 15 aient de CCE rées à 6 h., 7 h. et 8 h.| nouveau dans la cour du couvent
° ; | Se ns est le départ. . [che, chantant des cantiques et ré- | Nous reconduisons notre Rei-|citant le Rosaire. On se rendit ne jusqu’à 1 roisée des che-|près de la salle paroissiale où a- , un dernier nt, un der-|vaient été placées les autobus et Ave, un dernier adieu. Nous | les machines. Le long défilé d’en- ] D cour le nombreux viron 500 personnes était précé-
jusqu’à | dé de 3 petites portant un énor- me chapelet doré. La distribution d'insignes, d'affiches et de petits drapeaux t&it faite prompte- seul ment de sorte qu'enfants et
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gne, la guay.
+ _ 1 L4 | M. Louis-Philippe Gagnon a été Les ma rc hes
de emprunt de is Victoire, 3%
DE v ALU ATION MARK
DU
lélu vice-président de 1 l'Alliance à octobre Française d'Ottawa, lors de l'as- | Bouvillons, jusqu'à 1050 1iv emblée annuelle tenue récem- De choix $21.00—$ ) {ment à l'Institut Canadien-Fran- | IR çais de cette ville, Le major Gus- | Ordinaires 14,50— 15.50 tave Lanctôt est le nouveau pré- | Bouvillons au-dessus de 1050 1iv sident, et le nouvel ambassadeur ge noix ET Ye ÿ + + * » Li] bu 20 00 de la France au Canada, Son » | Moyens 1600— 18.00 cellence M. Hubert Guérin, a été | Ordinaires 14.50— 15.50 |élu “present: d'honneur. Génisses | chic MÉSREP De choix $17,00-$18.00 Bonnes 16.00— 16,50 Mi 4 Moyennes 14.00 15.50 Ayot yotte, relieur Veaux engraissés De choix $22.00- >,50 des rec de loi | Bons 1050 2100 | Moyens 18.00 19.00 ‘au Canada | Vaches | Bonnes 13,50— 14.00 | Depuis plus de 20 ans, M. 1.| Moyennes 13.00 13,90 | Ayotte voyage à travers le Ca- gouteaux $15.00-—-816.00 nada, allant d'une cour de jus- | Ordinaires ‘13.00— 14,50 tice à l'autre et faisant les ré- | Bouvillons de boucherie |parations nécessaires aux livres | Bons #17.00—$18.00 1 a Moyens 15.00 16.50 de loi. Il vient de terminer la re- | Grdinaires 1300— 14 50 vue des ivres à la cour de jus- | Géntsses de boucherie | tice de * catoon, où il a réparé | Bonnes $13,50—$14.00 [un grand nombre des 4,000 volu- Pan gp 2 ÿ | 12.00—: 12.50 € ’ or : a pt L Jaches de boucherie [mes qui sy trouvent. Sa plus|pônnes $11.00—812.00 | grande tache, dit-il, c’est la répa- |} Ordinaires 9.50. 10.50 [ration des livres de la librairie | Veaux de boucherie à la Cour Suprême du Canada, | Bons et de choix 20.002300 ne ) air moyen 12 à Ottawa, laquelle comprend 176,- TANIA x ri ur pot And 000 volur | Porcs— voiume | Grade A 28.00 | M. Avotte dit aue 1 étudiant eg je Eu 60 en droit sont à blâmer en grande | Grade “B-3" 25.85 { PE rtie pour les détériorations des | Grade "€ . 25.85 F le Pesants 23.85 | livres, ils le respet tent moins que |svés Salon 17 00 | le avocats de carrière. Truies No 1 14.00 | M. Ayotte ne fait pas seulement | Truies No 2 17.00—093.50 que réparer les reliures et les cou- | A Te Oeufs notre mL # Snan Le - sun | À: £TOS, la douz 1) ! vertures; il traite d une manière | 4° moyens, la douz 4 spéciale le cuir qu'il utilise avec | Grade B 19 ine préparation dont il possède | Grade C ” | seul le et ! Beurre 1 D èr a liv y Relieur de métier depuis $es | ”° ‘mer ja 7 | je années, M. Ayotte apprit | Les obligations le secret de cette préparation lors! d'un séjour aux Etats-Unis. Lors- | 4 octobre que la coinpagnie pour laquelle | Pominion du Canada il travaillait fut dissoute, il ache- | ler emprunt de guerre ’ ù ts #4 : . | 244 102.15—102,65 | a cette formule et revint au Ca- Î ler emprunt de la Le: x { Victoire, 3% 10175-10225 . : | Ayotte espère revenir s'éta- RARE ce , 103 25-—10à 7 | blir FAN Ag A pa e, 3% 103.25—103,75 | blir à Lines £g, où résident plu-|%e emprunt de la sieurs de ses parents, lorsqu'il 4 Victoire, 3 10320-10370 n 7 = LL ’ e em u | prendra sa retraite. C'est d'ail- Victoire À | 102 .05—102.80 | leurs sa ville d'origine. Il occupe se emprunt de is loisirs à la lecture ais nc Victoire, 3 102.50—103.28 3 : 5 L LES D “y 16e emprunt de ia pas à celle des livres de loi aux- | "Victoire, 3 102 24-108 14 quels, avou t-il lui-même, il ne |le emprunt de is | com rendre ien | _ Victoire, 3 2%5—103!5 | u 2 18e emprunt de is | = —— | Victoire, 3 102%—1031# |
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p: P | 3%4% — 10}juin 1965 (C) 100.25-J02 0 c ge du > fixé à 23.8 3% — ler mars 1964 (C) 88.25— ( par rapport au dollar, soit 24% 15 déc. 1966 (C) 9400— 95.56 1e ati ét Province de la Saskatenewan 16 ev ation d'ur eu us de - ) : À P pl 1 4% — ler no 1960 (C) 98.751002 0 } t, annonce-t-on offi- 4% — 15 fév. 1962 (C) 9600— 9150 ( lement 8 ler ma 1963 (C) 9200 9400
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PAGE HUIT
RTE ET LE PATRIOTE
LA LIBE
ge em
À Travers les Centres Français de la Saskatchewan
Des correspondants spéciaux de ‘La Liberté et le Patriote”
L P I! 4 tragique est arrivé à M. Henri! ac e etier | Guillet, ces jours-ci. Il perdit con- | à Lie à 11 Ales Itrôle de son tracteur qui capots | d Lists 68 $ œ AA por coms idans le fossé, M. Gaillet fut gt side ‘ NW ehérciements aux |*%, Mais pas g'avernent. Il est en | . trices et à toust£t Moment à l'hôpitai de la Ste- } pe ouf É dl énoouri bé. Les Famille, à Prince- Albert { | à A co Poulls M. Rupert Brodeur, André | C'hér Naori ” n Ra. Parent et André Ba: beau, de la | né C Pal. Mac Emile marine. sont en visite chez leurs | Pé et 1 Le Mere parents de D — MM « ge * G Concert | F pl Rotyitai ! Le at Le dimanche 16 vbre, M. Ser- ! retr és na l'Est aprés avoir ae-Roland Chevrier et ses acteurs | vinité M. et Mme Amédée Rob. donneront un vonceft à la salle | nl de Domrerr Bienvenue à tous. | M. et Mmé À [ ère For MEME “à | et Ge és ü Régina pou Cantal | Mn J \ 1 " Déces | dar Est on f : est re De la p nce de Québec nous tourné Colormt Br a en! la nouveile de la mort de | La : o pt bre avail | M bé L Nadeau, ancien | . hez M P Tessier, une | curé Cental_ décédé le 19 ve ce ne M. et Mme ! ton » det St-Ge is . puit té de Bell if se j : € € “ + int 7 méme end ' A : Me « 1 et M ! A hi : Manitob el période j . 19 1912 à 1931, Il su da | rt jt î É 56 Charles P ’ € u | Domrem émiplacé par notre curé actuel | y M bbé A. Fort Il a la | Pouvoir rural L mois d t 193 1 ” P B cause d r et 11 s! a } r c ‘ : on ) ! ; d cité » Bellevue et ! Vivace chez tous les paroissiens | Domrt L'assemblée fut prési- | de son temps. Tous se rappellent | dée par MM. R. R. Keith, de Prin- | le grand zèle de ce prêtre dévoué | ce-Albert, et Smith, de Régina, re- | pour le salut des âmes et son es- | prés ts de la ‘Baskatchewan | prit de sacrifice. Il exerça aus Powc of Le comité | le saint ministère dens le diocé- | À se de Hégina, à Souris Valley, où |
il fut le curé-fondateur | ;, Un service solennel pour le re- | r.| pos de son ân;: sera chanté dans | la paroisse
Inauguration
Le dimanche 25 septembre a- | vait lieu l’'inatguration solennel- le de notre ccuvent (N.-D. du St- | Rosaire). Après la grand-messe paroissiale, les paroissiens se ren- s|dirent sur le ‘errain du couvent et là, en plein air, du haut du] portique, M. le curé souhaita bienvenue aux religieuses en des | termes choisis, et leur remit la cié du couvent. Après quoi tous les paroissiens furent invités à vi-
4 ue ë | siter la nouvelle maison . M Ah di n Baudais et Nous avons actuellement 27 rh M 4 Fe rendu Vis! | pensionnaires (garçons et filles), LU 5% "Be he rot ss Way, mére ce {d'autres sont attendus. Il y a aus- chin, Sesk, En route, ils ont 1 |si un certain nombre d'externes. pe SAS OI À dE Mons nt | Un rêve cher au coeur de 1 vigne le Denhoim., et M. et Mme |t'e pasteur et de tous les parois- J. À. Jensen, de Maymont [siens ne or se réaliser. Bénis- Un accident qui aurait pu être | S0ns-en le Seigneur, os — M . ” | Visiteur | M. l'abbé A. Ferland, curé de VAR Storthoaks, était en visite au pres- Pour l'achat de |bytère ces jours derniers. ! TIMBRES | — ANTITUBERCULEUX | S i Hub _ AOC LE | aint-Mubert L À Souper paroissial adressez-vous au | Le souper paroissial est fixé so | COUVENT DE BELLEGARDE, | dimanche 9 octobre, Qu'on se le dise! SASK. | “Baby shower” | Le dimanche 25 septembre eut (lieu, à l'improviste, un “Baby Ishower” en l'honneur des ju-
|meaux Judith et Donald Jordens. | A cette occasion, de petits ca- deaux pratiques été présen- ités à la maman par un petit grou- |pe de parents et d'amis.
Après un goûter succulent, les visitcurs sont repartis enchantés d'avoir vu l:s bébés si bien por-| tants.
LES AMPOULES GENERAL
ont on:
Ça et là
Nous sommes heureux de cons- tater que Mme A, Gérard, après un séjour chez sa fille, Mme E. Pa- quin, de Whitewood, est revenue parmi nous en meilleure santé.
Monique Duonceaux poursuit ses études au couvent des Soeurs 1des Missions à Wolseley | Antoine Praud est parti chez sa | tante, Mme A. Remacle, de Les- tock.
Les battages sont à peu près terminés. Nous remercions le bon Dieu de nous avoir accordé une température favorable à nos ré-
a
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MORGAN’S.
Educateu
rs reçus par l'hon. Maurice
Duplessis +
Le chef du gouvernement de la province de Québec a reçu, le jeudi après-midi 18 août 1949, les
| du premier ministre, on remarque M; Roland Nadeau, pr ent viiles. (Photo Cinéphotographie provinciale)
institutrices des cités et
Laflèche
Banquet Le diner annuel des Dames de la Ligue, au profit de l'église, & septembre a- à la salle
rand suc-
l'habileté
it à la coope-
ration des part t Les dames patronnesses dési- rent remercier les Chevaliers de
Colomb qui nettoyèrent et pre- parèrent la salle et se chargèrent du service d'ordre, les Da- mes de la Ligue et de Ste-Anne qui se prodiguèrent à la cuisine, les Enfants de Marie et les Scouts qui servirent si gentiment les ta- bles, toutes les personnes geéne- reuses qui donnerent en si gran- de abondance le poulet et autres mets appétissants dont se régalè- rent les nombreux convives. Les recettes du banquet se chiffrèrent à $300.00, ,
aussi
Baptème
Le 25 septembre, à Laflèche: |
Jacques-François-Henri, fils de M. et Mme Richemond Beaudoin, né en notre hôpital le 18 septembre. Parrain et marraine, M. Lucien Beaudoin et Mlle Mildred Tho-
mas, représentés par M. et Mme |
Léo Rivière. Réunion
Les Enfants de Marie ont eu leur réunion bi-mensuelle le mer- credi 28 septembre au presbytè- re, sous la présidence ‘de Mlle Marthe Morin. On s'’occupa sur- tout de préparer le programme musical que les congréganistes doivent exécuter le premier soir du bazar, c'est-à-dire le 12 octo- bre. Mlle Aline Belcourt, insti- tutrice au couvent, était en tête de ce comité. Un excellent goüû- ter fut servi à l'issue de la réu- niop.
Nos malades
Sont hospitalisées à Laflèche: |
Mme Henri Wensel et Mlle Ger- trude Czernick qui toutes deux ont subi une opération.
M. Henri Verhelst est de re- tour de Régina, après une opé- ration qui a parfaitement réussi.
La jeune Marie Dumélie, en- fant de M. et Mme Georges Du- mélie, est revenue de l'hôpital des RR. Srs Grises à Régina. Elle s'y était fait soigner pour une fracture au bras subie en jouant à l'école Sunbeam
Çà et la
M. et Mme Goerges Dumélie se sont rendus à St-Boniface pour assister aux funérailles de Mme Timothée Pélissier, mère de Mme Dumélie, décédée le 21 septem- bre dernier à l'hôpital de St-Bo- niface. Elle avait déjà demeuré à Laflèche.
M. l'abbé Gravel, curé re venu le I edi : pitempre d'une courte visite MM. les curés de Cadillac, Marie et
vift Current. Il a assisté, à ce
rnier endroit, aux noces de dia- mant sacerdotales de M, l'abbé | Bacciochi
M. et Mme Léo Rivière, de
Bientôt!
Au Théâtre Tivoli - Arborfield, Sask.
“UN HOMME ET SON
avec Séraphin et Donalda
Mercredi et jeudi, 12 et 13 octobre
Heures des représentations, trois fois per
Le matin, à 10h,
l'après-midi, à 2h. at 4h. 30 p.m.
.
PÉCHE”
jour:
i Mmes Comeault et Dumontier.
| Fort Vrilliam, ont visité derniè- rement leurs parents et amis à Laflèche. ;
M. et Mme Laurent Lazure sont revenus récemment d’une promenade de deux semaines à | Windsor, Ont.
Miles Adrienne Belcourt et Gwen Poliquin, étudiantes à l'E- |cole Normale de Moose Jaw, é- taient en visite dans leurs famil- les en fin de semaine.
Mile Lucille Morin est revenue Île jeudi 22 septembre d'une pro- | menade à Edmonton.
Mme Edmond Bachelu est al- |lée visiter sa fille, Gertrude, à Régina dernièrement.
| M. Goerges O'Meara, de Mont- | réal, fils de M. Thomas O’Meara, | autrefois de Laflèche, était en | promenade récemment chez MM. et Mmes Hercule Cyr et Léo La- vigne. Il est retourné dans l'Est le jeudi 22 septembre, accompa- |gné de M. et Mme Léo Lavigne {qui vont passer l'hiver à Montréal. !
Bazar N'oublions pas le bazar parois- sial qui doit avoir lieu ies ‘12 et 13 octobre prochains à la salle paroissia'e de Laflèche.
Président
| Le brigadier général Carlos P, |Romulo, ardent adversaire des communistes aux Philippines, a |été élu président de la quatrième assemblée des Nations unies, ou- | verte récemment à New-York. En souhaitant la bienvenue aux délé- gués, M. Romulo, catholique con- vaincu, a dit qu'il espérait que cette assemblée pourrait être ap-
pelée ‘l'assemblée de paix”. (NC) Dollard
MM. Desiré et Alphonse Au-
dette sont de retour apres un sé-
jour de quelques semaines en | Colombie Britannique. Naissance
A M. et Mme Ternquist (née
Bertha P 28 sept MM. B. Willkosky et Philippe
har sont de retour après isité leurs soeurs à Mede- cine Hat et différents endroits de l'Alberta
M. et Mme B. Alexandre sont à Cranbrook, C.-B. pour
avoir
Viscount Va-et-vient
Le dimanche 25 septembre, M
et Mme Adéodat Riendeau, ac- cemp s de leur mère, Mme E. Clavelle, étaient de passage à | Muenster, Sask. La belle température que nous l'avons eue a permis aux fermiers battre leurs récoltes en bonne ion. Le rendement est très aisant | ohn Viau, qui fut patient là l'hôpital St-Paul de Saskatoon, est de retour chez lui, Sa santé!
semble
Le KR. P. Klein, OM, de
s'améliorer rapidement
|vant de notre paroisse dep quelques semaines, nous quittera | sous peu pour répondre aux or-
| dres de ses supérieurs
| Mme Angélina Loiïselle est | tournée récemment à Vanc
C.-B. Elle à
site ses «0
isson), une fille née le!
du conseil d'administration de l'association canadienne des éducateurs de langue française et | leur a adressé la parole. Cette photographie a été prise alors que le premier ministre remettait à M. Louis Charbonneau, président de l'association, une enveloppe contenant un chèque substantiel. A droite |
ésident de la Fédération des instituteurs et |
Zenon Park
11 y a eu plusieurs transactions |immobilières dans notre localité | dernièrement. Parmi les principa- les on remarque les suivantes: {M. Albert Soucy a vendu sa ré- sidence du village à M. Roland Goyer qui y déménagera avec sa famille dans quelques jours.
M. Lucien Moyen a fait l’ac- quisition de la bâtisse connue sous le nom de “Bowling Alley” sur la rue principale, et l'a louée à Courteau Frères, marchands de meubles, qui y ont installé un assortiment de marchandises.
M. Bruno Leblanc a acheté la demi-section que M. Lucien Moyen possédait à New-Osgoode. Ce dernier s'est procuré d'autres terrains dans la partie sud-est de la paroisse, terrains qu'il a déjà préparés pour la culture de l’an prochain.
M. Maurice Daoust vend sa ter- re située dans la partie ouest du district et s'est procurée une de- mi-section dans la partie est.
M. Jean-Marc April, notre nou- veau chef de gare arrivé ici il y a quelques jours avec sa famille, va se construire une résidence non loin de la gare du C.NR,.
M. Albert Soucy commencera lui aussi sous peu la construction d'une nouvelle résidence située non loin du village.
Nos moissons Malgré un quota de 10° minots de blé à l’acre seulement en for- ce actuellement, nos fermiers ont vendu jusqu'à date, à nos trois
récolte de cette année. La moyen- ne du rendement varie de 30 à 40 minots de blé à l'acre, classe no 2, et il reste encore environ un tiers des récoltes à couper. Deux semaines de temps pluvieux et frais dernièrement ont retardé les moissons.
Considérant le rendement de la récolte de cette année et les prix reçus, la valeur des terres en cul- ture dans notre district se main- tient à un niveau satisfaisant. Il y a très peu de terres en culture à vendre. Plusieurs de nos gens cherchent même à agrandir leurs domaines actuels et jettent un regard dans la partie sud-est de la localité où il y a encore plu- sieurs quarts de sections, en par- tie en culture seulement, qui peu- vent être achetés à un prix sa- tisfaisant.
Chevaliers de Colomb
Il y aura dans notre localité, dans les derniers jours d'octobre, une initiation de Chevaliers de Colomb. Quelque 50 candidats se présenteront. Les membres du Conseil local, sous la direction de M. Charles Roy, Grand Chevalier,
oo mm
voient aux préparatifs de cette journée. Çà et là MM. Léon et Théodule Lalon-
de, représentant la Chambre de Commerce locale, faisaient tie d'une délégation d'environ 60 personnes, membres des Cham- bres de Commerce de cette par- tie-ci de la province, qui se sont rendues à Régina auprès du Mi- |nistre de la Voirie dans le but { d'obtenir l'amélioration des mins rayonnant de Tisdale et des | environs.
Le dimanche 25 septembre, le
ÎR. P, Nault, O.P. desservant ac-|
tuel de la paroisse, faisait la pre- | mière publication de bans de sept mariages qui seront célébrés au
| |
jm s. qu !
| début d'octobre, Comme il y aura | | encore de nouvelles publications, | Î |
nous donnerons les noms des nou- | sisite ses soeurs, Mmes Fred Dol- | veaux couples dans un avenir rap- | ter et Adrien Bonneville
| proché M. et Mme Emile Souchotte | M. et Mme Arthur Foucher, | {Sophie Wilhidal) sont les heu- leur fils, Denis, et M. Alfred Hu- | eux parents de leur deuxième en- don, tous de Haney, C.-B., sont | fant, un fils, Raymond-Georges arrivés en automobile poux; un TRS care RÉ NE à séjour de quelques jours dans no- M. à olph Schneider est con- tte localité vaies ent aprés avoir subi un
M. Robert April, fils de M. Eu. | °P£ration à l'hôpital lac:l
| gène April, qui a.été félicité par Le vendredi 30 septembre eut Îles autorités du Canadien Natio- | lieu un “shower” en l'honneur
| nal en juillet dernier pour un acte |de bravoure accompli lors d'une [tempête qui s'abattit ici au cours part: pou
collège de
élévateurs locaux, un montant | d'environ cent vingt-cinq mille minots de blé provenant de la
par- |
che- |
Meadow Lake
a Ban n* rt Et f nt p ec M tor
Mmes 1! D
si que Madeleine Len pas | sérent quelques urs à Ponteix | et Val Marie Mme Dionne et Ma deleine se rendirent à Malte
| Mont. où elles visitérent des pa rents et amis
M. et Mme Corriveau rendirent visite à des parents de Meadoy Lake.
M. et Mme Paul Nadeau sont revenus de la Colombie après un séjour de plusieurs semaines chez leur fille et leur fils
M. et Mme Georges Hébert et leur fils, Louis, visitaient Edmon- ton et plusieurs autres villes de l'Alberta récemment.
Le conseil local des Chevaliers de Colomb tint une assemblée le mardi 13 septembre. Il fut décidé d'organiser une partie de cartes pour le 9 octobre.
Les Dames de la Charité, la présidence de Mme Robert Ser- gent, ont fixé la date de leur per annuel au profit de l'église au | mercredi 12 octobre. Cordiale
| vitation à tous
M. et Mme Guy Gravel et leu | deux fillettes, Nicole et Lise. de | Gravelbourg, passèrent une
| maine chez leurs soeur et be:
| frère, M. et Mme Georges Hébert | M. Gravel t émerveillé d | belles récoltes du nord.
Le jeudi 15 septembre fut nue l'assemblée mensuelle
ames canadiennes-françaises de Meadow Lake au domicile de la | présidente, Mme Richard. L'invi- té d'honneur, le R. F, À. Bidault, OM.I. curé, remercia les dames du beau cadeau qu'elles ont fait à l'église paroissiale.
sou-
n-
se di
ame
On ignore peut-être que l'A.C.- F.C. de Meadow une bibliothèque de livres choi- sis et très intéressants. L'’abon- nement n'est que de .25 par an- née. Qu'on se le dise!
Naissances A M. et Mme Félix Lehoux, | un fils, Joseph-Philippe. A M. et Mme P. Lavoie, fille, Linda-Marlene. À M. et Mme Alex. Poitras, une fille, Catherine-Doris.
une
une fille, Catherine-Marlene.
A M. et Mme Nicolas Labossié- re, un fils, Wayne-Arthur.
Décès
Au milieu d'un grand concours de parents et d'amis avaient lieu, le samedi 20 août, les funérailles de M. Georges Charpentier.
Le 3 septembre fut célébré le | service funèbre de M. James Chà- telain.
Saint-Brieux’
Va-et-vient
chez leurs parents et amis: Fran-
cis Roy, étudiant à Winnipeg; M. |
et Mme Gustave Baudais, de Domremy: Helen Mayor, de Van- couver; M. et Mme Adrien Le- gars, ainsi que M. et Mme Robert Brunelle, de Saskatoon.
M. et Mme Leonard Hunt, de | Saskatoon, ont assisté aux noces de leur nièce.
Mme Ménard est de retour de | Rochester, Minn.
M. Marcel Vaz est parti repren- dre son emploi à Hamilton, Ont, maintenant que sa jambe est gué- rie. | Mlle Lucienne Fau a repris son emploi à Toronto.
MM. Athanase Lavoie, Jean O- livier et Maurice Faurit ont fait un voyage à Prairie River.
M. Louis Dubé, accompagné du petit Denis, est parti faire un voy- age à Vancouver,
M. Henri Daubenfeld a fait un voyage à Moose Jaw et Mossbank.
| MM. Jules Hamonic et Frank Bergot sont allés reconduire plu- sieurs collégiens à Gravelbourg.
M. et Mme Alexandre Carfan- tan et Joséphine sont allés à Ré-
| ployée.
| Les moissons sont finies et | récolte a été bien bonne,
La chasse aux canards bat son |plein. Notre ami Jean Guillard a |vu son fusil eclater, leu qu'une bonne surprise,
la
Soirée des jeunes
| Le mardi 27 septembre, les jeu- nes donnèrent une soirée à la sal- {le paroissiale au profit de la pati- noire. Ce fut un succès | verture de laine fut gagnée par M. |Percy Willetts, de Daylesford, et le réveille-matin, par M. Gustave Baudais, de Domremy,
Baptème Cheryli-Madeleine, fille de M et Mme Harold Lefebvre. Parrain let marraine, M. et Mme Thomas Lefebvre
Wolseley
Etaient ez leurs parents en fin de aine: Mlle Irène Tou- rigny, étudiante garde-malade à Régina, Mile Léa Dureau, insti- tutrice à Montmartre, Mile Annie Schneider, employée à Régina.
M. Lionel Langlois est retour- né au collège Mathieu de Gra- | velbourg et M. Cléo Dureau au collège Campion de Régina
MM. et mes Albai Dureault let Laurent Noels vi ent des parents à Ponteix. M. Armand Dureault les accompagnait
Mme William. Henderson (Si-
mone Charretier),: de Montréal,
de Mlle Margaret Livingstone dont | age avec M. Roger Béli-
le mariag veau aura lieu prochainement
Mlle M. Wilhidal, dé Grayson passe quelques jours chez sa | soeur, Mme Einile Souchotte,
PE!
#ke possède |
A M. et Mme Jean Bousquet, |
Etaient de passage dernièrement |
|gina où cette dernière est em-|
mais il n’a!
Winnipeg
AÂ mer 7 \A
AVIS AUX
Commissaires d'écoles
En réponse à l'annonce parue ici mème il y a deux semaines, plusieurs jeunes gens et jeunes filles ayant fait leurs grades 1! ou 12 ont offert leurs services com-
me
trouver d'instituteurs ou d'institutrices diplômés.
surveillants” dans les écoles qui n'ont pu encore
Les
commissions scolaires intéressées peuvent obtenir leurs
noms en s'adressant au
| SECRETARIAT DE L'A.C.F.C.
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Un tutrice pour l'école de Ste Marthe, Sask. Salaire: $1.500 par année, ou plus, selon les qualifications, S'adrescer au R. P, P, Champagne, Ste-Marthe,
Sask. 734-25P . St-Victor Va-et-vient M. Conrad Svlvestre et sa fa- nille nous ont quittés pour alle:
n » iniboia
Vo s et Mme Yvet t 1 te ont assisté a une confé ur les institutrices lonnée à Willow Bunch le mer credi 28 septembre:
MM. J.-D. Lalonde et Henri
Beauregard sont allés à Weyburn |
pour affaires Plusieurs de nos gens se sont ndus à Willow-Bunch pour as- sister à la représentation du film “Un homme et son péché”.
Plusieurs de nos jeunes lont quittés pour les différents | collèges et universités. Nous re- | marquons: M. Denis Lalonde, à | l'Université d'Ottawa; MM, G. | Lavell et Roger Lalonde à celle de Sasketoon; au collège de Gra- | velbourg, MM. Laurent et J.-Paul Isabelle, G. Hamel et E. Bisson- | nette
À tous nos souhaitons une bon- ne et fructueuse année.
Mme G. Brisebois enseigne à l'école Montague. | Nous aurons bientôt une im- | primerie locale pour subvenir aux | besoins du bureau d'Assurance.
Quarante Heures
L'ouverture de nos Quarante Heures eut lieu le dimanche 25 septembre coïncidant avec l'ou- | verture d’une retraite prêchée par le R, P. Boudreau. M, l'abbé R. | Ducharme, curé de Fife Lake, vint aider au ministère et nous don- [na le sermon sur l'Eucharistie lundi matin.
Sintaluta
Shower Les dames de‘la paroisse ont |organisé un shower en l'honneur ide Mlle Frances Kelly, dont le |mariage aura lieu prochainement |avec M. George Fennel, de Toron- |to, Après une petite comédie exé- Icutée par plusiéurs jeunes filles let des chants, une corbeille pleine {de jolis cadeaux fut présentée à | Mlle Kelly. En termes appropriés, Mile Kelly remercia ses amies. Un succulent goûter fut servi pour |terminer la soirée. | Çà et là Mme W, Henderson, de Mont-
re
réal. est venue pour la première fois dans l'Ouest où elle visite ses soeurs, Mme Fred, Doilter, de Sin- ialula, et iine Adrien. Bonnevil- le, de Wolseley, Elle a ainsi fait |la connaissance de ses beaux-frè- res, neveux et nièces.
Mlle, Madeleine Dolter, de Ré- gina, eët en vacances dans sa fa- mille, pour une semaine.
Mme C. Larchet, du lac Mar- guerite, est venue en visite chez sa petite-fille, Mme H, Jones.
M. et Mme Henri Oudot ont eu lla visite de M. et Mme A. Latreil- ile et de Mme P. Barrett, du lac | Marguerite. s
Déces M. N. Neider est décédé à l'hÔ-
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