Norwood et 5t-Vital!

Sérvice d'une heure chez

11, rue Marion == Tél, CHapal 7-

Aux résidants de St-Bonitace,

Nettoyage à ve VELVETONE

Easton’s

4079

Vol 45

M, George Hees ne sauraiti

IL EST PLUS FACILE DE PAYER SELON NOTRE FLAN COMPTANT 4. CREDIT

at 2

PRIX: SEPT CENTS

|Six pe a a

quel est notre hymne national à | d pal li MONTREAL L'hon, George sentant de ‘La Presse" lorsque lu Ve Hees, ministre des Transports celui-ci lui a demandé s'il par. tra À ee) , no-|d (] 14 pa dans le cabinet Diefenbaker, ne | tageait l'avis de son collègue le a Vue \erraioriai, N'est } pl tre cire et di 1 sainte|trlarehe « que! nous sait pus quel est l'hymne na! ministre de lu Citoyenneté, Mme re Ph un À CPR GE BONE | Eglise romaine el encore de|vous le d our que vou tionul de notre pays, C'est, du | Fairclough, pour qui ‘God Save ( rh a te PT LM LE étropoliluine de & ous en lez d égli moins, ce qui ressort de la ré- the Queen” est ‘incontestable. an 2 dl y D is \ . Boni | { | conte ( | jou pr du ponsé qu'il a donnée au repré. | ment” l'hymne national du Ca- MAIS 10, PIL k 0 ep du Père et du 1 et d mense force pl elle 0 | K hic ' nada ral i L ) L [LE LI re "li ' tn dit l'out en se défendant de vou Ce fuit vient à J L pe nr varier ge loir se mêler de cette question | tidéle aui prend part cér religieuses en Pologne et en précisant que Mme Fair. monie de la remise du palliun H CE PR YARIQNE La Rio pus] S/OUS, PR ARS Cou beaue à un archevêque métropolitain, | W@ pensionnat indien ae innipeg ï : LS NE "0" coup plus qualifiée qu'il ne pou cérémonie qui a eu lieu en la ee re Mali. | vait l'être pour se prononcer sur | basilique de St-Boniface le mar stié à [ALL 15 © sions re ) : 1 14 vel À « k A un sujet de cette nature qui con: | di soir 9 décembre, Le pallium N. D, d Sai t- R M isuIOn Pl ete ca 18 : De cerne directement le ministère | est une bande de laine, tri 1e a u pes osaire déclaré Lot mn À Ps g de qu'elle dirige, M, Hoes n'a pas ple, et la cérémonie par laquell NIPEG nta \ l'1 gl é Exhor - ra | moins ajouté que, pour sa part, +| ue le recoit offici 100 ieuru { s ; n visage pus d envenimer d'éven un arenegvequc e 1! | 1 { dian n li n d éleve \ être dt étu tuels conflits religieux ou autres I _ ne saurait dire quel est, de lement consiste en mme en école Assinibola, premier high ;diant il l'Archevèque à u : "|"God Save the Queen’ ou de ‘"O tente élébrant at t | AA n À ? mais est uniquement prise pour C la”, l'i * i L''A un geste au célébrant q oo! pour les Indiens du Ma ( (l ent penser À faciliter le rapprochement et! ARAËA 4, RYMNe NAUORRE QU l'ornement sur l'autel et le dé: |nitoba, Son Exe, Mgr P, F, Po: l'uven il pendant l'entente entre toutes les couches pays pose sur les épaules du prélat, !cock, archevêque de Winnipeg, leurs anné ilaire « | vo * ‘Tout ce que je sals, a-til dit, | Et cependant, l'on fait précé- a déclaré qu'ils devaient être de la population polonaise”, Lu que } | Û on Excellence exprima ausal président a ajouté que cette sus- | 281 que tous les deux sont chan- der l'imposition par une mc fers de leur héritage raclal el'5u gratitude pour le travail de pension est d'autre part en con. | tés ou joués un peu partout dans pontificale avec procession s0-!|1es exhorta à garder leurs Corps! pionniers accompli par les cordance avec les principes de la | le pays, que j'ai, pour l'un com- lennelle, deux rmons et une }sains, leurs Ames et leurs esprits! vérends Pères Oblats dans l'ar séparation entre l'Eglise et l'E. | me pour l'autre, un égal respect | profession de foi, tandis que la forts, Car c'est que se trouve | chidiocèse dx Winnipeg et spé tai, ne permettant pas à ce der jet que l'un el l'autre me procu- [cérémonie est suivie d'une bé- la clé du succès, ajouta Son Ex: | cjalement parmi les Indiens nier d'accorder des faveurs à un! rent un égal plaisir," [Ion epln pou ca Un bé: |cellenci L'ouverture de ce high school , n ne Uu x P ps nédiclion papale et «at octroi quelconque groupement d'inté.] M, Hees était de passage à | naalc " Mur Pocock parlait ainsi aux !est le couronnement d'un siècle rêts spirituels, aussi Important | Montréal pour assister au diner d une meurt e” nière, Deux |, és Indiens à l'occasion de la | d'entreprise missionnaire”, dit-il, que puisse être le nombre de ses annuel du Grunt C lub dont il 1 tunele au \ dr 4 MIE lédicace de l'école résidentielle! 11 manifestu son appréciation adhérents était l'invite d'hogneus, mére dt | n PAR Assinibola \ Notre-Dame du!pour la collaboration des Soeurs : memen douze minute li , , . : geste principe! D illeu sr Saint Rosaire, le 4 décembre | Hg s dans cet apostolat diffis be % ed ; - cut - | formule que récite le célébrant | dernier M . . : « A D tion F 7 2) | fait ressortir le sens profond du Bientôt, dit Son Excellence ici res F K & AR es ceremonies offIcIenes | gesle, en ces termes: "Pour j'espère que viendra le jour | MOd-ou dans l'aprér lat du l'honneur du Dieu tout-puissant | vous tous, garçons et filles, vous rh y “u a bre ARS pr a ta et de la bienheureuse Marie | gagnerez une place dans le mon M + Pocock le R P tour! ny seront reauites au minimum |Oujours Vierge, almai que des/de et dans l'Église el que vous| Mr Pocock, le R, P. L Tourlgnys nnheure apôtres Pierre | ferez honneur à la race Indienne, | , bienheureux apôtres Pierre _etl1erez nonn An: : | Manitoba, M, l'abbé N,-1, Char OTTAWA La visite de la Les visiteurs royaux voyage- | trand chancelier, et le R, PL. R, A, MacGillivray, SJ. curé de

reine au Canada, l'été prochain, établira un précédent au point de vue de l'absence de {ormalité,

En publiant un aperçu général de la visite, les organisateurs ont dit que la reine et le prince Philippe commenceront leur tournée de six semaines le 18 juin à Terre-Neuve, Is visiteront toutes les provinces et verront également un peu du Grand Nord canadien,

Le programme provisoire an- noncé comporte des visites à Terre-Neuve, dans le Québec et l'Ontario en juin; en Colombie- Britannique et dans les régions du nord jusqu'à la mi-juillet; dans les Prairies et les Mariti- mes jusqu'à la fin de juillet,

Le fait marquant de visite sera l'inauguration officielle de la voie maritime du Saint-Lay- rent, dans la dernière semaine de juin, 11 y aura visite à Ottawa le ler juillet. |

Le It-gén, H. D. Graham, com- missaire. de la visite royale, a souligné que les organisateurg s'efforceront de permettre à la reine et au prince de voir autant que possible la vie des Canadiens et leur industrie,

Il est impossible d'éliminer toutes les cérémonies officielles, dit-il, mais le programme com- portera des périodes plus intimes Sa Majesté pourra se récréer et voir le peuple canadien au tra- vail et au jeu,

Accusation de trahison en Chine contre ceux qui lisent une encyclique

HONG-KONG Un des der- niers actes du Pontificat de Pie! XII a été l'envoi aux catholiques | de Chine d'une encyclique sur! l'Unité de l'Eglise et les con- ditions nécessaires à cette unité, Or, posséder cette encyclique est devenu en Chine communiste un “acte de trahison’,

La presse communiste n'a ja- mais fait allusion à ce document important et la lettre du Pape n'a certainement pas pu être communiquée ouvertement aux catholiques chinois. Il est cepen- | dant certain que l'encyclique est arrivée à franchir le ‘rideau de bambou”. Preuve en est que! l'Assoc iation “Catholico-Patrioti-| que” de Canton a fait F2 Régie sur les murs dé, l'évêché de ce ville une affiche ainsi concu: | “Le prêtre X. il a reçu l'encyclique impéria- | liste du Vatican."

Ainsi, un prêtre catholique! chinois ne peut, sans être accusé de trahison par les maitres com- munistes du pays, recevoir et | conserver un document émanant | de l'Autorité suprême de l'Eglise! catholique. |

Consistoire le quinze décembre pour la

CITE DU VATICAN Le Souverain Pontife Jean XXII tiendra un consistoire secret le 15 décembre prochain pour la création de 23 nouveaux car- dinaux, Le nombre des mem- bres du Sacré Collège se trou- vera ainsi porté à 74. Parmi les nouveaux cardinaux, 13 sont Italiens, deux Français, | deux des Etats-Unis, un Autri- chien, un Anglais, un Mexi- | cain, in Espagnol, un Alle- mand et un Uruguayen. Le Sacré Collège se trouvera done composé de: 29 Italiens, 8 Français, 4 Espagnols, 4 Amé- ricains, % Allemands, 3 Brési- ‘liens, 2 Argentins, 2 Portugais, 2 Canadiens, 1 Autrichien, 1 | Belge, 1 Anglais, 1 Irlandais,

ougoslave, 1 Polonais, 1 Hongrois, 1 Arménien, 1 Sy- rien, 1 Australien, 1 Chinois, 1 Indian, 1 Colombien, 1 Cubain, 1 Equatorien, 1 Mexicain et 1 Uruguayen, Voici la nomen: tlature des nouveaux cardi- haux, accompagnée de courtes n biographiques,

pont Battis na Montini:

1e 2 le 23 se Los 1897, Ordonné prète. Le a 49 mai 1920. Entré à la Secr tairerie d'Etat en 1924, il futiin

ront par avion, bateau, train et} automobile, Une partie du voya- | ge se fera à bord du yacht + 4] “Britannia”; 17 marins cana- diens se joindront à l'équipage | britannique pour l'occasion,

Ces dispositions ont été prises par suite des critiques formulées en certains milieux contre la ten- dance à laisser dominer les visi- | tes royales par les personnalités officielles, Le prince Philippe a | d'ailleurs contribué fortement à éliminer le surcroît de formali- tés,

L'Arctique | canadien serait sans valeur

VANCOUVER

L'Arctique | canadien ‘ne vaut

absolument

L'enseignement du francais

let à la 6e

dans l'état de Massachusetts

SPRINGHILL, Mauss, (Le De- voir) I y à cinq ans, la Com- mission des écoles publiques de Springhill (Massachusetts) inau gurait un système expérimental d'enseignement de In langue française pour d'élèves de 4e

année, Ce pro-

| gramme est maintenant appliqué |

dans les 33 écoles élémentaires de la région, 11 a été progressi- vement étendu de la 4e à la 5e année, Aujourd'hui, 1,117 élèves étudient le français

{Us ont un cours tous les deux | jours, Sont admis les élèves jugés

un pelit groupe |

nelle, Ils considèrent la nouvelle langue comme un jeu, comme un moyen de communication se- cret avec leurs camarades.

Des conversations téléphoni ques simulées se sont avérées les meilleurs méthodes d'enseigne- tment, dit Mlle Roy, Les enfants jouent, également en français, des scènes de la vie quotidienne, comme une visite au magasin ou au restaurant, En cinquième et en sixième année, on apprend un peu à lire et à écrire le fran- cais, mais on met toujours l'ac- cent sur la conversation,

{St-Jean - de

Brébeuf, paroisse dans laquelle est située l'école résidentielle

M, Gabriel Marcoux, visiteur des écoles indiennes, représens tait la branche des Affaires En: diennes du Département de ln Citoyenneté, Mère Gertrude dars beau, provinciale des Soeur Gr ses, qui ont la direction de cole, était aussi présente,

Joseph Guy Wood, étudiant la 10e année, lut l'adreseftde bienvenue à Son Excellence, R. P, O, Robidoux, O.M1, prins cipal de l'école, fut installé com: me directeur de la nouvelle résis dence oblate récemment érigée:

Les élèves, des grades huit, neuf et dix, sont des Indiens mas nitobains d'origines saulteuse et cr rise

ee mn

. ést un traitre; | 4

|substitut et en 1952

archevêque de Milan et consacré | dans la

rinci- olom-

rien”, déclare l'un des paux géographes de la bie-Britannique,

M. Lewis Robinson, président de la division géographie à l'Université de la Coloinbie-Bri- tannique, a déclaré à un diner- |causerie que la seule ressource léconomique des étendues sans arbres du grand nord est le renard blanc, lequel perd de sa valeur parce que les femmes n'en veulent plus comme four:| rure.

“Une économie basée sur caprice féminin est en position précaire’', a-t-il dit,

Le professeur Robinson décla- re qu'il ne sera pas possible aux gens de s'installer dans l'Arcti-| que et y vivre d'agriculture a- vant au moins 5,000 à 6,000 ans!

Les ressources minérales qui! s'y trouvent devraient être | beaucoup plus abondantes que les rapports actuels l'indiquent | pour que l'exploitation en soit! | profitable en dépit d'un trans- port coûteux,

“Qu'allons-nous faire avec # million de milles carrés de rocs?’”, a-t-il demandé,

“Ce territoire a une valeur! stratégique en fait de bases aé-| riennes,. Mais quand les gens! parlent du Canada déménageant vers le nord, je crois qu'ils pen- sent: ‘‘Allez:y vous; moi je n'i- rai pans

un |

Feu à Grèvelbeurg

(Par téléphone)

GRAVELBOURG L'édi- fice de l'école des arts et mé- tiers du collège de Gravel- bourg a été endommagé par un feu pendant la nuit du 10 décembre, L'entrée, le corri- | dor et le système d'électricité | semblent avoir le plus souf- | fert de l'incendie, pour une _Yaleur d'environ 15, 900,

tout d'abord ‘“minutante”, puis ro-sécré- taire d'Etat pour les Affaires ec- clésiastiques extraordinaires, Le ler novembre 1954, il fut nommé

asilique vaticane le 12 | décembre suivant.

Giovanni Urbani: à Venise le 26 mars 1900; ordonné prêtre lle 23 septembre 1922, Après avoir exercé son activité pasto- rale dans divers domaines, il de- vint en 1946 secrétaire de la Commission épiscopale pour la haute direction de l'Action ca- tholique italienne et aumônier général de l'organisation, Le 26 octobre 1946, il fut nommé évé- que titulaire d'Axomis et consa- cré le 8 décembre suivant; le 27 inovembre 1948 archevêque ti- tuloire de Sardes et le 14 avril 1955 évêque de Vérone en con- servant le titre personnel d'ar- chevêque, Le 11 novembre der- nier il fut promu patriarc e de Venise,

Paolo Giobbe: à Rome le 15 janvier 1880, il fut ordonné pré- tre’ le 4 décembre 1904. Le 23 mars 1925, il fut nommé nonce apostolique en Colombie et ar-

evêque titulaire de Ptolemais

rent de 13 juin. 1936, il

; | e, ile Bandet, de ' + . [des amendements aux lois ou-| conscient d'un pays avide de boue We. Sub, ere 15 Petietior, Mlle Hélène Briè- per Se dr vrières fédérales, dans le but sb If eau et d'action, a bru- au second tour, car la masse 4 M. l'abbé G. Deschamps, delre, de Laflèche, Mlle Cécile |‘tations, de ages FRERES de d'obtenir des procédures sépa-| talement emporté sur son pas- | tendance à voler au secours de péage Per D “He À Deer 2 par | 165 pour le règlement des dif-| sage les hommes et les partis la, Victoire, Mais persoBnè ) St-Louis, M. Claude Mod ip | férends entre les chemins de fer| qui avaient fait les beaux jours | même dans les milieux favoras (ER PM Antonio de Marge: | Leblanc ot Mile Dupont, de ER ie Reagan et [et leurs employés. de la IVe République, © | bles à l' “Union pour la Nous rie, chef du secrétariat de l'A.| Prud'homme, Mlle Lumina Cyr, He pn pod sr eur En vertu de la procédure sug-| Jamais champ de bataille | velle République” (UN), CF.C, MM. les abbés D, Dugas|de Debden, Mme Donalda Top- main nu d'au Gilles. gérée, un expert ouvrier serait le| électoral n'a été jonché d’au- | n'aurait pu prévoir la puissans et A, Guénette, respectivement | ping, de Batoche, Mme Thérèse EC. fondat d ta | nr premier médiateur; en cas d'un| tant de victimes de marque. | ce de la nouvelle lame de fond |curé et vicaire À la cathédrale! Rabby, Miles Agnès Boulanger! s all, EC, or échec, la commission spéciale] On y trouve des anciens prési- | qui a balayé tout le pays. Aus et Cécile Neveu et M. Raymond | ©! "Ta ancien ce étudierait le différend: sui-| denis du conseil, MM, Mendès- | si bien, l'U.N.R, à laquelle ses

ide Gravelbourg,

du Collège de la Propa sr

6 novembre 1883, il fut onbané prêtre le 4 novembre 1906. 11 entra dans jes services diploma- Sn du Saint-Siège le ler jan- vier l'Amérique centrale dont vint en 1925 chargé d'affaire et le 27 février 1926 internonce apostolique, Nommé le 23 A tembre 1930 nonce apostoliq

Haïti et Saint-Do juin 1936’ il fut transféré à Bue- nos-Aires et le 28 janvier 1953 à Ja nonciature en

(Macerata) le 10 août 1883, il fut ordonné prêtre le 23 décem- bre 1905, Le 22 juillet 1922, il fut nommé évêque d'Acireale et

comme nonce Lo au Ve- nezuela, archev

Seleucia Pieria, dans divers pays et le 26 octobre 1953 au Portugal.

le 4 novembre 1881, à

|aptes à apprendre une langue étrangère, lout en poursuivant , leurs études régulières. Depuis Lettre de Paris a dl des années, le français élait ma- F len )

ière facultative pour les élèves L F ! +) ii a Ù a France sengage::-

Lu ME LP) Nul csv bu PCA PURES

e la 7e année ét des Classes qui

ME Esther M. Roy, directrice . . M, du programme de français des sur des routes inédites

écoles élémentaires affirme que

On voit dans la photo du haut l'entrée solennelle à l'occasion de la cérémonie mémorable | les jeunes peuvent apprendre une |

en la basilique de St-Boniface, le 9 décembre. Au premier plan, Son Honneur M, J, Van Belleghem | langue seconde sans trop s'en|

et Mme Van Belleghem reçoivent la bénédiction de l'archevêque, Dans la procession l'on reconnait, | rendre comple, un peu comme

| de gauche à droite, M, Nicola ge” le R, P, A. Girard, O.M.I,, Sire John Stangl, le KR, P, O, Boily, | ils ont appris leur langue mater- SJ. M. l'abbé L, Beaulieu, le R, P, Downs, C.S.V,, M, l'abbé À, Boulet, curé, Mgr l'Archevèque

et, à droite, Sire Joseph Guay, U {

Sur la seconde photo, prise immédiatement apres l'imposition du pallium à Mgr Baudoux par n comité pour rég er

Mgr Decosse, l'on voit la bande de laine blanche, avec croix noires, sur les épaules du métropolitain. | [es conflits ferroviaires

(Photos Gene Gauthier) OTTAWA -—- Les grandes com | 7 | pagnies ferroviaires du Canada ont demandé au gouvernement fédéral de constituer une com- | mission spéciale pour arbitrer les conflits ouvriers qui menacent de dégénérer en grèves nationa- les du rail. | Elles ont proposé que chaque | {fois qu'une grève majeure du

par Maurice HERR

Correspondant spécial de ‘’La Liberté et le Patriote”

Henri Queuille, On y trouve des ministres actuels du Gé: néral de Gaulle, MM. Bacon, Eugène Thomas, Ramonet, des anciens ministres et des vez dettes d'hier, MM. Pineau, Jus, les Moch, Mitterand, Deferre, Teitgen, André Morice, Pierre Cat, Isorni, Naeggelen, et bien d'autres; des anciens présidents de l’Assemblée Nationale, MM, Le Troquer et Schneiter, ete,, etc, Mais à quoi bon une énus mération: ils sont trop, couchés à l'ombre des urnes, puisque

C'est un extraordinaire raz de marée politique qui a défer- sur la France les 23 et 30 novembre, à l'occasion des é- lections pour la désignation de la nouvelle assemblée nationa- le, 465 députés devaient être élus en métropole au scrutin uninominal à deux tours, mode de scrutin qui, en raison du fait qu'il avantage les notables locaux, avait été choisi par le

, général de Gaulle avec l'espoir qu'il jouerait son rôle tradi- tionnel de brise-lames et frac-

Délibérations fructueuses du &e congrès général de l'ACFIS

GRAVELBOURG Beau- Instituteurs présents | riches 12 ct ne Ja rail est à l'horizon comme| tionnerait les courants passion- à peine 150 députés sortants coup de religieux, religieuses et| Les’ instituteurs laïcs présents gieux: Lebret olseley, St-Hu-!|c'est arrivé le mois dernier —| nels. De Gaulle craignait, en | sur 600 ont retrouvé un siège, oup R nu MM. G.-M. bert, Zenon Park, Bellegarde, |le cabinet nomme une commis-| effet, l'entrée massive au La force de la tornade 4

" | étalenl ae, suivants: laïques se sont fait un devoir Verhelst, Philippon ei O-B.| Domremy. Prince-Albert,

stupéfait une fois encore tés observateurs politiques, déjà

Bellevue, Val Ma-

Lisieux, Vonda,

Parlement d'élus plus gaullis-

sion spéciale, formée d'un duse tes que lui-même, et pleins

de venir assister au 4e congrès | Malouin, x 1. G, Benoit et Mile! Ma- | de la Cour suprême et de deux général de l'AFCLS., malgré! D. Lepage, de Willow-Bunch,|rie, Frenchville, Ferland, For-| autres juges d'un tribunal supé-| d'un zèle louable, certes, mais | surpris par les résultats du rés les longues distances à parcou-|Mme R. Gaudet et M. M, Mar-|#et, Wauchope, Cantal, Ponteix, | rieur, qui rendrait une “décision | intempestif. férendum constitutionnel du 28

La sage précaution du chef du gouvernement a été totale- An inefficace, Une énorme lame de fond, surgie du sub-

Montmartre, Mile! Meyronne, et enfin Gravelbourg | Dollard, | aui comptait la plus forte dé-| légation, sans doute à cause de la proximité des lieux,

finale” dans le conflit,

Il s'agit d'une recommanda- tion-clef, dans ce nouveau plan des chemins de fer pour apporter

septembre, On savait, certes qu'avec le scrutin uninominal à deux tours, les courants qui s'affirment au premier tour, s'amplifient considérablement

rir, Mentionnohs spécialement | childon, de 4 " | Liliane Mercier, de

M. l'abbé Roger Ducharme et! iles Aline et Suzanne Marchil le R. P, B. Paris, O.M.,, de Gra-! Gun et Agnès Coquet, de Rad-

Prince-Albert, M. Dumont Le-| Bruneau, de Coderre, Mile Ray-

les RR. PP, W, Piédalue et M, Charest, du collège des Oblats, M. Rolland

low-Bunch. L'Association des | Professeurs du Manitoba fit part | aussi de ses voeux de vrai suc-

énéreux accor- 150 sièges, en non

France, Laniel, Daladier, Ed- gar Faure, Ramadier, Bourges- Étaunoury. sans oublier ceux

amis les plus daient de 140 obtient-elle près de 190,

vraient 14 jours de nouvelles né- |gociations: et finalement si | tous cés efforts n'apportaient pas

Desjardins, de Marcelin. Ces paroisses comptaient sur-

ne qe qu men etes

t, i tout ombreuses délégations |* à ht ai s CERF CM ect 4 For: rage api et de trères ensei- | Cès à l'occasion de cette réunion. [un règlement un rapport sans| qui n'ont pas osé affronter la | ‘compris les élus d'Algérie, hats. D . ænants; en plus de ces centres” (Suite à la neuvième page) l'appel par la commission. lutte: MM. Félix Gouin et (Suite à la troisième page)

création de vingt-trois cardinaux

John O'Hara: à Ann Arber dans le Michigan, le ler mal 1888. Après avoir fréquenté les !" écoles publiques du Michigan et : de l’Indiana, il entra au collège

des Jésuites de Montevideo, en Uruguay, et fut ordonné rue

fut transféré À la nonciature de| donné prêtre le 28 mai 1904. En- de Totatiche, il füt vicaire dans] Coadjuteur de l'archevêque de | Directeur de la Société pour la Hollande. Avant d'entrer dans le|tré dans la diplomatie du Saint-|les paroisses Totatiche et Atonil- | Montevideo, il lui succéda le 20 | Propagation de la Foi de l'archi- service diplomatique du Saint-| Siège le 12 novembre 1917 à la! novembre 1940. I1 est assistant | diocèse de Boston, il fut nommé Siège, il fut entre autre recteur | nonciature apostolique de Lima, au Trône pontifical, |lé 10 juin 1939 évêque titulaire il fut Canutls é à celle de Var: l'histoire de l'Eglise, etc, En dé! William Godfrey: à Liver-|de Mela et auxiliaire de l'arche- elsovie en 1922, Le 19 octobre |cembre 1929, il fut nommé évê-| pool le 25 septembre 1889, il fit | vèque de Boston, auquel il suc- 1928, il fut nommé nonce apos-| que titulaire de Roso; le 22 dé-| ses études ecclésiastiques supé- | céda le 28 septembre 1944, Il est tolique en Bolivie et archevêque | cembre promu archevêque titu-| rieures à Roïne et fut ordonné |l'auteur de nombreux ouvrages titulaire d'Amida; en 1932 non-|laire de Bizia et coadjuteur de| prêtre le 28 octobre 1916, Le 21/sur les problèmes missionnaires ce-internonce en ‘Amérique cen-|Guada#läjara avec droit de suc-| septembre 1938, il fut nommé|et sur la vie religieuse, sociale {rale; en 1933 nonce à Costa- | cession; il succéda à l'archevê-| délégué apostolique à Londres et|et morale, Rica: en 1946 nonce au Brésil. | que Mgr Orezco y Jimenez le 18 | évêque titulaire de Cius. En no-| Paul-Marie Richaud: à Yer- Depuis le 1er septembre, il était février 1936. 11 est assistant au | vembre 1953, il fut promu arche- | sailles le 16 avril 1887. Il fit ses nonce en disponibilité, | Trône pontifical et président du! vêque de Liverpool et le 4 dé-|études au séminaire français de Giovanni Cicognani: à Brl- | conseil épiscopal du Mexique. |cembre 1956 transféré à West-| Rome, obtenant le doctorat de à | sighella (Faenza) le 24 février| Alfonso Castaldo: à Caserla | minster, Il est ordinaire pour les js et théologie, et futique latine; il créa en 1883, il fut ordonné prêtre en| (Naples) le 6 novémbre 1890, il| catholiques ruthènes de rite by- | ordonné prêtre le 28 ju 1913.|mouvement d'éc 1905. Après avoir exercé son ac- | fut ordonné prêtre le 8 juin 1913, | zantin en Angleterre et ässistant | I1 débuta comme vicaire de la |diants avec les univer tivité dans plusieurs Sacrées | Le 27 mars 1934, il fut nommé| au Trône pontifical. paroisse de Notre-Dame de Ver-| l'Amérique du Sud et un! Congrégations, il fut nommé, le | évêque de ozzuoli et consacré! Carlo Confalonieri: à Se-|sailles, 11 est considéré comme journalistique pour 1 17 mars 1933, délégué apostoli-}le 30 juin suivant, Le 14 que vese le 25 juillet 1893, il fut or-|un des premiers fondateurs du |tions de ce contin \ que aux Etats-Unis d'Amérique | 1950, tout en conservant l'admi-| donné prêtre le 18 mars 1916.}scoutisme catholique français, et archevêque titulaire de Lao- | nistration apostolique de Pozzuo- | En juillet 1921, le futur Pie XI, | En 1931, il devint vice-aumônier dicée, Il est l'auteur de divers|li, il fut nommé archevêque ti-| alors cardinal archevêque de Mi: | général de l'Action Nés CS ouvrages: ‘“‘Le grand commande- tulaire de Thessalonique; et le|lan, le choisit comme secrétaire, | française. Le 19 décembre 1933

ce, Il enseigna ensuite la théolo- gie dogmatique, la pastorale,

Giuseppe Fietta: à Ivrea 1

le 9 septembre 1916. Le cembre 1939, il fut nomm que titulaire de Milasa: ie T0 mars, évêque de Buffalo: le. 28 novembre 1951 archayique À PR Son oeu rès ap pour changes Re ae avec l'

1923 à la nonciature de 1 de-

mingue, le°20

talie. Fernando Cento: à Polenza

consacré le 3 septembre suivant, | ment de l'Evan Bite”; “Sainteté en|11 février 1958 archevêque de|En 1941, Pie XII le nomma ar: | il fut nommé évêque titulaire d'I- Entré le 24 juin dans les services Anérique”; “Loi canonique”;| Naples. chevéque d’Aquila et, en 1950, rénopolis d'Isaure et auxiliaire diplomatiques du Saint-Siège | etc. ntonio Maria Barbieri: à|le transféra au siège titulaire de |de l'évêque de Versailles: le 27

juillet 1938, il fut transféré au

es ae de AS Gi y le! vrier promu

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tes sole des

Nicopolis ad Nostum, En 1946, Mgr Confalonieri fut nommé se- taire de la CONTES des Séninaires et des Universités, Richard James Cushing: à Boston le 24 août 1895, il fut ordonné prêtre le 26 mai 1921.

Montevideo le 12 octobre 1892. Entré dans l'ordre des Frères Mi- neurs Capucins, il fut ordonné! c ome et fut ordonné prêtre le 25 fur, le 17’décembre 1921. février 1912. LA race au sé- é archevêque titulaire de minaire de Cars d e 1911! Macra le 6 pen e 1936, il fut à 1918 et du uxiliaire | consacré wie novembre suivant,

Giuseppe Garibi y Rivera: Guadalajara, Mexique, le 30

tulaire de | à anvier 1889, il fit ses études à

sféré

ue t L'fut tran

Carlo Chiarlo: à sud eg À or-

y " uniorat de la 8 décembre, mu

buta par une gra lébrée par le Pé- re ub laire, Eat des AR, PP. Albert Girard, supérieur, et Ar- mand Joyal, respectivement dia- «re el sous-diacre, Le K, P, Lau: rent Godbout, dans son sermon, 1 ressortir la beauté et la gran. deur du mystère de l'Immacu lée Conceplion et d'un jubilé d'argent sacerdotal, Les Frères novices de St-Norbert, selon la coutume, chantèrent une messe en parties; un ancien du junio- rat, le Frère Gérard Glenn, tou chait l'orgue.

Malgré le froid intense et les difficultés du voyage, Soeur Jo | seph Calasanz, soeur du Pére

am et économe elle aussi au) Fover Nazareth des Petites! Soeurs de St-Joseph à Olter burne, assistail à cetle messe | d'action de grâces |

Au diner, le R. P. Aurèle Le moine, curé du Précieux-Sang| et représentant pour l'occasion du R, P. Irénée Tourigny, pro vincial des Oblats du Manitoba

Le ministère des Travaux publics re: vevra, au bureau du secrétaire, jusqu'à trois heures de l'après-midi (heure nor-

ale de l'Est), le mercredi 7 janvier den soumissions cachetées, adres- ses au soussigné et portant sur l'en velo p, Rp ion "SOUMISSION ro LLONGE ET CHANGEMENTS, RDIFICH FRDERAL, IUVERS (MAN)

On peut prendre connaissance des

lans et du devis, et se procurer la ormule de soumission au bureau de l'architecte en chef, ministère des Tra- vaux publics, Ottawa (Ont), de l'ar« chitecte régional, 708 édifice Commer- clal, 109 est, avenue Notre-Dame, Win- nipeg (Man), et au bureau de poste | *

ivers, (Man.)

On ne tiendra compte que des sou- missions auxquelles est annexé un pôt de cautionnement sous forme d'un Chèque visé d'obligations, comme il a spécifié à la formule de soumission,

et qui seront prepare sur la formule Touinie par le ministère et en contor- jun des conditions qui y sont stipu-

Le ministère fournira, par l'entre- mise du bureau de l'architecte en chef, par l'entremise du sousmigné,

ar l'entremise du bureau de l'arehi- ecte régional À Winnipeg (Man,), les bleus et le devis de l'ouvrage

On n'acceptera pas nécessairement ni la plus basse ni aucune des soumissions,

ROBERT FORTIER, Directeur des services administratifs et secrétaire Ministère des Travaux publics, Ottawa, le 3 décembre 1968, (601) |

\

Pa soumissions cachetées, adressées soussigné et portant la mention: SOUMIS ON ON POUR LA FOURNITURE UIVANTS: 4 2 cote oeŸ avec portes, ré- quisition no 440-G-72;

, Classeurs sans serrure, Classeurs avec serrure, réauisition no 440-G-73; Classeurs fixes de 42" avec ser- rure, Classeurs fixes de 72" avec serrure, réquisition no 440-G-74;

. Tables, type À, de 4 pieds, Ta- bles, type B, de 5 pieds, Tables, type C, de 8 pieds, Table de 12x40, pour salle de réunion, ré- quisition no 440-G-86;

5, Caisses de sécurité à serrure À

ÆPlnasons, réquisition no 440- A Fauteuils en chêne, Fauteuils pi- votants et basculants, Chaises

droites en chène, réquisition no

40-G-174; seront reçues au bureau du secrétaire

jusqu'à trois heures de l'après-midi

{heure normale de l'Est), le JEUDI, 8

JANVIER 1959

On peut obtenir des formules de sou- mission et les cahiers des charges de chacun des articles susmentionnés en s'adressant au chef des achats et des approvisionnements, ministère des Tra-

type A, type B,

vaux pybioe: pièce 503, édifice Gar- land, Ottawa (Ont), au préposé aux achats et approvisionnements, 3, rue

Sullivan, Toronto (Ont.), du directeur régional, 1631, rue Delorimier, Montréal (PQ), de l'architecte régional, édifice | Ralston, case postale 425, Halifax (N.- | E.): de l'architecte régional, ancien bu- reau de poste, case postale 759, Saint- | Jean (N.-B.), de l'architecte régional, 15, blvd des Capucins, Québec (P.Q.),| de l'architecte régional, pièce 705, édi- lice Commercial, Winnipeg (Man.), du directeur régional, 10225 - 100e rue, case postale 4884, Edmonton (Alta), et de l'architecte régional, 1110 ouest, rue | Gevrgia, Vancouver (C.-B)

On ne tiendra compte que des sou- | missions préparées sur Îles formules imprimées fournies par le Ministère et en conformité des conditions qui y sont énoncées k

On n'acceptera pas nécessairement ni la plus basse ni aucune des soumissions

ROBERT FORTIER, | Dirécteur des services administratifs et secrétaire

Ministère des Travaux publics, Ottawa, le 28 novembre 1958

(654) |

dans -|qu'il a

| siens du village, | composée

| doche

wi: présenta au jübilaire les voeux ét les remerciements de la Con- grégafion des Oblats, pour le

ls | dévouement inlassable que le K,

P, Adam à exercé consiamment les différentes fonctions remplies depuis 26 ans, spécialement su duniorat pen- dant 14 ans, soit comme direc- teur de l''Ami du Foyer”, soit comme professeur, préfel de discipline et économe, Le M, Girard, supérieur, lui offrit eh. suite les voeux du personnel du Juniorat, c'est-àdire des Pères et Frères, des Petites Soeurs de la Ste-Famille, des junioristes,

Au réfectoire des junioristes, en plus des Pères et Frères du personnel, des Frères novices, on remarquait la présence des HR, PP, Aurèle Lemoine, Anas tusio Monje, professeur de mo rale du Père Adam au scolastis cat de Lebret en 1930, Raymond Beauregard, maître des novices KR, l'erron, missionnaire de Ke nora, Ont,, et du Frère F, Ke- rouanton qui aime au Juniorat il travailla long lemps

Au cours de l'après-midi, no: vices et juniormsles se rencon trèrent sur la glace, Sans doute que les novices aiment à pratl quer la vertu d'humilité, qu'ils ont laissé gagner les jeu nes ,,,

Les Petites Soeurs la Ste Famille avaient gardé d'autres plats succulents pour le souper

|qui fut un nouveau banquet au

quel participaient des confrè res des maisons oblates avoisi nantes: les RAR, PP, À, Lizée et A. Beaudin, de la maison pro vinciale, J, Wagner, V, de Va: rennes et O, Guy, du noviclat de St-Norbert, R Laviolette et KR, Bédard, de la maison St-François de Sales, O, Fournier et H, Delisle, de la maison des retraites fermées, L, Laplante et D, Ruest, du Sacré- Coeur de Winnipeg, J, Soulodre ét A, Kéronck, du Précieux Sang, L. Alarie, de l'école in dienne Assiniboia, ainsi que les Frères F, Kérouanton, J, Bou cher, E, Morin, C, Vereyken, F Gaboury et G, de Grandpré,

Quelques-uns des visiteurs purent assister à la petite soi- rée familiale offerte par les ju nioristes et organisée par Îles Pères L, Godbout et J, Morin, en l'honneur du Père Adam, Cette soirée permit à plusieurs junioristes de prouver la haute qualité de leurs talents artisti- ques et oratoires, au Père Gi- rard de révéler certains aspects inédits de vie du jubilaire et ses nombreuses qualités si variées, au jubilaire d'exprimer ubliquement sa reconnalssange

Dieu et à l'Iimmaculée, ainsi qu'à tous ceux qui permirent cette célébration de son jubilé d'argent.

Le 2 juillet dernier, à l'occa- sion même du 25e anniversaire d'ordination du Père Adam, ce- luikci avait chanté une grand- messe d'action de grâces dans la chapelle du Juniorat, à la- auelle avaient assisté quelques confrères ( oblats,

|

|véque de Toronto

|

Durocher, G,|

|entre-temps,

|rection du R

ent sacerdotal du rcia Adam, OM.

| chez

tant revenir |

puis |

mais les junio-

ristes élalent alors en vacances, Ils désiraient à leur tour, ainsi que les membres du personnel | manifester leur reconnaissance au Père Jubilaire, et la date du # décembre était toute désignée pour une telle célébration

Voici guelques dates de la vie du Père Adam: à l'An nonciation, PQ, le 29 juillet 1906, 11 fit ses études primaires les Soeurs de Bte-Croix à Nominingue, puis chez les Frères de Bt-Gabriel à Bte-Thé rèse de Blainville, Après son cours secondaire au Petit Bémi- naire de Ste-Thérése de Hlain ville et au Juniorat oblat d'Ot taws, il entrall au novicial oblat de La Salle, PQ, en 1927 et fit ainsi son premier appren tissage de la vie religieuse sous le KR, P, Guillaume Charjebois alors maitre des novices,

Après avoir prononcé ses pre

miers voeux, il alla étudier la |phhosophie au séminaire de Gravelbourg (1928-1940), tout

en étant aide-surveillant au col lège, Durant ses années d'étu

|

des théologiques (1980-1944) au

scolasticat de Læbret, il eut com me professeurs des maitres, en tre autres les RAR, PP, F, Blan: chin, À. Monje et J, Rousseau

C'est le 8 septembre 1930 qu'il prononçca ses voeux per pétuels et, le 2 juillet 1944, était ordonné prêtre par Son Exe, Mur James-Charles MeGui gan, alors archevêque de Hegi na, maintenant cardinal-arche

résumer äinsi 1934-35, pré

On peut années d'apostolut fet de discipline au Juniorat de St-Boniface; 1935-38, vie missionnaire à l'école indienne et à la paroisse de Marieval et, étude de la langue h Gravelbourg sous la di

P, Alexandre Jos- au Juniorat de nou- surtout de

crise

se: 1938-48, veau, {1 s'occupe l'‘Ami du Foyer” et s'initie à la tenue des livres avec le R, P, Alcide Normandin; 1948-55, économe au scolasticat du Sa cré-Coeur à Lebret, Sask,; en 1955, une 5e obédience le ra- menait au Juniorat comme éco- nome, et il s'occupe aussi de l'administration de la revue

|‘‘Ami du Foyer"

Cetie nomenclature de dates ne laisse rien transparaitre des grandes qualités de ce prètre- religieux: dévouement inlassa- ble, sourire permanent même aux jours sombres, charité fra- ternelle très grande, esprit spor- tif de haute qualité et qualité artistique de première valeur, Le Père oublie maintenant pa- tins et violon, mais les autres qualités rayonnent chaque jour.

Et en tout cela, une grande humilité, Le provincial écrivait, à l'occasion de ce jubilé d'ar- gent: ‘Le Père Adam remplit, À l'exemple de saint Joseph, au sein de la sainte Famille, la fonction d'économe fidèle et dé- voué, au Juniorat de la Ste-Fa- mille”, Tâche humble, mais né- cessaire, que le Père accomplit en vrai prêtre.

Grande variété de talents munifesté lors d'une soirée à St-Jean-Baptiste

ST-JEAN-BAPTISTE Il y eut salle comble le dimanche 23 novembre lorsque les parois- siens de St-Jean-Baptiste et plu- sieurs amis de Letellier, St-Jo- seph et Ste-Elisabeth vinrent applaudir les excellents acteurs dans leur soirée de la Ste-Cathe-

rine, M. Ovila Sabourin, habile maitre de cérémonies, introdui-

toute une série de pour des mor- ceaux de piano, de piano accor- déon, de chants et même acrobaties de ‘‘hula-hoop”,

sit d'abord jeunes artistes

Ces

jeunes promettent beaucoup par |

savoir-faire et leur assu- en face du public.

pièce ‘Chez Madame ', exécutée par les parois- fut entièrement par Mlle Rose-Marie Bissonnette, autrefois directrice du programme des CKSB, Cette chère Madame Bi- sut mettre ses visiteuses parfaitement à l'aise dans une partie de tire, Madame Maltère y alla de ses chansons, de histoires et de ses amusantes. Mlle Coralie vait avec un grand déploiement de manières agréables, Elle s'ou- blia cependant à un certain mo- | ment et les visiteuses furent fort | surprises de la voir gratter les marmites de tire avec beaucoup

leur

rance La

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Poutquoi ne pas vous joindre à la famille de deux millions de Canadiens qui épargnent à la B de M? If y a une succursale de la Première Banque du Canada

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de chez vous et, vous aussi, y épargner.

DE MONTRÉAL

La Première Banque au Canada

AU SERVICE DES CANADIENS DANS TOUTES LES SPHÈRES DE LA VIE DEPUIS 1817

«Succursale de Prince Albert Domrem

Pine Plain:

DUNCAN PLACÉ, kérant

GENE POURBAIX, EUR CARDINAL: à érnt su MeeLAREN, Penn ROROBERT ù WP: Brant STEPHEN » Rétant MAURICE VACHON, gérant

des |

| Bi-

enfants à]

ses | aventures fort | rece- |

lont assuré

{sable et de

d'énergie, Enfin, après une bon- ne heure de papotage et après avoir donné une bonne raclée au chien qui menagait la tire, la foule fut mise en appétit et cha- cun voulut en acheter, En résu- mé, chacune des actrices se tira d'affaire à merveille et toutes

|s'attirèrent les applaudissements

de l'audience,

La seconde comédie intitulée “Préoccupations inutiles”, pré- parée par le groupe de l'est de la paroisse, connut également un grand succès, C'est l'histoire d'une brave mère de famille qui implore sainte Catherine pour trouver un prétendant à sa fille de 28 ans. Malgré ses prières et ses exercices de présentation très soignés, la pauvre mère voit sa fille éloigner M. Giroflée par sa réserve exagérée et ensuite le docteur Rossignol par son ver- biage assommant., Mais la demoi- selle s'en console, puisqu'elle avait depuis longtemps décidé de coiffer sainte Catherine,

Que dire de la veillée du bon vieux temps organisée par le groupé de l'Ouest! Si nos aieux se trémoussaient comme M. et Mme Latrémouille et leurs visi- teurs, la vie devait être joyeuse au bon vieux temps. Ce fut une succession de musique, de dan- ses de folklore et de chants exé- cutés avec un entrain endiablé. Cette soirée si bien réussie a exigé beaucoup de dévouement de la part des organisateurs.

Il serait difficile de mention- ner les noms de tous ceux qui le succès par leur travail caché, Ils méritent admi-

|ration et remerciements et tous

voudront sans doute revenir les

applaudir dans un avenir pas trop éloigné. Centre récréatif Le Centre récréatif a fait

construire l'été dernier une bel- le salle d'attente de 50 pieds de long, à deux étages, avec sièges pour les spèctateurs et jeux intérieurs. Cette salle est reliée par un corridor à la pa- tinoire et au curling. Le comité de direction a fait aussi creusé un lac contenant assez d'eau pour pourvoir à l'arrosage des deux champs de glace, Ce lac est protégé par une clôture soli- de, afin d'assurer la protection des enfants, Plusieurs parois-

| siens ont contribué par leur tra-

par des dons de gravier, au succès de cette construction. Tout ceci

vail gratuit,

| a été fait pour procurer les avan- |tages d'une bonne détente aux

patineurs, joueurs de hockey et

|joueurs de curling de St-Jean-

Baptiste durant la saison d'hi-

ver, On les invite donc à s'or-

ganiser en conséquence et à prendre part au programme de sports qui promet d'être très intéressant. |

“N'essaie pas de faire de toi un chef-d'oeuvre mais un outil

de bonheur."

LUE]

LA LIBERTE ET LE PATRIOTE ;

@ LES FRANÇAIS eds

DANS L'OUEST CANADIEN

par Donatien Frémont Spécial à ‘La Liberté et le Patriote"

{Tous droits réserves) Chopitre XXIV (suite) UNE VILLE-CHAMPFIGNON: CASTOR

A ce dernier endroit va naître une ville. champignon, Dès l'annonce offitielle que le tronçon du Pacifique Canadien qui part de Lacombe pour en rejoindre un autre en Bas- katchewan aura son terminus provisoire près de la Digue du Castor, des hommes d'affaires accourent de partout, Sans savoir au juste sera la future ville, ils élèvent des construc- tions temporaires, y installent des bureaux, reçoivent des locataires pressés d'ouvrir échop- pes et magasins, Cette première ébauche d'ag- glomération n'aura qu'une existence éphémère, L'emplacement définitif choisi, les maisons en planches y déménagent, transportées sur des chariots, et d'autres se construisent à la hâte, La fièvre de la spéculation atteint des propor- tions incroyables: en une seule journée il se vend pour #40,000 de lots, 8ix mois après l'arrivée du premier train de voyageurs, Castor a 1,200 habitants, quatre magasins généraux, un hôtel très confortable, des restaurants pres- que luxueux, plusieurs banques, et tous les métiers y sont représentés, Quatre églises de divers cultes sont en vole de construction, Pour les Pères de Tinchebray, c'est un second foyer de mission d'où ils rayonnent dans le voisinage,

La colonie française de Castor compte à peine une vingtaine de membres, C'est à quel- ques-uns d'entre eux, cependant, que la ville. champignon doit ses premières industries: une tannerle et une briqueterie fondées par Mare de Cathelineau et les frères Martin, On compte aussi sur eux pour faire des recrues outre-mer, Pierre de Soucy, un Lillois, est délégué à cet effet dans la Flandre française par le Conseil municipal et la Chambre de Commerce de Castor, De leur côté, l'Angevin Marc de Cathe- lineau et le Parisien Pierre: Darblay, de Tin- chebray, passent un hiver au pays natal dans le même but,

Les petits noyaux de catholiques de toutes nationalités se multiplient dans la région et le clergé disponible ne peut suffire à tout, Un autre Français, l'infatigable Henri-François- Jules Gontier, vient à la rescousse; les Prêtres du Coeur de Jésus, à qui Mgr Legal a confié une paroisse dans la banlieue d'Edmonton, visitent quelques missions; sur la lisière de la province voisine, l'abbé Albert Soyer, du diocèse de Nancy, s'occupe du petit groupe exclusivement canadien-françals de Chauvin et l'abbé Gaston Carpentier, de l'Aisne, dessert Wainright et les environs, L'abbé Ferroux s'est dirigé vers un autre champ d'action,

DEUX AGRICULTEURS-RANCHERS BASQUES

L'un des plus notables parmi les grands agriculteurs-ranchers de Ja région du sud albertain actuel est, malgré tout, un Français venu quelque dix ans après les pionniers et qui continue d'y prospérer, Comme il s'agit d'un Basque, il ne faut pas s'étagnnèr que son premier champ d'action ait été la Colombie- Britannique, vers laquelle se portent de pré- férence les populations pyrénéennes, Jean- Pierre Paris, de Saint-Pée-sur-Nivelle (Basses- Pyrénées), y arriva au printemps de 1908, dans des circonstances plutôt extraordinaires, Le voyage en chemin de fer de Halifax à Van- couver à travers des millions d'arpents de neige, non content d'entamer son robuste opti- misme, l'avait précipité en plein cauchemar, A la gare de Mission-City, il découvre enfin un peu de verdure, Fou de joie, il saute à terre, court à droite et à gauche dans la campagne environnante, perd totalement la tête, si bien que son train repart sansilui,.,

Quelques mois plus tard, après un premier séjour assez dur dans un camp forestier, Jean- Pierre descend à Vancouver, courbé sous le fardeau de son équipement de bücheron, érein- té, échevelé, assoiffé, avec un petit magot dans sa poche, Par un hasard singulier, deux jeunes Basquaises de San-Francisco le coudoient dans le brouhaha de la gare; l'une dit à sa compagne dans la langue du pays natal, convaincue que le diable lui-même ne pourrait la comprendre:

_ Tiens, voici un pauvre homme qui va dépenser tout son argent comme un fou, im- médiatement!,,,

Oh non!,,, riposte du tac au tac le compatriote, Je vais mettre ça en banque, immédiatement,

De telles dispositions présagent la réussite certaine, Cependant, élevé sur la ferme, tout en ayant un penchant marqué pour les affai- res, les aventures et les risques, si Jean-Pierre Paris amassa de l'argent dans les camps fores- tiers, il ne put s'accoutumer à ce genre de vie. En 1912, on le trouve dans l'Alberta, à la recherche de terrains propres à une entre- prise agricole telle qu'il la rêve, Au nord de Calgary, il fait l'acquisition de vastes étendues qui iront toujours en s'agrandissant, Depuis lors, il y mène de front l'élevage des animaux et la culture du blé, Veuf et remarié à une cousine, Catherine Paris, il est aujourd'hui chef d'une puissante tribu de descendants et d'as- sociés qui l’aide à gouverner un empire de 20,000 acres. L'ainé de ses gendres, Robert Jackson, utilise un avion à quatre sièges pour inspecter l'exploitation familiale.

Un frère, Peti Paris, posséda longtemps trois sections de terrain dans la région de Three Hills, au sud de Trochu, Il y connut, comme les autres, des hauts et des bas, finit par passer à travers les années difficiles de sécheresse et vit aujourd'hui retiré à Vancou- ver. Ces deux Paris se rattachent à la grande famille du même nom que nous allons trouver dans la métropole du Pacifique!

Dans. la partie sud de l'Alberta, quelques Français sont attirés dans des paroisses ou missions déjà formées: Pincher-Creek, Belle- vue, Cluny, Gleinchen, Une centaine se sont fixés à High-River, à quelque 30 milles au sud de Calgary. Ce centre nouveau aura bien- tôt sa chapelle que desservira un prêtre fran- çais, l'abbé F. Beausoleil. On y trouve des Parisiens, des Bretons et des Savoyards, Parmi ces derniers, le marquis Raoul de Roussy de Sales, avec sa femme et ses onze enfants, et une famille apparentée, celle du comte de Forras. Au nombre des Parisiens, Henri Mas- sieu de Clerval, qui épousera la fille ainée des Roussy de Sales et sera le premier agent consulaire de France à Calgary. La colonie française de cette ville, ‘assez clairsemée, comp- tera un petit groupe d'agents d'immeubles et de spéculateurs, À Roussy de Sales et Henri de Clerval, venus de High-River, se joindront entre autres André de Vienne, de Cardaillac et le comte de Charnassé,

Joan d'ALIEU, Dix Yours In (Me CERNAINA NON: Nreux Toronto, 1

Mgr Emile ! oi the Ca

ielor Forbin, 11,006 hilomn, de film au Canada, Paris, 5, R, Mealing, M. Vrance in Alberta, (New Trail,

ronenton avr! rie: Canada ei Canadiens, Paris, 1906,

en Lai! Gilbert Larue, heportage de La Presse, Montréal, 28 1006,

novembre 1510, æ Canadienne, Paris,

s religieuses de la Charité de Notre-Dame d'Evran, de ONU, ont eu l'obligeance de me fournir des notes sur les origines de Trochiu. J'ai aussi obtenu des rensel-

pgments Utiles de M, l'abbé J,-A, Normandeau et de lle Cécile Kekentelder

Chapitre XXV COLONISATION EN ORDRE DISPERSE

al, O.M1., Ghort bhetches of the History Churches and Missions in Central Alberta,

On se rend compte aisément qu'une fuule initiale marqua ce mouvement d'émigration française vers l'Alberta, Le manque de coor dination y joua, plus qu'ailleurs, un rôle néfus- te, ll eût été si nécessaire de concentrer les forces disponibles sur un petit nombre de points, ce fut, au contraire, un éparpillement irréfléchi, précurseur d'inévitables déceptions C'était l'époque de la grande ruée vers les plaines de l'Ouest, des Français auda cieux avaient pris les devants et posé quelques sentinelles, des émigrés d'autres origines ac- coururent et n'eurent pas de peine à écraser sous leur nombre les premiers occupants, Les Prètres de Tinchebray, pleins de zèle pour leurs ouailles dispersées, mais débordés par un travall au-dessus de leurs forces et de leur expérience, ne surent pas faire oeuvre de colo nisation efdicace et rapide, comme l'exigeait la situation,

On «a reproché aux autorités ecclésiastiques d'alors de n'avoir pas donné à ces Français de bonne volonté le coup d'épaule auquel ils avaient droit, 1] est juste de dire qu'au mo- ment de leur urrivée dans la région Trochu- Innisfail-Castor, plusieurs paroisses appelées à devenir florissantes existaient déjà au nord d'Edmonton, On ne pouvait être partout à la fois, Pour cette raison, il n'y eut jamais de prêtres canadiens-Ærançais préposés au travail de groupement et d'organisation dans le terri- toire desservi par le P, Voisin et ses confrères. Apparemment, Mgr Legal fut incapable de faire envoyer du renfort aux compatriotes dont l'accueil l'avait si fortement ému, Lui disparu, les Prêtres de Ste-Marie, à la suite de diffi- cuMés avec l'archevêque irlandais d'Edmonton, passèrent dans le diocèse de Prince-Albert, Une vaste région de l'Alberta, à l'exception des anciens postes détenus depuis longtemps par les Oblats, se trouva ainsi dépourvue de clergé de langue française,

Les plus éloquents vestiges de cette entre- prise méritoire demeurent quelques foyers d'enseignement et d'hospitalisation qui ont tous

survécu à Red Deer, Trochu, Castor, Végre- ville, LA GUERRE TUE LES RANCHES DES MILITAIRES

La guerre de 1914 porta un coup droit aux ranches Sainte-Anne et Jeanne d'Arc. Ecken- telder, Jean de Beaudrap, Torquat et les au- tres coururent prendre leur poste dans l'armée, Le colonel Féline en fit autant, fermant à dou- ble tour sa magnifique maison dont il avait peu profité, Faut-il rappeler qu'elle fut pillée presque aussitôt?, Heureusement pour les coupables, son propriétaire ne devait pas reve- nir, Trochu repassa aussi en France deux ans plus tard, en partie à cause de la guerre, en partie à cause des hivers rigoureux et de l'alti- tude (2,854 pieds), qui commençaient à affecter sa santé, Il devait mourir en 1930, à l'âge de 71 ans,

Beaucoup de ces combattants français ne revinrent pas, les uns lombés sur le champ de bataille, les autres préférant demeurer au pays natal, les hostilités finies,

Parmi les pionniers des premières années du siècle, le comte Paul de Beaudrap n'aban- donna pas son ranch et y vécut jusqu'à un âge très avancé, Son fils, Xavier, à Saint-Hu- bert-Mission, en Saskatchewan, est toujours agriculteur dans la région de Trochu, La fille de celui-ci, Geneviève, a épousé Henri Wiart, de Castor, Leur fils, Raymond, est allié à la famille de Moissac, La famille Eckenfelder, non plus, n'a pas rompu ses attaches avec l'Albeïta. L'abbé Robert Lerouge, curé de Bonnyville, est le fils du Lillois qui s'efforça d'attirer des colons à Red-Deer; il y a cinquante ans, L'Université d'Edmonton eut autrefois dans son personnel le professeur de Savoie, un autre descendant des premiers ranchers. Et nous ne pouvons natureliement les citer tous. Si l'on trouve encore bien: des noms francais dans la prairie albertaine, rares sont cependant les traces des deux premiers groupes para- militaires Sainte-Anne et Jeanne d'Arc,

DANS LA PARTIE SEPTENTRIONALE DE L'ALBERTA

Mieux favorisés, sous le rapport de la sur- vivance, furent les colons français qui se joi- gairent à ceux venus de la province de Québec et de la Nouvelle-Angleterre, dans la partie septentrionale de l'Alberta, Il y en avait déjà, nous l'avons vu, dès avant 1880. Plusieurs noms géographiques y sont ceux des premiers évan- gélisateurs: Legal, Leduc, Végreville, Le Goff, Bonnyville., D'autres localités, comme Calais, Vimy, Deville, évoquent aussi des souvenirs français. Plus au nord, la carte porte encore des noms d'apôtres originaires de France: Grandin, Breynat, Grouard, Falher, Dréau.

Gourin, près lac La-Biche, eut pour fon- dateurs, en 1911, des habitants de Gourin (Morbihan), centre principal d'immigration de la Bretagne. Vinrent les rejoindre des compa- triotes de Roudoualec ét de Langonnet (Mor- bihan), de Sainte-Anne de Combout (Côtes- du-Nord), de Bannalec et de Saint-Thurien (Finistère), L'initiateür du mouvement, Yves Ulliac, fermier du baron de Boissieu, fut long- temps maire du Gourin de l'Alberta, Il écrivait six ans après son départ: “Chacun de mes dix enfants possède maintenant plus de terre que le baron.” ;

Cette petite colonie de la région du lac La-Biche est la seule de fondation française dans le nord de la province, Les autres émigrés venus de France se trouvent mêlés aux Cana- diens de même langue qui forment des centres assez Homogènes, Des fils de colons français établis au Manitoba et en Saskatchewan se sont aussi dirigés vers cette portion de l'AI- berta. Il faut retenir les noms de Saint-Albert, Beaumont, Morinville, Legal, Vimy, Picard- ville, Lamoureux, Saint-Paul, Lafond, Bros- seau, Saint-Edouard, Saint-Vincent, Mallaig, Thérien, Sainte-Lina, Bonnyville, Fort-Kent, La Corey, Cold-Lake, Plamondon. Dans la ré- gion de la Rivière-la-Paix, {1 faut mentionner encore: McLennan, Falher, Grouard, Donnelly, Girouxville, Jean-Côté, Joussard, Nampa, Spirit River, Tangent, Dans tous ces centres on trouve quelques . Français ou fils de Français.

(A suivre)

|lendemain matin,

|heures,

St-Boniface, le 12 décembre 1958

MONTREAL L'ordination d'un parent, frère, fils, cousin ou neveu, est toujours un événe- ment considérable, Mais quand un père de famille, ayant ‘trois fils et des petits-enfants, va de- venir prêtre, et que cet ‘homme, au surplus, a été une figure do- minante du monde de la radio et de la télévision, le fait prend des proportions historiques,

C'est le cas du R, P, Aurèle Séguin, dominicain, dont l'ordi- nation a eu lieu le 7 décembre à OUawa,

Aujourd'hui âgé de 54 ans, père de trois fils, dont deux sont mariés, M. Aurèle Séguin ‘était connu dans le monde de la ra- dio et de la télévision pour l'oeu. vre qu'il a créée et dans les mouvements d'apostolat, comme l'Action catholique du diocèse de St-Jean, dont {1 fut président,

En l'église St-Jean-Baptiste, Son Exec, Mgr Marie-Joseph Le mieux, OP, archevêque d'Ot tawa, a conféré le sacerdoce au

Père Séguin, au cours d'une messe pontificale, à 10 heures du matin

La cérémonie fut télévisée et commentée par M, Clément Morin, P,8,8, et le R. P, Fran

çois-Marie Lévesque, O

Le nouveau prêtre a célébré sa première messe solennelle, le ; en la fête de l'Immaculée Conception, à 10 en la même église Le sermon de ges-H, Lévesque, O,P,, directeur de la Maison Montmorency commenté aussi par M, Morin,

Carrière à la radio

Le Père Séguin est à Ot tawa en 1904, I1 fit ses études à la radio au poste CKCH de Hull, en qualité d'annonceur Quelques mois plus tard, il en- trait à Radio-Canada,

1934 à 1955, il æst annon-

ceur à Ottawa, réalisateur à Montréal, directeur-gérant à Québec, On lui doit la fonda- tion de Radio-Collège (1941- 1951), 11 fut le premier direc- teur de la télévision à Mont- réal, en 1952; directeur de pro-

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Bureau-chef WINNIPEG

Père, grand-père… prêtre!

vision d'expression française en 1954 et de Radio-Canada pour la province, en ,

fut le fondateur et Fa à recteur de l'institut de Radi l'Université Queen's de k. ston et premier directeur de l'institut de radio de l'Univer. sité Laval

En 1947, après le décès de son épouse, née Lauria Maheux, M, Séguin conçut le projet de devenir prêtre,

ln est alors établi à St-Jean avec sa famille et préside l'Ac. tion catholique du diocèse,

Ên juillet 1955, M, Séguin en trait au hoviciat des Domini- cains, à St-Hyacinthe, et, un an plus tard, il commençait sa théo. logie au Studium de la commu nauté à Ottawa,

A Noël, l'an dernier, || était

ordonné sous-diacre et en juin dernier diacre

Ses trois fils sont Marcel et Robert, 42 et 26 ans (mariés), et Jean, 20 ans

MOSCOU Dans son dernier numéro, la revue de politique étrangère ‘Temps Nouveaux", paraissant à Moscou, a publié

une courte biographie du Pape Jean XXII, ainsi qu'une photo graphie du nouveau Souverain Pontife, La biographie cite uni quement des faits, et la revue s'abstient de tout commentaire,

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Rédaction! 8P Canada: Q 2 Etranger! À

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La Liberté «tt Patriote

Membre de la “Canadian Weekiy Newspaper Ye, Association" et de l'Association des Hebdomadaires

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Autorisé comme envoi postal de 2e classe, Ministère des Postes, Ottawa

"Où se posent doucement les regards de Dieu”

semblent opportunes, en ce qui concerne les Canadiens français

Cette phrase, ‘où se posent doucement les regards de Dieu" a été prononcée par le pape Pie

XII parlant du foyer chrétien et |

elle a été réitérée par l'épisco- pat canadien, comme le résumé de son récent message sur la famille au Canada, Malheureu- sement, ce message n'a pas eu beaucoup de retentissement, car les relations internationales te- naient alors la vedette dans les journaux, comme elles le font trop souvent depuis quelques an- nées, et la presse catholique de Jangue anglaise qui aurait pu aider à attirer l'attention géné- rale sur ce document, était aux prises avec la conférence de la vie sociale à Winnipeg, D'autre part les politiciens, une fois ter. minées leurs délibérations à Ot- tawa, se reposèrent chez eux ou se promenèrent un peu partout dans le monde.

Pourtant ce message mérite une très large diffusion à cause de l'importance de son sujet, et encore plus à cause de certaines idées assez révolutionnaires que l'on y trouve,

Conditions économiques et sociales

Sur le deuxième point il suf- tira pour l'instant de déclarer

que: l'épiscopat ne partagé pas!

cette complaisance qui semble endormir les chefs de la vie pu- blique au Canada à l'heure ac- tuelle, au sujet des conditions économiques et sociales qui af- tectent la vie familiale, Le chô- mage est devenu malheureuse- ment un ic académique de dispute entre partis politiques, au lieu d'être reconnu comme une réalité terrible pour trop de pères de famille qui ne sont pas

de simples statistiques, 11 suf- |

tit pas non plus de parler de chômage saisonnier, ni de chô- mage ordinaire, Il faut viser plu- tôt à un système économique et social qui assurera du travail amplement rémunéré à tout homme capable et désireux de gagner son pain et celui de sa famille, La prospérité relative des dernières années depuis la guerre a fait oublier que la ré- forme sociale était loin d'être a- chevée au Canada, Le temps est venu d'avouer que les vieux pro- blèmes sont encore là.

Les évêques ont des paroles énergiques sur ce problème et

sur d'autres qui ne cessent de!

troubler la vie familiale au pays, tels que le manque de logements

et de logements convenables à! des familles ayant un nombre!

normal d'enfants, le travail de la femme en dehors du foyer, l'in- suffisance des salaires, la lon- gueur de certaines journées de travail, l'effet de l'inflation sur l'épargne, ete, En un mot, il y a du travail pour tout un réseau de groupements, mais de plus... “il reste aux autorités publiques une tâche vitale à accomplir”,

Vie familiale en commun

Nécessairement, c'est aux pê- res de familles, avec leurs épou- ses, et jusqu'à un certain point en collaboration avec leurs en- fants, de faire leur possible pour maintenir chez eux une vie com- mune, pieuse, disciplinée, chari-

table, heureuse, agréable à Dieu. | cessaire de fonder une société à |

Sur ce point, deux remarques

de l'Ouest,

En premier lieu, il faut ad-

mettre que la survivance des va- leurs qui leur sont chères de-

mandera de plus en plus

des

| racines très fortes au foyer, L'é- volution scolaire dans les pro- vinces des Prairies est de nature à priver de plus en plus un grand

nombre de familles du grand ap:|

pui d'une école en harmonie avec le foyer, Et d'ailleurs, À quoi bon les écoles, les postes de radio et de la télévision, les collèges, les

les journaux,

centres

associations, imême les

el

parolssiaux

très puissants, si la vie familiale

ne

sévérance à des habitudes

donne pas naissance et per-

de

fidélité?” La lutte scolaire, elle- |même ,tire son inspiration la plus sûre de l'appui des pères de fa-

|mille, anxieux du sort de enfants et préls à se pour obtenir la | de leurs réclamations,

Vivre chez soi, au foyer

Mais ici une deuxième remuar-

que s'impose, 11 ne suffit

pas

d'établir des cadres pour la pro- tection du foyer, il faut savoir

comment y vivre et avoir temps de le faire.

Le service de préparation [dans un numéro courant réalisation d'importance mondiale) joue

au

mariage (dont MacLean's vante une canadienne-françuise

ici

lun rôlé primordial, pour ‘aider Iles jeunes à apprendre ce qué | souvent ils n'ont pas appris chez

eux,

sacrements et de la prière

lrenté et les amis intimes.

| mille?

Les évèques suggèrent un au- tre point à surveiller, Ils parlent | de la fréquentation fumiliale des

en

commun, Ils auraient pu parler [aussi de la possibilité pour une [famille de se récréer sainement à la maison, avec ample espace |pour recevoir chez eux la pa-

Le

problème consiste à étendre au- |tant que possible le champ d'ac- Ition de la famille comme entité, Dans les paroisses, par exemple, In'y auraicat-ils pas trop d'orga- nisations dont les réunions mul- Itipliées à l'excès séparent les gens mariés, comme s'il s'agis- sait de célibataires? Pourquoi ne pas encourager plutôt des réu- nions en petits groupes qui peu- vent se faire au foyer? Et sur- tout mettre en vedetle des pro- blèmes qui intéressent directe- [ment les pères et mères de fa-

Il se crée au Canada, comme un peu partout dans le monde oc- cidental, une espèce de culture qui nie l'existence de la famille et veut traiter les hommes, ex- clusivement comme des indivi- dus, groupés par hasard en s0- ciétés plus ou moins grandes. Pour contrecarrer ce courant né-

| faste à la vie sociale aussi bien qu'à la vie personnelle, au sens exact, il vaut la peine d'exagérer au besoin l'importance de la vie

et,

au besoin, chaque mère de fa-

mille, prenne une résolution

de

rester au foyer au moins deux soirées par semaine comme dans un univers fermé, et la réforme sera bien lancée. 11 n'est pas né-

= Que chaque père,

cette fin,

Pas d'instruction, pas d'emploi

Le bulletin d'octobre du Ser- vice National Placement, di- vision de la province de Québec, note que les demandes se font plus nombreuses et les emplois plus rares pour: les jeunes qui voudraient commencer à travail- ler. Puis il ajoute:

“L'autre facteur important est le manque d'instruction des jeu- nes qui s'inscrivent pour de l'emploi, Une grande partie d'en- tre eux n'ont que quinze ans et ne, possèdent que leur sixième année, Les employeurs qui cher- chent des jeunes pour leur don- ner du travail de bureau désirent des candidats âgés de seize ans qui ont au moins leur neuvième année, De plus, la plupart des jeunes qui ont peu d'instruction refusent les emplois disponibles qui n'exigent pas une neuvième année,"

Ces observations, confirment

_les résultats d'une récente en- quêle de la J.O.C. démontrant

qu'il y a une relation directe entre le degré d'instruction et le

avec une particulière netteté

en

période de récession économique. A plusieurs reprises, le même bulletin signale que des positions intéressantes n'ont pu être rem- plies, faute de candidats compé-

tents.

La leçon ést claire. Malgré le!

chômage, un grand nombre

de

jeunes continuent de quitter l'é- cole trop tôt, Au lieu de profiter des nombreuses facilités qui leur sont offertes pour parfaire leur

instruction,

ils. compromettent

leur avenir et aggravent les pro-

d'oeuvre.

Pour tirer son épingle du jeu dans le monde d'aujourd'hui, il faut beaucoup plus qu'une sixiè- me année, quels que soient le métier ou l'occupation que l'on a en vue, Malgré les progrès considérables de la fréquenta- tion scolaire, il y a encore trop de ratés avant l’âge qui trainent les rues. Parents et adolescents devraient faire tout ce qui dé- pend d'eux pour ne pas en aug-

mepter le nombre.

blèmes de leurs aînés en encom- brant le marché de la main-

le |

| |

leurs | grouper reconnaissance

| poir,

La France s'engage _{uite de 1e première page)

C'est la première fois dans l'histoire de la France qu'une formation aussi nombreuse pé- nétrera au Palais Bourbon, L'U,N.R,, fondée au lendemain

En

du 28 septembre par MM, Soustelle, Michelet, Chaban- Delmas, ete, rassemblait: au

départ les gaullistes de lou jours, ceux dont la fidélité ne s'est jamais démentie, Devant cet étonnanteverdict des urnes, on dirait que le peuple français, si calme et si iranquille pendant le déroule. ment de la campagne électora- le, a été subitement pris d'une rage homicide contre tous ceux qui représentaient à sex yeux le régime d'hier, le régime du désordre et de l'humiliation, 1 est en effet curieux de cons. later que les victimes de l'hé. catombe ont été désignées sans considération de personnes et d'étiquettes: de l'extrême droi-

te à l'extrême gauche, depuis |

M, Tixier-Vignancour jusqu'à M, Jacques Duclos, en passant par les radicaux et les socia- listes, chaque parti à payé un lourd tribut au ressentiment populaire

e parti socialiste lui-même, ue sa collaboration avec le Général de Gaulle aurait préserver du désastre, a perdu plus de la moitié de ses effec- lifs parlementaires, Ils étaient 91 dans la précédente assem blée, et ils reviennent à 40, Il est vrai que certaines de ses vedettes, comme M, Lacoste, ancien ministre de l'Algérie, ou M, Defferre, maire de Mar- sellle, ont été battus par des candidats U.N.R, grâce au vote de faveur de ceux-ci de nom: breux électeurs communistes, Le parti communiste a délibé remment pratiqué la politique du pire et a cherché à enseve- lir le parti ‘frère dans son propre linceul

Le M.R.P, auquel on pensait que le mode de scrutin serait défavorable, a remarquable- ment résisté en face de l'élec- torat déchainé, Battu en brè- che dans ses fiefs traditionnels de l'Alsace et de l'Ouest par l'U,NR, il se découvre des forces nouvelles dans de nom breux autres départements, 11 limite ainsi les dégats et, en dépit de l'échec de certains de ses chefs de file, il peut s'esti- mer satisfait des résultats qu'il a obtenus, Ainsi, le M.R.P, se- ra-t-il avec 57 élus (au lieu de 72 précédemment) le troi- sième groupe dans la nouvelle assemblée, après ceux de l'U N.R, et des indépendants,

Le parti communiste, qui avait près de 150 députés dans l'Assemblée sôrtante, n'en re- trouve que 10, Cependant, son écrasement est moins specta- culaire sur le plan politique que sur le plan parlementaire, puisque les Voix communistes représentent encore près de 20 pour cent du corps électoral, Le mode de scrutin, impitoya- ble pour les formations isolées, a transformé en déroute catas- trophique la défaite initiale des troupes de M. Thorez, nbandonnées, par plus d'un million et demi de leurs élec- teurs,

Le vieux parti radical, qui fut grand sous la 3e Républi- que, et qui avait quelques beaux restes lorsque M. Men-

dès-France exerça sur lui ses |

talents de rajeunisseur et de chirurgien esthétique, n'a pas supporté le traitement de choc qui lui a été alors imposé, Une soixantaine de ses représen- tants avaient été élus en 1956; fs se retrouveront une dou- zaine, maigre cohorte groupée autour du président Félix Gail- lard, qui a su personnellement éviter le désastre.

A la victoire de l'U.N.R, (188 élus) s'ajoute celle des indépendants, dont M, Pinay est le chef (132 élus), M, Pi- nay, cependant, n'a pas caché son inquiétude devant les -ef- fets du raz de marée électoral, L'échec parfois injuste, d'hom- mes avertis et rompus aux af- faires publiques, l'entrée mas- sive de députés néophytes au Palais Bourbon, et l'effronde- ment brutal de toute la gau- che, lui font craindre un début difficile pour le nouveau ré- gime.

M. Roger Frey, secrétaire énéral de l'U.NR., reconnait e son côté que ‘les grandes

victoires sont plus difficiles à digérer que les grandes défai- tes’, Il est néanmoins opti- miste et on le serait à moins et demeure persuadé que le nouveau parlement saura faire face aux grandes tâches qui l'attendent, L'U.N.R, qui se veut parti de gouvernement, et qui entend se situer politique- ment au centre, entend faire une espèce de synthèse entre le dynamisme de la gauche, et le sens de l’ordre de la droite,

Chef de l’U.NR,, M. Jacques Soustelle apparaît donc comme 1 gang vainqueur, de ces élections. Beaucoup voient en lui le futur premier ministre de la France, lorsque le Gé- néral de Gaulle aura été, sur sa demande, envoyé au Palais de l'Elysée par l'élection pré- sidentielle du 21 décembre prochain.

Cependant, il est incontesta- ble que c'est à de Gaulle lui- même que l'U.NR. et M. Sous- telle doivent leur triomphe. La France a voté ‘‘de Gaulle” et a renouvelé sa confiance au chef du gouvernement en choi- sissant la voie de l'U,N.R. Fort de l'immense mouvement qui le porte, le Général demeure

. le maître incontesté du jeu po-

litique en France. L'avenir du pays, l'avenir que les électeurs ont voulu clair et chantant, ei entre ses mains puissantes: i n'a plus le droit d'échouer dans la difficile mission de redres- sement national qu'il a entre- prise, et la nouvelle assemblée, profondément gaulliste, a le devoir de l'aider de toutes ses forces, ,

. Une nouvelle révolution est faite en France, un nouveau régime prend le départ sur des routes inédites . . . pleines d'embüches, mais riches d'es-

Des artisans italiens sont actu tlonner les articles qui compléteront la garde-robe des 23 nouveaux cardinaux que $, S, Jean XXIII créera au consistoire du 15 dé- cembre, Des 40 différentes pièces nécessaires, on voit dans la photo: en haut, un chapeller romain montre fièrement des chapeaux cardinalices à porter avec le costume d'apparal; au centre, des jones d'or avec topaze, et portant les armoiries du Souverain Pon-

LA LIBERTE ET LE PATRIOTE

és. LL 2

ellement très occupés à confec-|

life, cadeaux que $S, $, Jean XXII donnera personnellement à chaque nouveau cardinal; en bas, les diverses sortes de souliers (blancs, verts, rouges et violets) que chaque cardinal porte durant

les diverses cérémonies liturgiques,

Billet du vendredi

(NC Photo)!

Blanche Lamontagne est décédée il y a quelques mois

(Spécial à ‘'La Liberté et le Patriote'')

Blanche Lamontagne, qui connut chez nous une notorlé- fugibive, est décédée à Mont- réal, Il y a quarante ans, alors qu'elle frisait la trentaine, elle symbolisait la Gaspésie rurale, poétesse des champs et des bois, de la mer, de la monta- gne, Son art est simple, s'atta- chant aux gens modestes et aux menues choses de la vie quotidienne, un peu comme celui de Marie Noël, la pro fondeur et la subtilité en moins, Non seulement dans les sentiments ‘et l'analyse, mais dans la recherche prosodique, Elle se maria un jour, quitta la campagne pour la ville, s'y fondit dans la foule et dispa- rut, paraissant se désintéresser

| de la littérature et des milieux

littéraires, 11 est dommage, car elle ne manquait pas de dons, et l'on persiste à croire qu'elle eût pu s'affiner en travaillant, parfaire une oeuvre qui était plus qu'une promesse, Il est vrai qu'elle se renouvela peu, qu'elle fut, comme tant d'au- tres, prisonnière d'un premier livre, ou d'un second, et qu'elle commit cette imprudence de vivre sur le vieux gagné, C'est l'opinion de Mgr Camille Roy, qui pourtant ne fut pas critique sévère: ‘L'auteur, ce- pendant, n'a pas assez renou- velé, dans ses recueils, l'inspi- ration ponte de son oeu- vre, ni l'art souvent supérieur, dont elle fut composée."

On se demande aussi, re- montant dans le passé, si d'au: tres critiques plus exigeants ne contribuèrent pas à la détour- ner d'un métier pour lequel elle avait des aptitudes et du goût, Il est possible qu'elle n'ait pas su réagir comme il se devait, en face d'études ten- dant à lui rendre service, plus qu'à la peiner ou décourager, Si elle avait un sens peu ordi- naire de la campagne et de la nature, elle travaillait parfois de chic, comme on dit, sans trop se préoccuper d'exactitu- de dans la description des ‘plantes, des arbres, des oi- seaux, des bêtes qui animent la plaine et les sous-bois. Un peu de. curiosité, du côté des sciences naturelles, lui eût in- diqué ce qui manquait à sa formation de poète descriptif, et corrigé en un rien de temps les bavures-légères de ses ta- bleaux. Ou elle ne, le voulut

as, ou elle jugea mieux de

riser .avec une carrière plus ingrate que consolante, préfé- rant le rôle de Marthe à celui de Marie, 11 reste qu'on la relit avec pis pour peu que l'on cherche des réminiscences d'un mode de vie qui disparaît, dans une province de Québec qui s'industrialise de plus en plus. La Gaspésie d'hier, qui n'est déjà plus celle d'aujourd'hui, on ne la retrouvera bientôt

ue dans les oeuvres de Blan- che Lamontagne et de quelques autres,

L L1 LJ L

Elle naquit aux Escoumins sur la côte nord, dans le comté de Saguenay, mais elle suivit jeune ses parents dans une pa- roisse du Bas de Québec, non loin de la Gaspésie, et c'est qu'elle vécut longtemps,

rès de la terre et de ceux qui a travaillent, en bordure du Saint-Laurent qui lui appor- tait le vent du laïge, l'odeur de la mer, le cri aigu des mouettes. Elle écrit ellé-même: “Mon enfance s'est écoulée sur les rives du fleuve, et je con- nus de bonne heure la vie des

paysans, J'appris à les aimer,

, « « « Je vêux consacrer ma lyre à chanter la campägne, et je n'ai pas d'autre ambition que de devenir la poétesse des habitants," Elle se tint parole. Elle donna d'abord ses Visions gaspésienn

es (1913), qui lui

|— célébrera une messe solen-

premier évêque de Québec fut sacré: Saint-Germain-des-Prés,

l'ancienne Nou

mais elle ne parait pas en possession de ses moyens, Qua tre ans plus lard, elle s'affir- mait mieux avec son recueil Par nos champs et nos rives, révélation pour un public un

peu abasourdi, qui lui recon- |

nut de lu sève et uhe fraicheur de bon aloi, Vinrent ensuite La Vieille maison (1920), puis

Les Trois lyres: amour, foyer, |

patrie (1923), En prose, on lui doit Récits et légendes (1922), récits du terroir, et un roman campagnard: Un Coeur fidèle (1924), Elle cessa dès d'écrire ou elle garda pour elle ses manuscrits, La nouvelle de sa mort reporte à un moment les lettres canadiennes- françaises annonçaient, après une longue léthargie, un nou- vel essor, Elle fut parmi les travailleurs utiles de ce temps,

L'ILLETTRE,

Quand Québec était un rude pays de mission

Il y a trois cents ans, le 8 dé- cembre était pour la France et le Canada une journée mémorable, Dans la chapelle de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, à Paris, l'abbé François de Montigny de-

venait le premier évêque de la! Nouvelle-France en Amérique, 11!

devait être connu sous le nom de Mgr François de Montmoren- cy Laval ou de Mgr de Laval tout court,

Pour les assistants, la cérémo-|

nie faisait entrevoir le Canada comme un lointain pays de mis- sion, L'un des prélats présents, songeant aux dangers qu'aurait à courir le pontife de 35 ans seule- ment, murmura: ‘Ce n'est pas un évêque que nous Consacrons, c'est un martyr!” Aujourd'hui, à son tour, le Canada fournit des missionnaires, parfois de vérita- bles martyrs, aux autres pays, sur tou# les continents. En trois cents ans, quel progrès!

Lundi, à Paris, Son Eminence le cardinal Paul-Emile Léger, ar- chevêque de Montréal, ville a séjourné à plusieurs reprises Mgr de Laval, pendant les cin- quante années qu'il passa en Nouvelle-France, il devait mourir en 1708, il y a 250 ans

nelle dans l'église même le

lors |

|

|

D'autre part, à Rome, la Sa-

crée Congrégation des Rites com- mence à discuter de l'héroïcité des vertus du servi- teur de Dieu François de Mont- morency" Laval en vue de sa ca- nonisation. Peu après sa mort à | Québec, plusieurs miracles se se- raient accomplis, mais jamais on n'a retrouvé les procès-verbaux dressés par le grand vicaire de l'époque. Tous les catholiques du Canada se réjouiraient si Rome se trouvait à terminer la cause de béatification de Mgr de Laval en cette année de son troisième centenaire de consécration épis- copale et de son débarquement à Québec.

nouveau

De toute façon de grandes fé-

tes marqueront ces événements non seulement dans Ja ville des Champlain, des Frontenac, des Montcalm, des Saint-Vallier, des Taschereau et des Villeneuve, mais aussi dans la métropole et dans plusieurs autres villes à|

VE

La question des ‘apports en tre le Canada et son puissant voisin au sud revient pérlodi quement dans les nouvelles Voiei la 2e tranche d'un article que la Banque Hoyale consa cre à ce sujet dans un de ses bulletins mensuels récents

il -

Le sentiment que la ‘de tinée manifeste du Canada était l'union avec lt Etat Unis subsista pendant de nom breuses années chez lt Ame ricains, meme apré que tuerre eut fait placc in à tentisme wplein de suffisanct trés irritant pour les Cana diens

Cette attilude remontait l'origine même des États-Un Dans les articles de la Conf dération, une dispense #pouln le était accordée au Canada et à lui seul, en vue de son entrée dans l'Union: "Le Cu nada, adhérant à la présent Confédération et acceptant le lois des Etats-Unis, sera admi dans l'Union avec tous lt avantages qui en découlent mais aucune autre colonie nt pourra y être adinise à moin aue son admission ne soil ap prouvée par neuf Elal

Consultation et arbitrage

Ainsi évoluérent les rela

tions de ces deux pays, depuis l'ère d'une seule souverainel jusqu'a la séparation en pa sant par la révolution: depu les tentatives par les armes ramener les Loyalistes dans lt giron des républicains ju qu'aux négociations en vue di l'union en tant qu'un des nou veaux Elals: depuis les pri dictions que le Dominion ne pourrait subsister dans son nouveau statut jusqu'à l'union amicale d'aujourd'hui, qui n'exige aucune constitution

Seule une voix isolée, et plutôt stupide dans l'esprit des Canadiens, s'élève parfois, de nos Jours, pour proner les vieilles idées d'annexion, Ces visées expansionnistes cadrent mal avec le désir des peuples des Etats-Unis et du Canada de voir s'éditier un monde les petits pays seront à l'abri des molestations

Ces deux pays ont prouve comment il est possible de collaborer d'une façon harmo- nieuse, même à la solution des questions difficiles, en ex ploitant à fond les principes de la consultation et de l'ar bitrage dans presque tous les problèmes, Une longue habi tude du règlement pacifique a consolidé leur amitié sur une base de réalisme, qui suppor- te aussi bien l'épreuve de la pratique que celle des idées

Le secret de la bonne en- tente réside en partie, semble t-il, dans le fait que ces deux pays n'attendent pas que les idées inconciliables viennent se heurter à la frontière, Ils s'y attaquent dès le début et font appel au sens commun, à l'ingéniosité et à la toléran- ce pour tourner, vaincre ou passer par-dessus les obstacles,

Les problèmes du Canada

Le Canada a ses problèmes particuliers, Petit pays, dote de richesses suffisantes pour subvenir aux besoins d'un grand pays, il doit-faire face a des responsabilités et à des dangers de nature spéciale,

Pour ceux qui ont appris à regarder le globe du sommet, il est clair que le Canada git au centre de la puissance mon- diale, car il est entouré des Etats-Unis, de la Grande-Bre- tagne et de la Russie, Cette position était autrefois un ga- ge de sécurité, mais la sira- tégie aérienne ferait de son territoire une région critique en cas de guerre,

Son intégrité politique est assurée, ses relations exté- rieures sont exemptes de tou- tes imputations égoistes, et il a de nombreux amis dans tou- tes les parties du monde, Son traditionnalisme inné main- tient le pays dans la voie de la pondération; son dualisme racial lui confère un esprit de tolérande et de compréhension aui est très important dans les relations internationales; son sentiment national, fondé sur la fierté de ses réalisations industrielles, agricoles et mi- litaires, l'empêche de devenir une entrave au progrès.

Tout cela indique que le

au Commonweallh, le Canada

n'en pu moins Un PAYS américain, et il entretient des relation ulturelles el com merciaic à [015 amicales et mulueliement in vel tous les pa de Amérique Dualité ethnique Le Canada est un pa b lingue, car pré le 41 p. 100 [ \ popuiu [ a gime [ | Da [ e Qu rin n LL 1 Li k | d n il l int {| l Ca 1 f pes | pet ent du l Ï cul | l Fr lan i gu pl à par e fo ( rical f l [rancaise id LARELET: 1 Cana di En 1: | 1 d { iniq le | nigra n 1 (| | tôt ( | \ D { 1 doma ri L'{ ement d | ut démograph aus i Origine 1871 1931 1951 Brilannique #05 119 479 Francaine 11,1 A2 108 Autre 4 ) 9 1.1

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rensoignement ont dont lc comme les Etats-Unis grand besoin chaque pays n'a pas él brillante, Les homme ques et les employés son! ouvent incapables de comprendre que le ressent! ment ou l'opposilion que pro voquent les changements ou les idées nouvelles ne sont pas imputables à la perversité mails à l'incompréhension des raisons qui en sont à la base L'éducation et l'informa tion du grand public fondées

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Canada et les Etats-Unis

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Canada)

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‘it irge du imer comprend «üu d'avo q doute chance de succe de continent Ma dre « avenir heureux M

de se ren vérité qu'un prépare Avant opté qui sont le fruit de d'expérience, et décidé des movens à pren dre pour les atteindre dans un monde passionnément réalis- te, les peuples du Canada et des Etats-Unis doivent envisas ger la rénlité, penser avec In telligence et s'exprimer d'une manière intelligible, bâtir d'us ne facon durable et travailler

sans arrêt (FIN)

nporte omple de 1n duns l'inertie pour den

pas idéaux

ne |

Consistoire le quinze décembre pour la création de vingt-trois cardinaux

(Suite de la premiére page)

drid, 11 est l'auteur de nombreux ouvrages: ‘Principes de droit publie de l'Eglise”; ‘Relations entre l'Eglise et l'Etat et les Con- cordals modernes”; etc,

Franz Koenig: à Rabenstoin {(Sankt Polton) le 8 août 1908, il fut élève du collège pontifical germanique de Rome et fut or- donné prêtre le 27 octobre 1923, Il enselgna successivement l'An- cien Testament et la Théologie morale, Le 3 juillet 1952, il fut nommé évêque titulaire de Li- viade et pe. tr Pt avec droit de succession de l'évêque de Sankt- Polten; et le 9 mai 1956, il suc- céda au cardinal Innitzer comme

| archevêque de Vienne, Il est or- | dinaire pour les fidèles de rite

Canada jouit au sein des na-,

tions du monde d'une impor- tance bien supérieure à sa mo- deste population. 11 dresse fiè- rement le front en tant que nation autonomé, car il a at- teint sa majorité en 1931 en obtenant d'une facon pacifi- que le même résultat que les Etats-Unis, par la guerre de

l'Indépendance, 155 ans plus.

tôt: le statut de pays indépen- dänt. L'étendue de son indé- pendance a été démontrée par le fait que le Canada déclara la guerre à l'Allemagne sept jours plus tard que la Grande- Bretagne et qu'il déclara la guerre au Japon avant la Grande-Bretagne et les Etats- Unis, Il aurait même pu ne déclarer la guerre à personne s'il avait voulu rester à l'é- cart, Le, Commonwealth

Le Canada est en même temps un associé du Com- monwealth britannique, qui représente en soi l’une des ins- titutions politiques les plus remarquables de l'histoire, Il est vraiment prodigieux que la mère-patrie britannique, simple point sur la carte, ins- pire une fidélité assez fenace pour que des da aussi loin- lains que le Canada, la Nou- velle-Zélande et l'Australie restent attachés à elle en dé- pit de la puissante attraction du milieu ambiant et de la différence des modes de vie.

Les membres du Common- wealth jouissent de tous les éléments de la liberté tout en étant liés ensemble : par loyauté envers la par un vaste imoine de préceptes politiques, sociaux et moraux, et par des tradi. tions de le temps n'a pas réussi à affaiblir, At

_ =

byzantin en Autriche, 11 est l'au-

teur de plusieurs ouvrages scien-| doctorats de philosophie, théo- tifiques sur l'histoire des Reli-|logie et droit canonique, et à

gions,

Julius Doepfner: à Heusen, diocèse de Würzbourg,. le 2 août 1913, il fit ses études théo- logiques à Rome comme élève du Collège germanique, obte- nant la licence de philosophie et

le doctorat de théologie à la Gré-| | grégation du Concile, Il est memes

gorienhe, Ordonné prêtre le 29 octobre 1939, il fut entre autres vice-recteur du séminaire de Würzbourg, Le 11 août 1948, il

|

juin 1903: en 1006, {1 obtenalt le doctorat ‘in utroque jure”

28 mars 1914, il devint avocat de ln Sacrée Rote romaine; de 11 juin 1921 promoteur de Jus: tice à la Rote et directeur du “Studium rotule"; le 23 janvier

1926 référendaire du Sacré Tri”

bunal de la Signature apostolis que, membre en 1929 de la Comm

sion pour l'étude des normes res latives au Saint-Siège et l'Italie, et en 1934, auditeur de la Sacrée Role ros

maine, Depuis le 30 décembre 1935, il est secrétaire de la Sans crée Congrégation des Sacres ments, ù

Francesco RobertT""e gola (Pesaro) le 7 juillet 1889, il] fut ordonné prêtre le 4 août 1913; fl obtint à l'Apollinaire les

l'université de Rome le,doctorat de jurisprudence, 11 fut success

6 | sivement avocat du Saint-Office;

prélat référendaire; prélat vos tant; sous-secrétaire de ln Con: grégation des Séminaires et des Universités; auditeur de la Sas crée Rote; secrétaire de la Cons

bre de diverses commissions et académies pontificales et l'aus teur de nombreux ouvrages de

fut nommé évêque de Würzbourg | droit: “De processibus!; “De Des et le 15 janvier 1958 évêque de | lictis et Paenis”; ete,

Berlin,

André Julien: le 25 octo

Domenico Tardini: à Rome bre 1882 à Pélussin (Loire), ar le 29 février 1888, il fit ses étu-|chidiocèse de Lyon, d'une fa

des à l'Apollinaire et obtint les doctorats de philosophie et théo-

logie, Ordonné prêtre le 20 sep-| puis de Mon

tembre 1912, il enseigna pendant plusieurs années la théologie et la liturgie, En 1921 it entra com- me ‘minutante” à la Congréga- tion pour les Affaires ecclésias- tiques extraordinaires: le 9 dé- cembre 1920, il avait été nommé cvonsulteur de la Congrégation des Sacrements, Le 25 avril 1923, il fut nommé aumônier central de l'Union des Hommes de l'Ac- tion catholique italienne et en novembre 1925 aumônier central de la Jeunesse catholique italien- ne, Le ns 1929, il fut promu sous-secrétaire de la Congréga- tion de Affaires ecclésiastiques extraordinaires; le 21 août, pré- lat domestique; en 1932 membre de l'Académie pontificale %e saint Thomas d'Aquin: en 1933 membre de la Commission pon- tificale “Pro Russia”! le 18 dé- cembre 1935 substitut de la Se- crétairerie d'Etat et secrétaire du Chiffre; en novembre 1952 pro-secrétairé d'Etat pour les Af- faires extraordinaires, Enfin le 29 octobre 1958, le jour de son élection, Jean XXII le nomma pro-secrétaire d'Etat; et le 17 novembre, secrétaire d'Etat,

mille de magistrats, 11 fit ses étus des chez les Jésuites de Lyon

gré; ensuite au g and séminaire d'Iséy et à celui de Paris, dirigé par la CODES de Saint-Sulpice dans laquelle #1 entra, 11 fut ordonné prêtre le ler octobre 1905 à Lyon, Il fit ses études (juridiques l'Apollis naire il obtint le doctorat, Pendant 4 ans il enseigna le droit canonique au grand séminaire de Lyon et collabora à la Revue de l'université catholique de cette ville, En novembre 1912, {l fut admis au Tribunal de la Sacrée Rote romaine; le 27 avril 19214 il fut nommé consulteur de 1

septembre, prélat auditeur de l& Sacrée Rote, Depuis le 30 octo

lège des prélats auditeurs et,

sident de la Cour d'appel de

tat de la Cité du Vatican, Mgr)

Julien a publié de nombreux. vrages de caractère juridiqi ont eu un large écho däns le maine international, 11

de citer parmi les pis “Culture chrétienne dans la:

mière de Rome”, ‘Pour

Alberto di Jorio: à Rome!humainement'; “Réflexions

le 18 juillet 1884; élève du Sé-! les responsabilités du juge

minaire Romain, il obtint les doc- torats de philosophie, théologie et droit canonique et le titre d'a- vocat auprès du Tribunal de la Rote romaine. Pendant 40 ans il exerça son activité auprès de l'Institut des Oeuvres de Reli- gion. Il fut chargé par le Saint: Siège de nombreuses missions en Lombardie, Vénétie, Emilio, dans les Marches, le Latium, en Cam-

il fut un des quatre visiteurs apostoliques de Rome. En 1939, il fut nommé assistant de l'ad- ministration spéciale du , Saint:

er rélat à avoir icipée de sa créa dinal: en effet, XXIII eut été élu

n comme car-

panie, Calabre et Sicile, En 1937, | t6 à

lorsque Jean !|Sévi

l'avocat dans le Fer æcc que et sur la procédure! que “Etudes ecclé: ans la lumière de Rome’ Ainsi le prochaïn cons le premier du pontifica

I, apportera un. veau d'une importance rhble: le plenum du: lège que Sixt Ir. à 70 chap Le prochain consl que que aille | traditions. NN. Montini se vo cha

du | copaux tr Îde West

e, ainsi q

En outre Mgr Braccl fut

concordat entre le

Congrégation du Concile; le 18

bre 1944, il est le doyen du Cols

comme tel, prélat officier de 1&. Sacrée Congrégation des Ri il a également la charge de ï

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Audiences très

Grâve à l'usage continuel des |#ervices de voirie de la provin: ce, la Boundaries Commission à | réussi jusqu'à date à suivre son programme de trois audiences par jour, Le peuple se plaint &énéralement des distances énor- mes contenues dans les projets ide divisions et de l'incertitude qui est due au fait que les ‘'Re.

| semaines du ler au 19 décembre |les deux sous-commissions au |ront visité 92 centres de la pro | vince, ce qui, au dire du gou vernement, leur offre une occa

| Qu'en pensez-vous?"

Les paroissiens de la Cathé drale et les fervents du Cercle Ouvrier sont invités à se pro noncer en faveur d'un projet de l'échevin Parent qui voudrait faire élargir et paver la rue St Joseph entre les rues de la Ca thédrale et Masson, 8i un trottoir était construit du côté est de

la rue St-Joseph et tout le reste |

|pavé (trottoir ouest et rue), cecl donnerait beaucoup de place pour le stationnement, Télépho nez ou encore mieux écrivez À

l'échevin Parent

| 8 Boniface, ou à votre échevin, si oui non vous êtes en fa projet

Hôtel de Ville,

|veur de ce

| PETITE NOTE

Gagnante

Mlle Pauline Guénette, de St Boniface, élève de Sr Anna-Jo sèphe, a remporté la palme aux | semi finales du Concours Ora {toire organisé annuellement par l'association des commissaires | d'écoles du Manitoba (M.S,T.A.) A ces épreuves, qui furent te nues lundi soir dans l'auditorlum Notre-Dame, concoururent les sept semi-finalistes de la région est de la Rivière-Rouge

Mlle Guénette participera [maintenant aux finales qui au ront leu à Winnipeg au mois de janvier à l'occasion du con grès général des commissaires d'écoles de la province, | Mlle Pauline est la fille de M et Mme Charles Guénette, de la true Langevin, St-Boniface,

| A l'Hôtel de

par M, Henry LANE,

courriériste municipal de La Liberté et le Patriote

Le lundi 8 décembre avait lieu la réunion régulière du Con sell de ville; dès le début de l'assemblée, M, Maurice Pru d'homme, greffier, demanda la permission de s'adresser au Conseil, Il fit alors lecture de

la section no 35 des règlements municipaux qui dit que toutes les motions, à l'exception d'une série de 8 motions, doivent être faites par écrit et que soit re mise à chaque conseiller une tablette avec papier carbone a fin qu'ils puissent rédiger leurs motions en due forme: ceci fai sait suite à une plainte d'un échevin qui disait que le gref- fier n'avait pas enregistrer sa mo‘ion, telle qu'il l'avait pro pouce,

M. l'échevin le greffier pour les tablettes qu'il donnait aux échevins et félicita M. Prud'homme pour le beau travail qu'il accomplit:| tour à tour, les échevins se le- vèrent pour féliciter M, Pru d'homme sur la manière dont il accomplit son travail de greffier: après discussion de part et d'au- tre sur les avantages et les in- convénients de soumettre les {motions par écrit, il fut décidé de demander au greffier de dresser une liste de prix des meilleures machines à enregis trer sur rubans, celle qu'il em ployait parfois n'étant pas tisfaisante,

La Manitoba

Guay remercia

sa

Power Commis- |sion offre à la ville l'énergie électrique pour les décorations de la Noël pour la période du 7 décembre au 2 janvier ou du 9 décembre au 9 janvier, et ceci gratuitement, et envoie en même temps des souhaits -de Noël et de Bonne Année

La Chambre de Commerce de | St-Boniface envoie une copie d'une résolution adoptée le 3 décembre, félicitant la ville et {son ingénieur de Ja manière {dont ils ont su tenir les rues principales de la ville ouvertes à la ‘circulation durant les ré- centes tempêtes de neige: M, Be- sant, de la rue Dumoulin, au nom d'un certain nombre de lcitoyens, en faisait autant et félicitait le Conseil sur la ma- nière dont il administre les af-| faires de la ville,

M. Fernand Marion fut nom- secrétaire de la St. Boniface | Advisary Planning Commission à partir du ler décembre 1958, et l'on décida qu'un honoraire | de $50.00 par mois lui soit payé.

| | M, Je maire fit part d'un téle- |gramme envoyé de Ja part de la ville et de ses citoyens à l'ex-| maire et Mme Swain à l’occasion de leurs noces de diamant.

M. Henri Piédalue, du numéro 89, rue Youville, se présentait devant 'le Conseil pour plaider! son cas. M, Piédalue avait sou- mis des plans de construction d'une maison qu'il projetait de faire construire sur le chemin Speers; ces plans avaient été äpprouvés par le sous-inspecteur des bâtiments, l'inspecteur étant én vacances; lorsque M, Piéda- lue se présenta nouveau au département de l'inspection des bâtiments, l'inspecteur s'y trou- vait et il refusa d'approuver les plans de M. Piédalue, y ayant trouvé quelques erreurs; M. Pié- dalue construisit tout de même |

de la Boundaries Commission

|gulalions” sont encore incon | nues | Pendant la période de trois

La Veillée

| du lundi soir

nir une variation du règlement du St, Boniface Advisary Plan- ning Commission: ceci lui coû- terait $75.00, et M. Piédalue refuse de payer cette somme, disant que c'est à l'erreur

| de | Ouvrier en se servant d'une par-

Icondé par

LA LIBERTE ET LE PATRIOTE

mouvementées

sion remarquable de ‘'magasi- ner”! un peu partout,

| La semaine prochaine, il y aura des réunions dans plusieurs centres de langue française: le 15, St-Pierre (10 h, am,), Ste. Annedes-Chênes (8 h, p.m.); le 17, St-Jean-Baptiste (10 h, a.m.), |Ste-Agathe (4% h, pm,) et Bt. Vital (8 h, pm),

Cette semaine, 1! y aura les laudiences suivantes! le 12, St. Laurent (10 h, a.m.): le 19, St | Eustache (4 h, pm.) et StFran- cols-Xavier (8 h, p.m.),

A l'occasion de l'audience qui leut lieu à Ste-Rose-du-Lac, le 5 décembre, une forte délégation

La proposé la formation d'une di

vision moins grande comprenant Laurier, Sie-Rose-du-Lac, Tou- tes-Aides en général, ce qui au- rait fait une division homogène 11 semble que dans le sud une section anglaise préférera unir son sort avec Neepawa, tandis qu'au nord on aimerait joindre à Winnipegosis, Ce- pendant, la Commission n'a pas donné beaucoup d'espoir aux titionnaires de Ste-Rose-du-Lac

Dans la région de Notre.Da me-de-Lourdes, une bonne délé gation s'est présentée et a été bien accuelllle, 1! semble qu'une partie anglaise de la division proposée se relirera, les gens de Roseisie ayant fait ressortir leurs propres caractéristiques cthniques, A l'audience de Swan Lake, le distriet de Richmond Hill aurait parlé dans le même sens

Les

se

audiences à St-Eustache et à St-Francois-Xavier s'avé rent dune importance majeure car !! est possible d'en espérer la formation d'une nouvelle di vision à majorité canadienne francaise, à l'avantage des éco les de La Salle, St-Norbeért, etc

Mgr Montini hérite

de la machine à écrire CITE DU VATICAN Le

Pape a fait des dons à plusieurs

hauts prélats C'est ainsi qu'il a offert à 8, E, le card, Giovanni

Batista Montini, archevèque de Milan, la machine à écrire blan- che dont Pie XII se servait, sur- tout au cours des dernières an

supareyan il écrivait ce préférence,

nées, à ln

car main c

Ville

d'après ses plans originaux et il lui faudrait maintenant oble-

d'un employé de la ville si ses plans ont été approuvés dès les | débuts; la plupart des échevins sympathisent beaucoup avec M Piédalue, et M, Schimnowski suggère que le Conseil demande à la commission d'oublier le ta- rif de $75,00 dans ce cas par ticulier et sur motion de M, l'é chevin McKall, le Conseil vote | en ce sens.

M. l'échevin Parent, secondé | par M. l'échevin Schimnowski, demande que la ville consulte la Commission des transports publics en vue de placer un abri pour les usagers de ce service dans Windsor Park

M. l'échevin Parent, secondé par l'échevin Schimnowski, de- mande que l'ingénieur fasse un estimé du coût pour l'élargisse- ment de la rüe St-Joseph (entre les rues de la Cathédrale et Mas- son) sur üne largeur de 86 pieds, et pour la construction d'un trot- toir de 5 pieds de largeur du côté est de cette rue; M, Parent croit qu'il y aurait ainsi moyen d'arriver à une solution du pro- blème de stationnement autour la Cathédrale et du Cercle

tie de cette rue pour le station- nement

M. l'échevin Schimnowski, se- M, l'échevin Guay, propose un vote de sympathie envers la famille de M, Bock- stael, un citoyen bien respecté de notre Ville,

98 propositions étaient soumi- ses à l'approbation du Conseil, entre autres: un rapport du com- missaire des taxes en vue de

, changer le tarif sur les débits de

boissons alcooliques.

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{terrain de déchets, soit donné à {la Cie Landry Construction au! |prix de 23c la verge cube, |

Que J'avocat de la Ville soit requis d'inclure dans l'ameuble-| ment proposé au règlement no| 4006, règlement qui régit les ‘‘vi-| danges'’, uné exception qui per- mettrait aux résidants de brüler | le papier, ;

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Trente-deux hommes de différentes paroisses assistaient en fin de semaine dernière à la retraite des Capitaines de langue française à la Maison des Retraites de St:Boniface, Plusieurs d'entre eux, en raison du mauvais état des routes, ne purent se rendre pour l'ouverture le vendredi soir à dé- cembre, mails réussirent à se rendre pour les séances d'études H eurent lieu dimanche, Le but de ces journées d'études était de donner aux Capltaines la formation nécessaire pour orga- niser des retraites dans leurs paroisses,

Dans cette photo l'on voit, de gauche à droite, lere rangée: MM. 3, Mireault, L. Bolger, le R, P, O, Fournier, O,M,1,, pré-

Capitaines de la Ligue des Retraites en séances d'études les 5-7 décombre

Un nombre imposant d'hom-;,purent se rendre en raison des mes venus de plusieurs parois. | MäauvRINen routes b Au cours de la journée du ses ont asaisté, en fin de semai J | dimanche, ces hommes ont as

ne dernière, à une retraite et à sisté à la présentation de films des séances d'études organisées! à des causeries et à un forum, par la Ligue des Retraites en!au cours desquels les différents vue de les former à agir comme | nspects de l'organisation des co capllaines ou co-capitaines de!mités paroissiaux ont été discu comités d'organisation dans leurs | tés

paroisses respectives, Quelques! M, L. Bolger, de la paroisse capitaines de la campagne ne du Sacré-Coeur de Winnipeg,

Six jeunes de St-Boniface exposent nos problèmes avec enthousiasme

Les six ‘vedettes de St-Bo- nait l'impression d'aimer juste- niface qui ont fait récemment | ment cet enthousiasme, Elle ve. leur début au programme de!nait de passer deux jours à St-

St.Boniface, le 12 décembre 1958

dicateur, le R, P, P, Gorieu, O,M.L, directeur de la Maison des Retraites, Luc Soulodre, L, Manseau, Philippe Perron; êe ran- gée: Joseph Campeau, Achille Rioux, Gérard Prénovault, Z,

Lachance, Léon Desmarais, Pierre Brunet, le Dr P, Doyle, «Cyrille Hébert, Gérard Pelland, Claude Dufault, Placide Cha- telain, Lucien Rivard, Roger Smith; %e rangée: Marcel Dorge, Marcel Barnabé, Thomas Grafton, Armand Trudel, Léon Alarle, Paul Lord, Arcadius Perron, Céleste Muller, Germain Chame pagne, Charles Huot, le Dr KR, Champagne et René Mulaire, (Photo Gene Gauthier)

surintendant de l'Ouest cana Le dévouement des 75 capi- dien pour la compagnie Wool-|taines et co-capitaines (des sec- worth, présida nux séances d'é-!tions francaise et anglaise) au- tudes, Les causerles sur les trois! gure bien pour l'avenir, Déja, létapes de l'organisation furent|loutes les fins de semaine jus- données par MM. Gérard Pré-| qu'au ler juin 1959, ainsi que

| Boniface, L'idée maitresse de la

| siastes

télévision ‘Opinions, à CBWT, | Boniface et devail par même |

sous la direction de Mme Jean- |se réjouir davantage que les ne Sauvé, du personnel de Ra-} porte-parole d'une petite mino-

do-Canada de Montréal, ont pulrité manifestent si clairement

se faire entendre de leurs com-|leur désir de demeurer eux-méê- |

patriotes du Manitoba diman-|mes, Manitobains de langue et

che dernier de 2h. 30à 3h. pm, de culture francaise, tout en On dit quexies Gais Manito- | Voulant partir à la conquête pa

bains réunis autour d'un appa-|Cifique de la majorité,

reil de télévision au Collège de! Félicitations aux six jeunes

St-Boniface pour une telle occa-! de St-Boniface pour avoir of-

fert aux auditeurs des program-

sion ont fortement applaudi ces | de mes français de télévision une

vedettes qui surent vanter avec | {ant d'éloquence leur mouve-!' demi-heure de repos très ins ment de jeunésse, 11 est aussi! tructif, 11 est à souhaiter que certain que beaucoup d'autres |les autorités de Radio-Canada

|

auditeurs se sont réjouis en écou- | permettront très bientôt d'autres |

tant Miles Monique Boily et! programmes de ce genre, pour Gilberte Proteau, MM. Roger!le profit des Canadiens français Levasseur, Rémi Lafrenière,!du Québec et... du Manitoba, Rhéal Teffaine et Marc Char tier parler avec assurance de| la vitalité franco-manitobaine, de la part prise par les jeunes | dans le journal et à la radio, des mouvements culturels et de loisirs qui les intéressent acti vement, des chefs qu'ils admi- rent dans leur lutte pour nos causes scolaires, etc.

Mais il semble bien que le fait le plus remarquable soit que ces jeunes de St-Boniface | ont appuyé surtout sur la force | que constitue l'exemple de fidé- | lité de leurs parents et sur le| courage personnel qu'eux-mé- més doivent aujourd'hui possé- der pour marcher sur leurs tra ces, tout en tenant compte des | exigences actuelles qui deman- dent peut-être moins de luttes héroïques, mais plus de persvé- rance et de ténacité,

Ajoutons que ces étaient remarquables excellente tenue, leur habille- ment sobre et distingué, leur dialogue enjoué mais digne, leur français presque impeccable, leur dynamisme enthousiaste, Au sujet de cette dernière qua- lité, naturellement l'apanage de jeunes, ajoutons qu'elle mani- festait ce qu'est la force du mi- lieu et de l'éducation reçue, Sans | toujours pouvoir préciser dans le détail leurs fortes affirma- tions, ou encore sans toujours y mettre les nuances nécessai- res, les six jeunes surent abor- der des problèmes difficiles et donner des réponses plus que satisfaisantes. IL est à souhaiter que cette süreté de pensée ne perde pas de sa ferveur avec l'accumulation des années et les dures expériences de la vie con- cr

"vedettes" par leur!

LL 4

æ

te,

Il faut rendre hommage à Mme Sauvé qui, même aux mo- ments les membres de l'é- quipe semblaient s'éloigner du sujet de la discussion, sut tou- jours les diriger savamment et adroitement, Parfois, en adulte avertie, elle semblait bien s'a-

jeunes enthousiastes sûrs d'eux: mêmes, mais surtout elle don-

“Si l'on voulait n'être qu'heu-

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celles de septembre, octobre, no- vembre et décembre prochains ont été réservées par des capi- taines

Les 10 et 11 janvier 1959, ces mêmes séances d'études seront présentées pour les dames, ca- pitaines et co-capitaines de leurs paroisses respectives, Les séan- ces pour les dames de langue française auront lieu le samedi deurs' des bienfaits spirituels! 10 janvier, dans l'après-midi, et des retraites fermées pour tous|celles pour les dames de Jangue les laïcs, | anglaise, le dimanche 11 janvier,

novault, Claude Dufault et Gé- rard Pelland, tous trois de Ja paroisse de la basilique de St

nouvelle organisation de la Li tue des Retraites est la forma tion de comités zélés et enthou- dont les membres em- ploient les meilleures techniques modernes de la vente et de l'or- tanisation pour se faire les ‘ven

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étaient venus les applaudir

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|mées et pour les 17 lauréates qui La

parents

CARNET DE |

l Jostitut Colligial NA ges

l'outes les élèves des grades 7 à | 12 y participerent avec fiert Un chant ‘Jeunesse et CGaieté"

élèves de la 10e! et 11e année Quel le program: | me, Puis ce fut la distribution | des diplômes des grades 9 et 10

|exécuté par les

iynète, ‘La lée des Blés d'Or’, fut très appréciée de l'au ditoire, En effet, c'était une pe

|tile pièce qui Ulustrait ce qui se passe tous les jours dans le mon de, un combat entre la charité

Cartes de souhaits françaises pour toute occasion le comte Serge de Fleury, consul | et l'égoisme Puis vinrent des 157, ave Provencher, $t-Bonitace Téléphone CHapel 7-3863 de France, le R, P, R, Ramae-|récitations, des chants, la distri tkers, 8,9, visiteur frengue des | bution des diplômes pour les 6 écoles, le R, P, L, Guy, 84J,, of-|7e et 8e anné« ? AMAR DES), 404), 12,21), 4); ficier de liaison de l'Association Les élèves de la 12e anné + | d'Education, M, H, Sala, prési-|costumées en tuniques grecque GENE GAUTHIER, PHOTOGRAPHE ; dent de l'Association d'Educa-|de couleur pastel, présentèrent L cote année, à l'occosion de Noël, nous vendons une variété ottreyanre |tI0n, ainsi que M, C, Muller,|un beau choeur parlé, ‘La Jeu + de cinéscaméres Lun, Cum et outres eccosmoires, + | inspecteur, ele [nesse qu'il nous faut Le pro j b del £! Un programme artistique et} gramme se termina par le chant 4 D Lampes-éclair, films, barres de lampes à her ccrens, |récréatif agrémenta cette soirée, Notre-Dame de Ecole par 4 À empoules, étuis, projecteurs et trépieds. + ñ [les élèves des 8e et 2e année: ñ È Nos prix sont en conformité avec ceux 5 | Le R, P, Ramaekers, SJ, dan A # des grands magosins d'accessoires de photographie | {son allocution, félicita le bon 2 ä Venez et voyes nos assortiments à l'exposition, ñ | Ch li parler des élèves du grade 7 et + [4 OUVERT LES VENDREDIS JUSQU'A 9 H, P.M, + eva iers . os PEL À re À + parents la ù + Grond terrain de stationnement! Z | d> cesriue ( | 1e nir a] enfants ocçu- | de Colomb WA V, pe A he 51m, à 1 Cu que nd | \ 4 N 1 lu 1eclure, ce qui @ un grunc t Tél.: CHapel 7-2652 : Ü 183, rue Marion Les! é .. ape r “| avantage pour les jeunes au point | 2 RESIDENCE: 489, rue Giroux Téléphone: CHapel 7-4253 | Conseil Goulet no 3681 | de vue connaissance et rédaction, | DT TD LIL AL 220 200 201 LL LIL LIL IS ZE ZE LPS LPS RS LEE TES LUE RS LES DS ; Il fit aussi remarquer qu'un! Prochaine assemblée enfant qui parle un bon français | La dernière assemblée de l'an- | parlera aussi mieux l'anglais Ce! née aura lieu le lundi 15 dé-|beau discours du R, P, Ramae

Diplôme du Collège cembre, Vu que ce sera en

me temps notre

/

réunion sociale

encourugea beaucoup, | avons déjà commencé

kers nous car nous

y et :

d'Embaumement de Cincinnati mensuélle, notre conférencier ! notre Cercle de bon langage, Je!

s'est encore forcé pour y ajou | suis sure que c'est un moyen!

ter une note de nouveauté excellent d'améliorer notre par:|

N [ / à afin de briser la monotonie du ler, | genre: les Cheväliers sont priés Michelle VALMONT,

—Jaton mor Uatre de venir nombreux avec leur Grade 7, no 12, |

épouses! L'assemblée propre

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gouter,

Activités Pour le bien du {la distribution des |grand tirage est [qu'il importe maintenant frères de s'exécuter avec

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qui déja

re Alphonse Arnal,

C'est dimanche prochain, 2 h. 30 de l'après-midi, que le frère Lafrenière et son comité recevront les enfants des Che-

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mité vous attend! Est-ce rigolo? Notre nouvel Après-Tout ne fait que commencer dans le mé- tier et il parle déjà ainsi: ‘De-

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valiers (âgés de 12 ans et moins), Avis donc aux papas d'être fi- dèles au rendez-vous ,., le co-

puis que notre chronique appa-|berte Delva: chronique doit certainement

“En voilà encore un autre qui l'anglais ou parle mal le fran-

Dominique R, propose qu'un ca- deau soit fait aux dames qui ont

re que vous voulez jouer au Don | L'élève qui a ramassé le plus de

Notre cercle de bon langage

1 Pour mettre en pratique les sages conseils du Père Ramae- 1|kers dans son discours à la dis-| tribution des diplômes, nous a- vons décidé d'organiser un cer- cle de bon langage dans notre classe,

Voici quelques raisons qui prouvent l'importance de notre décision} 1, Quand nous serons grandes, comme nous serons bi- lingues, nous trouverons un meilleur emploi; 2, Comme nous sommes les futures mamans du Canada, nous enrichissons notre | langage aujourd'hui afin de le passer à nos enfants; 3, Si nous voyageons plus tard en Europe, avec notre français, nous ne se- rons pas inquiètes de ne pas pouvoir converser avec aisance avec les Européens; 4, Bien par- ler et bien écrire le français est un bon moyen de nous préparer | à parler un bel anglais

ous nous sommes divisées en équipes qui portent de beaux noms significatifs: Les Castors, dirigée par Léonie Beaudry: Sainte-Maria-Goretti, par Gil-| Sainte-Thérèse, par Claudette L ‘Heureux: Excelsior, par Marie Saras; Les Aigles, par Michelle Valmont, |

Nous avons des règles, bien certainement, Si une fille parle

l | | |

chaque semaine des phrases que la classe doit s'efforcer de corri- er.

Une joute dure une semaine,

jetons gagne un prix, L'équipe gagnante décore son écusson!| d'une étoile d'or et chaque équi- pière porte, à tour de rôle, le médaillon de bon‘langage,

Nous sommes certaines que nos parents voudront contribuer à l'offrande d'une bourse qui sera gagnée, à la fin de l'année, | par les plus méritantes. En fai- sant ce pas, ils encourageront | beaucoup leurs enfants à parler | un beau français,

Nous invitons les élèves pa- triotes et intelligentes à former d'autres cercles de bon langage pour nous aider dans notre lutte | pour conserver la plus belle lan- gue du monde, le français, Si] la jeunesse s'en mêle, la cause | du français est gagnée. Claudette L'HEUREUX,

7e année, no 12. LJ LJ L]

|

|

Cercle de bon langage Vous est-il déjà venu à l'idée que Je français est une langue

utile et nécessaire, non seule- ment dans notre pays, mais dans le monde entier? C'est pour cette |raison que le grade 7 a formé lun cercle de bon langage, car c'est nous, la jeunesse, qui a- vons le trésor du bon parler dans les mains; et c’est nous qui de- vons lutter comme nos aïeux ont lutté pour garder la langue fran- çaise, cette langue si pure et si harmonieuse. Si nous perdons ce grand trésor, ce sera de notre faute.

Notre classe s'est mise enthousiasme au travail, Elle s'est divisée en 5 équipes: Les Castors, Les Aigles! Excelsior, Sainte-Thérèse et Sainte-Maria- Goretti, Chaque élève reçoit quinze jetons, Quand elle s'ex- prime mal, elle donne un jeton à celle qui la corrige.

Au bout de la semaine, les résultats sont inscrits au tableau d'honneur, Un prix est donné à l'équipe gagnante et à la fille | qui tiprope le plus grand nom- bre de jetons.

Nous espérons que notre cer- cle fera du bon travail et qu'il nous aidera à améliorer notre parler français, Nous faisons ap- pel à toutes les classes pour for- mer d'autres cercles de bon lan- gase, car c'est le Far moyen

e. stimuler les élèves à parler plus correctement. :

À quoi sert d’avoir un diplôme de français si on ne peut pas parler correctement sa langue maternelle? Allons, mettons-nous

avec

à l'oeuvre: “Si jeunesse veut, jeunesse neut!”" Gilberte DELVA, 7e année, no #2, AREAS x PE LE US ae DAT Va

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atifs de la

PATTES en Ouganda, Afri-

, ét l'un des neuf enfants |offraient tout ph ia, d'al.|opératives de l'Ouganda, au A la rencontré En vedette 4 Noir, chevalier de Bt- v ler suivre un cours théorique! coeur de l'Afrique, à l'équateur di DT RAR estre, le jeune Aloysius complet à l'Université Bt-Fran-|La principale source de revenu! L'Avent, Noël, la nouvelle an- mn p mi nous, F 18 ut intu a recu toute son Huçu: çols-Xaxier d'Antigonish, Nou-|de ce pays, dit M, Kintu, est|née,,, Le temps des fêtes s'an. | F°08H0H aug, une F charmante n chez les Pères Blancs et les|velle-Ecosse, centre d'éducation! Vagrieulture, et le s01 produit! ïonce, Que ces quelques mois pergnan llé de M ean Haplis- ères des Ecoles PREEeNSSS coopérative de réputation mon] toutes sortes de récolles, deux! que nous avons passés ensemble Brunette. , aux yeux bleus dans son pays natal, En 1068,|diale, M, L, Soenen, aussi Che-]fois par an grâce aux abondan: | ont filé! Voilà quelques-uns de| 22U)0urs gaie, ., excellente 01 fut nommé secrétaire-gérant|valler de Colomb, entreprit desltes pluies: café, coton, mais, | nos examens de Noël déjà écrits, | #anisatrice, dévoube, aler , opt e la “Bwavu- Mpologoma Co. | démarches auprès de Mgr M, J.ithé, labac, sucre, bananes, pata Nous espérons que vous avez que. Vous devinez bien, ! tella | perative Union" en Ouganda, | MacKinnon, de l'Université Bt-|tes, ete, Les coopératives les svis 12e nibrène nésesdires pour umondier, out récemment, À cause de ses] Prancolsauler, au sujet di | p°es variées peuven} donc na! Dasser avec honneur vos exa ble [it ses études scolastiques responsabilités toujours : plus | l'admission là-bas du jeune Noir,|tre et se développer là-bas EU nc Ub. voulà Bt-Jean-Baptiste elle oblint lourdes, 11 décida de venir étu-|Des membres des ‘Pool Eleva Son ÆExe, Mgr Joseph Cabana | revoir tous l'an prochain son diplôme de High Bchoo!

tors”' se chargèrent de payer son

transport jusqu'à Antigonish

et nombre de

Pères Blancs de Ji clergé missionnaire

sont

LE CLUB ‘LIONS" DE RIVERSIDE

PRIX

LE COEUR

Peu d'entre nous se rendent compte que le coeur est un muscle qui fait son travail vital sans arrêt pendant toute la vie, Cependant, les crises cardiaques causent 38.6 pour cent des décès des personnes âgées de 35 à 54 ans et 57,1 pour cent des morts des persoñnes âgées de 55 à 74 ans. Pour trouver les solutions au problème des maladies cardiaques il faut accélérer les recherches.

LE CANCER

Chaque jour de l'année 1957 le cancer a tué environ 57 personnes en moyenne, Parmi ces victimes se trou- vèrent 400 enfants n'ayant pas atteint 15 ans et 6,500 personnes n'ayant pas encore 60 ans, Le cancer a été la cause principale de la mort de la plupart des femmes âgées de 25 à 54 ans. Il faut trouver la cause et le remède de cette maladie épouvantable,

L'HYGIENE MENTALE

Aujourd'hui même il y a au moins un million de Canadiens un sur seize qui souffrent d'une ma- ladie mentale quelconque. Les institutions mentales abritent 70,000 hommes, femmes et enfants. Chaque année, on y reçoit 20,000 nouveaux patients. La plupart de ces malades profiteraient de traitements adéquats, Mais les soins coûtent chers.

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(Ce journal n'accepte pas de responsabilité pour les fautes qui peuvent se glisser dans

Institut Pédagogique du Manitoba La Relève Normalienne

Comité de révision: Soeur Marie Ste-Geneviève, MO. Soeur Marie René-des- Anges, SNJM, Milles Hélène

arte à remplir

comPTANT $2,000-00

LA LIBERTE ET LE PATRIOTE

Rédacteur: René Carrière

Marchand, Anita Fillion, Monique Houde, M, Gilles Blais

TRE

Bella est très minutieuse tout ce qu'elle fait, L'année der-

dans |

1squ'à présent on se connaît

| au 'en elle,

en vogue au Canada, 1} pourrait son { eu, Certes, on se rencontrail dre alle & : ainsi travailler avec plus d'efti- M, Kintu à bien voulu, par d'origine canadienne D lundi AA Mall c'est PPT ES CORNE sous permis gacité #1 progrès du mouvement la voix de La Liberté et le Pa FUME seulement des visages qu'on El + #4 mere à prof sus) coopératif en son propre Pays, |triote, exprimer à ceux qui l'ont " voyait, C'est à espérer qu'avec nombreux talente en cholelssent En septembre 1058, {1 arrivait reçu depuis son arrivée au Ma | Précieux-Sang le nouvel an nos relations de-| l'enseignement, Que la carrière done à St-Boniface, chez les! nitoba toute sa gratitude Il n'a viendront plus intimes, c'est-à.| que ui as choisies Stella l'an Pères Blancs qui le mirent en'aque des éloges pour les hab! #0 A Points dire que les rapports entre in:| pèrte le bonheur mérité stats Sunshine #0 Eee der ie gd Jeanne VÉRRIER _ 0" Electric 14 | °# ! 4 au 48 | Leo's Electric au a servi sur ce point à faire la M SUN DEA Les futures mères sont invitées à s'enregistrer maintenant [Fer a 22 Ê |rencontre de quelques-unes de ht Grospan,, uns des | pour les classes prénatales, commençant le 12 janvier, |1[208 28100ren 5414 |Ces personnalités! Elles ne sont plus Jolles Elles de Strathcona 2 ne jpnl Gt-Bonif 126 , Les Hirondelles 08% qu'une poignée, 11 nous en reste | est studieuse et parfois tranquil à 2h, p.m, à l'Unité Sanitaire de St-Boniface, 326, rue |||Toupin Lumber ga |quune polgnée. [| nous en reg ie OS Dit pes la Gran Taché, St-Boniface | Aceñ 40% | enter auillité qui domine son carac.| " ! | | , + : | tère, c'est plutôt le plaisir, Elle Ces classes sont accessibles à tous les résidants de Nor | Dames: ROTARE gra | er Us VOUS nt viandres, de est aimée de tous et enviée par | wood, St:Bonlface et Transcona et sont offertes gratuite H sP E. Bruneau 572 | dons à ve que vous nous appor: plusieurs pour se belles qua ment, Les futures mères sous les soins de leur propre tlez d'autres suggestions aul lités, a médecin ou d'une clinique d'hôpital, sont invitées à as- ||| Hommes: . 54 |#erviront à rendre cette colonne STD: 6 «à À h 4 tr 254 s res # | r : sister à toute la série. 5 1 A + ne n+ de | plus intéressantes Vous désirez connaître Cécile F | lasses osant } ts Nous souhalons à tous Un|Sorin,,,? 11 n'y a vraiment On peut s'enregistrer, 2277 108. CIO, en coMpOan Equipes: Joyeux Noël et une Bonne, Heu. | jen à perdre el tout à y ga le numéro CHapel 17-1186, HW 1 P.Les Météores 1300 | reuse et Sainte Année, gner ,,, alors, allons-y ==! |H 3 P—Les Hirondelles 3507 LA REDACTION Numéro un: vous n'en trou-|

DANS VOTRE | JOURNAL |

| |

COMMENT JOUER

1.—I1 faut annoncer le “Bingo” par téléphone avant le lundi midi,

2,—A mesure que les numéros paraissent dans votre hebdomadaire marquez-les sur les cartes,

3.Aussitôt que votre carte est remplie, téléphonez à nos frais, à Winnipeg, WHitehall 2-8818,

4.—Les numéros pour jouer au Bingo seront publiés dans votre hebdomadaire chaque semaine,

5.—Une fois qu'un Bingo a été vérifié on annoncera | nom du gagnant la semaine suivante,

SI VOUS OBTENEZ UN BINGO . . , ne tardez pas... téléphonez immédiatement,

N.B.—Si la vérification révèle plus d'un Bingo à la fois, on partagera les prix à égalité,

la publication des chiffres pour le Bingo)

La obtenu la bourse

| reine

|(M, Denis

religion et à sa race,

uméro deux:

ve solide: toute son activité, Mentionner sa vie au complet iseralt trop long quoique fort! | Intére ssant, Signalons en passant on trouve une tout à fait attentive à la voix divine PER

pe x

Mile Monique-Thérèse Côté, de l'Institut Collégial St-Joseph, d'etudes en musique du couronnement de la Plizabeth II, offerte par le chapitre provincial de l'‘In dependent Order Daughters of the Empire” (LOD.E,)

Chronique

de CKSH

Départ de M, Denis Belair

La direction de CKSB accep- tait avec regret la démission de Belair, directeur des Programmes au poste depuis

1953, et au service de CKSB de- |

puis 1950,

Monsieur Belair devient rant d'affaires de la clinique |Jacque s, Huot et Albi à St-Boni- | face à compter du premier jan

| vier 1959,

La direction et

du personnel lui souhaitent

[beaucoup de succès dans cette

nouvelle carrière et certes les

auditeurs de CKSB manqueront |

leur ancien réveille-matin et l'ancien contremaître du Ranch 1250 ainsi que le réalisateur de l'émission ‘Pour nos malades’, postes qu'il a remplis avec beau- coup de brio depuis plusieurs an- | nées,

Le programme ‘Point d'inter- rogation"’ qui a permis à un nom- bre considérable d'élèves de faire valoir leurs connaissances géné- rales et en même temps d'acqué-

rir une certain expérience du micro semble avoir pris plus d'envergure du fait qu'il est

commandité par la caisse popu- laire de St-Boniface depuis quel- ques semaines, Ont participé à cette émission, les élèves de pres- que toutes les écoles francaises de Ja ville en plus des élèves des écoles de La Broquerie, Le- tellier, St-Pierre, St-Adolphe et Lorette, Il faut dire que cha- que école a envoyé une équipe qui l'a très bien représentée, Nous félicitons et remercions tous ceux et celles qui ont ap- porté leur collaboration aux douze émissions d'avant Noël et nous espérons retrouver le même | enthousiasme chez eux durant la nouvelle année qui vient, Oncle Ubald rappelle à tous les petits neveux et nièces que

| Noël s'en vient et qu'il ne faut

pas oublier le concours du bon parler français qui le 17 décembre tirage,

Décès

Mme Hélène Bourque

Mme Hélène Bourque, de 227, |

rue Hamel, est décédée subite- ment, le mercredi 3 décembre, à’ la sacristie de la Basilique elle s'était rendue pour y assis- ter à la réunion mensuelle du Tiers-Ordre franciscain dont elle fut une fondatrice à St-Boniface, Le samedi 4 octobre dernier, du- rant un jubilé mémorable, Mme Bourque renouvelait ses voeux après vingt-cinq années de pro- fession dans l'Ordre de St-Fran- çois d'Assise, Elle était aussi Da- me de Ste-Anne,

Née au Nouveau-Brunswick, elle habitait le Manitoba depuis 1900, Son époux, Marcellin, était mort en 1916, victime de la pre- mière Grande Guerre,

Lui survivent quatre fils, le R. F, Ambroise (Gérald), des frères Alexiens, Grychan, Wis. Orville, de Loretteville, PQ. Armand, de St-Boniface, et Jo-

| seph, du C.A.R.C,, Comax, C.-B.

neuf petits-enfants et une soeur, Mme Edmond Cormier, de Monc- ton, N.-B.

Les funérailles de Mme Bour- que eurent lieu à la Basilique! le mardi 9 décembre: la nom- breuse assistance témoignait de l'estime dont jouissait la défun-

te,

M. l'abbé A.-B, Boulet, curé, officiait, assisté de MM. les ab- bés F, Juneau et E. Hébert, vi- caires, comme diacre et sous- diacre, Le R, P. T. Châteauvert, P.B., assistait au choeur,

Les porteurs étaient MM. Paul Guyot, G. Woollam, J.-J. Té- trault, Gérard Buotte, Napoléon Roy et J.-P, Bourque, Les Soeurs Tertiaires et les Dames de Ste- Anne escortaient le a r Mmes E. Whelan, M. André Ethier et M. Pariseau DL les rubans. La quête fut faite par Mmes V, André et I. Kelly,

Le salon mortuaire P. Coutu

funéraires,

“loute la vie de la sainte Vierge est concentrée sur Jé- sus: H est sa joie, sa douleur, sa gloire. Ainsi doit-il en être

pour nous.” Ch. MAUROY.

| verez pas de plus fidéle à #4 |

déterminée! A! | cette qualite, ajoutons une preu-

âme |

les membres |

se termine | par le grand

était en charge des arrangements |

St-Boniface, le 12 décembre 1958

CS. H.

|

|

Rs | Coin Coin Le NH. #, Schurmans, repré sentant du H, PF, Oénérul des l'occasion de g#on

En n | pause au collège, élèves une intéressante causerie

| sur des nussions du Congo el

ge, Nous devons cette initiative

à la ‘Ligue Missionnaire des

| Etudiants”, Le souvenir du

1re Bchurmans ne s'effacera cer

|tainement pas de la mémoire des! .|thanté de la réponse des jeunes

| élèves avant que le jour de cor promis en l'honneur de sa visile ne soit accordé

Le NH, P, Martial Caron, vien élève, ancien professeur recteur du collège de 19H40 à! 1043, présida, le à décembre proclamation mensuelle des exa mens, 1 fit appel, Uans son dis cours aux élèves, à la fierté d'ê tre français, en rappelant les lchtations prodiguées par tout

an

| inoubliable

[notre donna aux Guy F

Le Coin du Collège

Directeur: Rémi Latrenière Rédacteur en Che: Rédacteurs: Maurice Potvin, Rhéal Tetfaine, Jean DeCruyenaere, Maurice Comeault, Detillieux, Eugène Hogue, Gilles Lapointe

Paul Proteau

Laurent

soirée, Les J.MC h'out pas déçu les quelque 900 bersonnes venues assisler à leur “premiére chez nous, Joignons reconnaissance à celle de ollot envers les Jeunesses

| Musicales qui ont d'abord lancé

a: | suectac le

la |

cel artiste en Europe, puis au Canada, et nous permettent des contacts &i enrichissants

Dans une autre interview, Gilles Lefebvre s'est déclaré en

auditeurs franco-manito bains, qui étaient venus, en #i grand | nombre apprécier ce premier Nous lui avons sou hallé d'aussi grands succés dans les autres centres de l'Ouest

M, Lefebvre a charmé ses au

|diteurs pur su chaude personna

| lité et

son grand savoir musical

| ses commentaires resteront long

le Canada-Français, aux partici: |

pants de l'émission télévisée Opinions"

Le samedi soir 6 décembre, le Ciné-Club présentait un film!

d'origine autrichienne: ‘Le Der

nier Pont"

Kautner Inutile de s'imerroger | si ce film possède une valeur réelle, Tous, j'en suis sûr, res tèrent charmés de la vérité hu maine que contenal ce drame Certes si le thème du film n'a pas été compris ou accepté de tous, le jeu de Maria Shell, tel {lement humain et expressif, a

| certainement capter

|térêt, 11 est intéressant de noter que le nombre des participants au Ciné-Club va toujours crois sant, Le prochain spectacle aura

| lieu le 17 janvier, alors que le

| film de Kazan à “L'Est de l'E den” avec James Dean sera à l'affiche,

J.M.C,

Formidable! Inoui! Voila le résumé des impressions recueil- lies sur les lèvres des auditeurs, au sortir de ce premier concert des Jeunesses Musicales Canu diennes dans l'Ouest, présenté ile 4 décembre dernier, Formi- dable, en effet, ce jeune violon- |eelliste de 26 ans qui présentait, il y a quelques années à peine, {son premier récital, Le lende main, les critiques ne tarissaient pas d'éloge sur Guy Follot et certains d'entre eux le considé- |ralent déjà comme le premier héritier des Casals. Français | d'origine, Guy Follot étudia quelques années en , Suisse il remportait le premier prix du Conservatoire, Peu après, il se voyait décerner le premier prix du fameux ‘Concours In- ternational'’ de Genève et ensui- te le prix Piatigorsky, consé- cration suprême de la valeur de ce jeune prodige,

Guy Follot n'en était pas moins ravi par l'attitude des auditeurs tout au long de concert, Interrogé à ce sujet,

l'artiste répondit: ‘Ils sont mer

veilleusement sympathique s!" Cette tournée de l'Ouest sera suivie d'une autre, sous l'en- seigne des J.M.C, en Afrique du Sud,

Nos plus sincères remercie ments à Guy Follot et aux Jeu- nesses Musicales _pour cette |-

Mme Pauline Boutal écrit à |ses amies de l'Institut Collégial Saint-Joseph à l'occasion de la Collation des Diplômes français,

| Mes chères petites amies,

Vos remerciements, voeux et compliments, que j'ai reçus jeudi dernier, m'ont vivement touchée, Suivis de noms devenus fami- liers, j'ai pu évoquer au-dessus de chaque signature vos visages d'enfants aux expressions diver- ses: vivacité, malice, réflexion, timidité, etc, tous animés ce- pendant soit d'enthousiasme, soit de contentement, de fierté d'a- voir été choisies pour jouer un rôle, Avouez-le, vous êtes fières, toutes heureuses de paraitre dans la pièce de Soeur Léon-dé- la-Croix, ou de faire partie de ses choeurs parlés; de chanter dans le groupe de Soeur Marie- du-St-Esprit, ou encore d'être les enfants chéris de Soeur Gil- les: ses petits lutins,

Je ne m'étonne pas que le R,

P. G. Ramäekers, SJ, vous ait | Cercle Molière, fait de si beaux compliments. | cueillir

réalisé par: Helmut | 0nner

|

la mémoire des au diteurs, Homme de gsand dyna misime, |] se dévoue depuis prés de dix ans à inilier les jeunes Canadiens à lu musique classi que, Luismême violoniste, il |nous avoualt son désir de venir un concert à St-Bonifa l'an prochain, M, Le fut touché par l'hospita

lemps daus

ce, dès febvre

lité des Franco-Manhtobains et Ine cachait pas son intense sir de revenir nous: visiter, 1] sera toujours le bienvenu au Manitoba

| | |

| lancé un grand son | premier !

La vie sportive En dépit des tempêtes de nel-

ge que nous subissons depuis trois 'semaines, la vie sportive continue, Les collégiens, avec

une ardeur toujours grandissan- te, nettolent tapidement les pa tinoires, Dimanche dernier, soit le 30 novembre, un club inter-

| médiaire du collège a défait l'é- | cole

Provencher par un compte de 5 à 2, Léo Delaquis et Ro- bert Painchaud se signalèrent pour le collège avec chacun deux buts: Hervé Dansereau a compté l'autre but

Les autres ligues du collège sont aussi en opération; on compte 3 clubs chez les grands, 4 chez les moyens et le chiffre record de 6 chez les petits, Bel- le saison de hockey en pers- pective!

Notre C.S.B, ‘“1" sa saison régulière dans la li- Hue Provencher en affrontant les Canadiens de St-Pierre au

commencera

collège, le dimanche 14 décem- bre, La partie promet d'être chaude, car on connait depuis longtemps la grande rivalité sportive existant entre ces deux bonnes équipes, Pour voir du hockey rapide et scientifique,

venez en foule, au collège, di- manche prochain, La partie dé- butera à 2 h, précises,

Pour aider notre grand club, le Conseil de la récréation a tirage dont le prix est de 100 belles pommes ‘vertes et sonnantes’’,

Alors, chers amis du collège, achetez un billet lorsqu'on vous en offrira, et ainsi vous pourrez aider votre grand club, N'ou: bliez pas non plus de venir voir jouer les collégiens qui ont aus- si besoin de votre support moral et qui vous promettent de belles joutes,

Madame Pauline Boutal s'adresse aux jeunes

vous avez obtenu, parce que vous avez offert votre gentillesse, vos talents et toute votre confiance, Elles en ont tant besoin pour ac- complir la tâche délicate que notre Souverain Maître leur a confiée ici-bas: votre éducation de bonnes Canadiennes chrétien- nes,

Quelques-unes d'entre vous semblent vouloir venir se join- dre à nous, au Cercle Molière, plus tard, J'en suis enchantée d'avance, Votre jeunesse ici encore vouloir serait pouvoir apporterait une RouvaIle vigueur et une promesse de nouveaux succès à notre Cercle, qui est dans sa 36e année, Aussitôt que vous le pourrez, faites un stage chez les Gais Manitobains vous trouveræ de quoi vous a- muser en vous formant à une discipline intelligente, Notre cause et notre but sont les mé- mes, Vous serez, pour plus tard, D boots à affronter les feux

rampe dans les pièces du Vous pourrez

de nouveaux succès,

D'ailleurs, je l’ai rencontré il y | mais aussi vous aiderez à entre-

a deux ou trois jours et il m'a fait part de la grande joie qu'il avait eue à vous voir sur scène, d'entendre un français si clair et si pur, Ceci est textuellement ce qu'il m'a dit, Vous voyez bien que lorsqu'on veut, normalement on peut,

Tout le travail que vos mali- tresses s'imposent, en plus de leurs obligations d'enseignement, ne saurait être mieux récompen- que par le beau succès que

tenir, à amplifier notre voix française au Canada, notre pays, qui est et qui doit rester bilin- ue, Ne l'oubliez pas, petites illes!

A mes remerciements les plus sincères, pour vos maîtresses et pour vous-mêmes, je joins mes chaleureuses félicitations, Sou- venez-vous que je suis votre amie, n'hésitez pas à faire ap- pel à mon amitié,

Pauline BOUTAL,

|

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La photo ci-dessus fut prise devant le kiosque du mouvement coopératif, à l'hôtel Koyal Alexandra de Winnipeg, durant la ré- vente semaine sociale catholique, On voit, de gauche à droite, M,

Dunrea

Délégation

Une vingtaine de Canadiens français de la municipalité, y compris M, l'abbé J ai

curé, se rendaient à Hariney, le jeudi matin 4 décembre, malgre l'état glissant des chemins et la température glaciale, pour y as sister à une assemblée lenue par les membres de la ‘Commission d'Enquête de la délimitation des \lerriloires scolaires du ba

Voiei le

document qui fut ju

(trés clairement, en anglais, pui | M, Athunuse Lavoie, exposant le recommandations de toutes le

familles canadiennes-français de la localité

"Aux membres de lu comini sion d'enquête des grandes divi |sions scolaires Messieurs

Nous considérons que c'est un grand privilège pour du |puraitre devant cette commis

nous

l'abbé John À, Gillis, directeur des services extérieurs coopératifs|#l0n dont les membres ont été

de l'Université St-François-Xavier, d'Antigonish, Nouvelle-Ecosse,

M, Aloysius M, Kintu, étudiant de l'Ouganda, et Mme A, Staerkle,

employée du magasin ‘Red Iiver Co-up Supply Ltd,” de Winnipeg, (Photo The Manitoba Co-operator)

M. Théophile Rey décédé à l'hôpital de St-Claude

ST-CLAUDE Le mercredi, par M, l'abbé Jean-Marie Ga 26 novembre est décédé à l'hô.'gné, curé, L'inhumation se fit pital de St-Claude, à l'âge dedans le cimetière locul, La direc 60 ans, M, Théophile Rey, 1l!llon avait été confiée au salon était le fils de M. et Mme Augus-! mortuaire Scarff, de Holland le Rey, originaires de l'Isère Les porteurs étaient MM, Ca (France), mille et Léon Rey, Claude Ros-

Les funérailles eurent lieu set, Maurice Bernard, Joseph St-Claude le samedi 40 novem-! Lacroix et Joseph Rev, bre, à 10 h, 30 am, Malgré une Le défunt laisse dans le deuil

température inclémente une! #0n épouse, Geneviève; quatre foule nombreuse de parenls et! fils Paul, Emile, Marcel et d'amis accompagnail la dépouil | Claude tous de St-Claude; sept le Mortelle, |filles, Cécile (Mme Jean Per- Le service funèbre fut chanté!|rotte), de Québec, Angéline et a - Germaine (Mme Michel Thou- |venin), de Redvers, Sask,, Ma-

St-Georges |rie- Thérèse (Mme Roland Bus-

J |telll), Lucienne et Suzanne!

Ça et (Mme Germain Langlois), tou-

Le 29 novembre, Mme Geor-|tes trois de Montréal, et Alice, gina Vincent avait bonheur la maison: cinq petits-enfants: de recevoir la visite de M, et! deux soeurs, Henriette, de St: Mme Paul Landry, de St-Boni-|Claude, et Augustine (Mme face; puls le 8 décembre, la pe-| Louis Lacroix), de Vancouver,

et quatre frères, Joseph, Albert Auguste et Anthony,

Remerciements familles Rey,

Ute Marilyn Paulson grands-parents

Les parties de cartes se suc cèdent rapidement de ce temps- ci; l'école Dupont, la paroisse ét l'école Allard ont eu chacune leur partie de cartes, Toutes fu- rent des succès!

Le 8 décembre, à

avec 50%

Les Perotte, remercient bien sincèrement tous ceux et celles qui se sont associés à leur deuil, soit par

l'office de |l'offrande de prières, de messes,

l'après-midi à l'église, il y eut'soit par l'assistance aux funé. consécration de, la paroisse au lruilles,

Coeur Immaculé de Marie, Le RAT PP FRET EURE NRA soir, toutes les familles de la

paroisse répétaient la même Ste-Agathe

rémonie dans leur foyer, Puisse la Vierge Immaculée avoir pour | agréable cette consécration de notre paroisse et de nos foyers à son Coeur Immaculé.

Baptèmes

Le 9 novembre: Marie-Yolan- de-Pauline, fille de M, et Mme Alfred Lévesque, née le 3 no- vembre, Parrain et marraine, M, et Mme Alphonse Fillion, oncle et tante de l'enfant,

Le 16 novembre: Marie-Ca- role-Monique, fille de M, et Mme \Jean-Léon Ouimet, née le 12 novembre, Parrain et marraine, M, et Mme Cyrille Ouimet, on-

La Cie Parent Limitée COURTIERS

118-120, éditice Grain Exchange Winnipeg, Mon

; cle et tante de l'enfant Téléphone WhHitehall 2-6634 Le 24 novembre: Maurice- | Jean-Marc, fils M, et Mme Roland Gagnon, le 15 no- WALT'S Sindio ef | vembre. Parrain el marraine,

M, èt Mme Léopold Gagnon, de la province de Québec, repré- sentés par M, et Mme Gustave Lévesque.

Le 7 décembre: Marie-Suzan- ne-Monique, fille de M. et Mme Adrien Dumesnil, née le 27 no- vembre, Parrain et marraine, M. |et Mme Donat Joyal, grands- parents de l'enfant, Porteuse, Mme Léa Dorge, sa tante.

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WASHINGTON Le secré- |tariat à la Défense annonce que des satellites artificiels, ‘dont | certains seront porteurs de sou- \ris de singes, seront lancés de la Californie, au cours des prochaines semaines,

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|ajoute qu'il espère pouvoir lan- cer un satellite de 1,300 livres au cours d'une tentative qui se- rait faite dans quelques semai- | nes,

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1 Veuillez, s'il vous plait, accep Iter nos sincères félicitations et | nos bons souhaits pour le succès de vos délibérations

| Etant bien au courant des commandations de la commission royale sur l'éducation aussi bien que sur les coutumes sociales et religieuses des personnes de cer tains districts, nous, Canadiens français et catholiques romains | de la paroisse de Dunreu, appré clerions beaucoup si lu dite com |mission voulait bien exclure no Itre école consolidée, du district 147, de l'unité ‘Souris Valley",

| Avantages existants

L'harmonie qui existe entre | les Anglais et les Canadiens fran | ais de notre district scolaire fa vorise l'éducation, 11 existe ici une grande facilité pour appren dre les deux langues officielles du Canada, et nos compatriotes de langue angluise le compren |nent bien, car de plus en plus | dans notre pays, tout centre d'é ducation est en faveur de la con naissance pratique d'au moins les deux langues officielles

Des centaines de maitres et maitresses de langue français ont été demandés dans les pro vinces la majorité des gens sont de langue anglaise

Nous sommes certains que ce serait faire un pus en arrière que de nous inclure dans une divi- sion scolaire nos enfants se raient privés des avantages dont ils jouissent présentement,

Nous sommes confiants que la [dervue 18. ne veut pas perdre

de’vue la culture de notre Ca |nadu, muis plutôt favoriser une yéducation vraiment canadienne La manière de vivre canadien- |ne est contre une uniformité to- |talitaire en éducation et favorise | plutôt la diversité qui fait la ri | chesse de notre pays, | Comme catholiques romains, nous sommes convaincus que tout enseignement doit être im- prégné de religion, comme pré- vention contre le communisme

et la. délinquance juvénile, et|commentés par «année, journah|

nous sentons qu'être inclus dans une grande unité compromettrait nos droits en matière d'éducation religieuse,

Sacrifices et récompense

Pour cette raison, nous avons eu une école catholique séparée à partir de l'an 1912 jusqu'en

Manito |

LA LIBERTE

Une soirée

bi quelqu'un demande quel est l'héritier de Casuls, je ponds: Guy Fallot Pour lui il n'existe aucune difficulté tech nique et le miracle de l'union entre l'artiste el son instrument est lola) écrivait 1 à quel ques annees un critique viennois

1orsqui loncelhislt premier

Ce

e mondiale

ct meilleur jeune donnait

Vienne

vio français on

concert à violoncelliste de (il a êté acclamé en Belgique, Hollande, Lu xembourg, Angleterre Allema une, Autriche, Italie Es pagne, Grève, Portugal, Afrique du Nord, Inde, Australie, Nouvel Zélande, etc.) qui a inauguré concerts de lu section ‘Jeu Musicules" de St-Bonifa jeudi 1 décembre der

l'rance

nulIsse

LL les esse ce, le soit nier

On dans la salle ence de Son Exe Mgr Baudoux, de quelque eéminaristes et religieu t d'adultes umis de lu musi que 18 l'immense mujorité de audileurs qui se pressalent dans la salle académique de l'Institut Collégial Joseph étaient des jeunes étudiants du Collège, du Juniorat, des Instituts Proven et St-Joseph Tous membres des Jeunesses Musica le inaugurées ce soir-là à St Boniface, ils étaient venus ‘‘étu dier" la belle musique et, dès ce premier concert de l'année, ils létalent servis à souhait, Leur ullention pendant l'exécution puis leurs applaudissements chainés prouvèrent que la leçon portait truite

remarquail ln pre Maurice prètres

cher ou

set { Non que tous ces jeunes solent {devenus instantanément des ar | tistes accomplis, capables de sui vre parfaitement Guy Fallot dans son jeu au dynamisme impé lueux, de goûter toutes les notes délicieuses qui s'exhalaient de

son instrument, de communier totalement avec sa ferveur, sa |fougue, ou de saisir lu maitrise et la clarté de son jeu. Disons

plutôt que dès les premières me sures du récital et jusqu'à la fin ils furent tellement bouleversés qu'ils avaient l'impression d'at teindre cette réalité très élevée que voulaient leur faire saisir les auteurs, comme Beethoven et Koduly, et leur interprète Guy Fallot, accompagné par un grand pianiste de Brandon, Lorne Wat- son,

Commentaire autorisé résultat fut atteint

Ce d'au

tant plus profondément que M.

Gilles Lefebvre, initiateur au Ca- nada du mouvement Jeunesses Musicales, était venu spéciale- ment de Montréal pour commen- ter les oeuvres interprétées par Guy Fallot, 11 profita d'abord de l'occasion pour bien expliquer en quoi consiste ce mouvement des “Jeunesses Musicales du Ca nada" et tous les services qu'il met à la disposition de ses mem- bres pour intensifier leur forma- Ition artistique: quatre concerts

|entièrement consacré à la vie des | Arts au Canada, club des dis- ques, camp des J.M.C. l'at mosphère le plus parfaitement artistique est créée par des mai- tres du monde entier et que trois [jeunes du Manitoba ont déjà

|fréquenté (Jacques LaFlèche,

ET

ae . A tieune flûtiste de Winnipeg, Don- | AS QUE pou pre in lald Whyte, violoniste de Rivers, MAS tanknéd et constants la | © David Watson, joueur de cor part des institutrices, les révé- | de Dauphin), eic, rendes Soeurs Oblates, et des pa-| Ce mouvement a donc pour roissiens, car cette école ne re-|P'emière ambition d'offrir à ses ceVait aucun octroi, et nous é-!ieunes membres des récitals de tions taxés pour le support de | premier ordre. Celui qu'allait of- l'école publique fréquentée par! frir Guy Fallot et Lorne Watson | une douzaine d'enfants protes-|serait de cette qualité, tant par

position de par le monde

LE PATRIOTE

e soirée de la Jeunesse Musicale qui réjouit l'oreille et l'inte

enriohNissail le vocabulaire 1 si0al francais des auditeurs, Fui Guy Fallot montre de multiple maniere à la demande du com mentaleur, l'extraordinaire tech nique exigée pour jouer l'oeu vre de Kodaly qui ferait donner au violoncelle tout sortes d'ef fel de cornemuse, de guitare de tremolo et intrigueræil amuserait intéresserail lour à our les auditeur

Lu Suite Françuise Bourré« d'Auvergne, Chanson d'Alsac de Bresse, Chant du berceau Chant montagnurd d'Auvergne) de Paul Bazelaire, tirée du folk lore francais, avait besoin di peu de commentaire, Quant À la Rhapsodie Hongroise de Popper dernière oeuvre au programmé M, Lefebvre mit’/en garde auditeur Celu vous semblera de l'improvisation, el vous trou verez de tout dans cetle oeu mais détrompez-.vou celle est di Kopper violoncelliste qui con naissail parfaitement son instru men

lrois autres concerts

l'outes ces explications de M Lelgbvre et le gènie de Guv Fal | lot ont fuit de ce premier concert à St-Boniface des Jeunesses Mu

|

| LU 2/4 n

LE

L)

MAS

2 ie a

“Hongrois de naissance et de jeunesse, Français d'éducation et de culture, Mexicain de coeur et de sensibilité”, tel est Andrés Salgo, l'éminent artiste contem porain qui expose présentement | au théâtre Dominion de Win nipeg quelque 26 lableaux ou peintures à l'huile choisies par mi ses plus grands chefs-d'oeu vre, |

M, Salgo en est à sa 46e ex Lui même aime rappeler qu'il fit sa première tournée d'exposition | à pied, la deuxième à cheval, |

| la troisième à bicyclette et que

cette fois, par courtoisie du gou- vernement mexicain, il peut se

algo, artiste du Mexique, expose 26 de ses tableaux à Winnipeg

lants.

Alors, en 1944, d'après les con- seils de M, l'inspecteur Lockhart qui était anxieux que les hauts grades soient enseignés à l'école publique aussi bien qu'ils l'é- taient dans notre école catholi- que, les Anglais et les Canadiens français s'entendirent ensemble pour avoir le nombre d'enfants [requis pour une école publique let profiter de l'octroi. I1 était entendu que le français et la re- ligion seraient enseignés à nos enfants. \

Depuis ce temps, l'école pu- blique, maintenant consolidée, a toujours progressé dans l’harmo- nie, donnant satisfaction aux An- glais et aux Canadiens français,

Nous espérons sincèrement que, vu/la position. exception- nelle dans laquelle nous nous trouvons, et pour les raisons re- ligieuses, culturelles et sociales mentionnées plus haut, la com- mission voudra bien se rendre à notre juste demande et nous ex- clure de toute grande division scolaire.

De la part de la délégation de Dunrea."”

Au Juniorat | de la Ste-Famille

Succès

| Excellence - du mois de novembre | Méthode: Camille Legal, Noël Boulanger et he 7 Lavack, Syntaxe: Jean-Yves Rochon, Armand St-Hilaire et Raymond Bisson. | Eléments: Georges Legal, Ré- nald Goulet et Denis Grégoire,

St-Jean-Baptiste

M. Henri Vermette, de St-

Jean-Baptiste, est décédé le jeu-let illustrées immédiatement par di 4 décembre à sa résidence, à|les deux artistes, ne pouvaient que

l'âge de 79 ans.

1 laisse dans le deuil trois fils, Léo, Joseph et Raymond; une fille, Mme Victor deux frères, une soeur, Mme Conrad Touthet-

te; 14 petits-enfants et 20 arriè- |

re-petits-enfants,

e service fut chanté le mardi 9 décembre en l'église de St- Jean-Baptiste. L'enterrement eut lieu dans le cimetière

salon mortuaire

ila valeur personnelle des artis- tes que par la qualité des oeu- vres choisies, La première par- tie du programme, dit M. Le- febvre, comprend deux pièces. Dans la première (Seconde Sui- te: Prélude, Tambourin, Air de |Chasse, de Caix D'Herveloy), {l'auteur fait chanter le violon- celle, le piano n'est que pour l'accompagnement, Au contrai- re, la deuxième piètre (Sonate | à Majeure Opus 69, de Beetho- | ven) sera marquée par une con» versation entre les deux instru- | ments. La deuxième partie du | programme permettra au violon- |celliste de faire preuve de la |plus grande virtuosité,

La structure d'une Sonate

Après ces explications très gé- nérales, M, Lefebvre avant chaque pièce des détails instructifs, toujours à la portée de ses auditeurs, C'est qu'il montra de façon très claire {en quoi consiste exactement une {Sonate et comment [mouvements sont en quelque sorte des oeuvres courtes, auto- nomes par elles-mêmes, mais placées bout à bout pour consti- tuer un seul tout. Reprenant en- suite chaque mouvement (Alle: gro Moderato, Scherzo, Adagio,

Allegro), il fit jouer d'abord par |

les deux artistes les premier et

invitera à s’amuser avec ces thè-

mes pour, à la fin, les résumer |

en des phrases brèves,

2e mouvement de la sonate est un jeu de taquinerie, de badi- nâge, et qu'ainsi Beethoven eut recours à toutés les subtilités de l'accent-syncope, du contre- temps, etc, L'Adagio, au contrai- re, contient dans son thème une

Desmarais;|en fut de même pour la Philippe et Wilfrid;|mière oeuvre de la deuxième

D Le ties: disons en À utu | brève "l'était en charge des funéraifles,

note douloureuse, qui corrige la gaieté de l'Allegro final,

Deux pièces exemplifiées

De telles explications, données théoriquement par M. Lefebvre

préparer les auditeurs à oûter les oeuvres de Caix "Herveloy et de Beethoven, Il re-

partie du programme: la Finale de la Sonate pour Violoncelle seul, ‘par io M, Lefgbvre expliqua d'abord, de façon très amusante, ce qu'est ün violon- celle dans chacune de ses par- assant que cette

leçon faisait connaître

ajouta | ainsi |

ses divers)

!se mêlant sans cesse à sa po deuxième thèmes de l'Allegro!pulation et à ses diverses ma Moderato, puis leur demanda de! nifestations.

prouver comment Beethoven les!

Au sujet du Scherzo, M. Le.) febvre fit ressortir comment ce! ] |par exemple, à la vue de cer-|

l'instrument et en même téemps]|grand j

promener en automobile durant | ce voyage qui le mènera de Van- couver à Halifax. Il passe une dizaine de jours a Winnipeg, du 4 au 13 décembre, recevant les visiteurs au Dominion de midi a! 4 h. p.m,, consacrant le reste de| son temps à multiplier les con- tacts dans tous les milieux, ren- contrant spécialement les publi

cistes de la presse (M, Salgo est lui-même journaliste à ses heures, à Mexico), de la radio et de la télévision, Dès son re-| tour à Mexico, il se propose de! faire paraître des articles sur notre pays dans les journaux et revues de là-bas,

| | Sa présente exposition de ta-| bleaux est placée sous le patro | nage du Conseil Mexicain des Relations Culturelles, de l'Uni- versité d'Amérique à Mexico, de l'Institut du Folklore Mexi-| cain, L'artiste présente ici pres-| que exclusivement des scènes de la vie et des coutumes mexicai-| nes vues à travers ses multiples expériences acquises dans son! pays natal (son grand-père et son père étant eux-mêmes des artistes de qualité), en France (où il étudia et travailla pen- dant près de 10 ans) et au Mexi- que il habite depuis 22 ans et qu'il a visité de part en part,

|

M. Salgô, si l'on en juge d'a- près ses tableaux, est à la fois un portraitiste, un folkloriste, peintre social et religieux, et aussi un peintre de fresques dé- coratives, Il est remarquable

tains de ses portraits, comme | ses reproductions sont classi- ques, presque académiques, mais extrêmement vivantes. Car l'ar- tiste, tout en s'attachant pres- que scrupuleusement à la res- semblancé (il dit que c'est la première qualité d'un por- trait), sait interpréter ce qu'il voit, Non une interprétation fantaisiste, extravageante de la réalité (il sn'est pas l'ami des écoles du cubisme, de l'ultra- réalisme, elc.), mais celle qui

Les grandes familles

Chollan Ali, âgé de cent dix ans, et sa femme, Katun, de quin- ze ans sa cadette, ont eu qua- rante-deux enfants au cours des trente-huit premières années de leur’mariage, Entre fils, per fils et arrière-petits-fils, la fa- mille compte aujourd'hui 196 membres, C'est du moins ce que nous appren am', un | o u

Vol, 10, No 7

Iligence | LE COLLÈGE

arret | OTTERBURNE, MAN Il importe d'ajout TT il Lorne Watson, planiste de Bran ! xd SpA LM,08 À eus csponse Pensionnat-Ecole secondaire ile nusical Collège de Brandon est ma Cours général (high school Grades 7 à 12 inel, nifesle digne d'accompugn [a Fallot qu orainair en - manon mens accompagne pur \1 Liste d'honneur Care Un excellent film illus que que les critiques du mond trait joke les revers et les entier plücent à un n | Hate d'honneur pu: | gmbitions d'un jeune instituteur élevé que celui alteint p n Une 11 sion du 14 lecture qui Voil vie en rose dans #a frere n t L} (7! 1e n vmbre ni jon Li icces du 4 di l succes Quelques pièces musicales in gure bien pour li roi itru Grade VII: Terrence Joh n, lterprélées pur les finissantes du concerts promis, Mme Joun M Iüchurd Hu Dennis Den. Viage et pur quelques munis well, mezzo-soprano de Winni-|} lare Vermette. Gilbert Côté. cie du collège ajoutérent une peg, sera l'artiste invité au pro Grade VI: Pierre Léger, Vic. note de gaieté à ln réunion, Le chain concert, Su présence le 4 Ste.Croi Lu Bull. Jeun!£oûter de lu fin et lu visite de décembre dernier à permis à M oul. Cluude lugut üu maison donnérent aux Wisis Lefebvre di présenter Mon Grade IX: Jean-Paul Gotx eus l'occasion de fraterniser Maxwell au eunes audits Charles Beauchamp, Roland ! iv les collégiens comblés qui ont cerlainemen nalt ax dou René Charti Gérard La l'entendre et auront attirer! ymée Gu Vergnano Votre reponse, 5,v,p, d'autre de leurs compagnon 1 Grade Rénuld Parent. Pa \ ioment d'écrire ces îl venir jouir ave eux ce noir là, | Dupui ü4 po vent des familles Cat 1 est consolant que déja Grade X1 Gérald Arvclu envoyé leur réponse à la 241 membre ent IMAC huult \délurd Sénècul, Roger lettre cireuluire du 15 novem- ne 2 ns rs fu De Brunet, Roland Marion, Jacqu A \ quelque jours de la 4 ; . # Audet, Daniel O'Brivr late d'échéance le Principal oublier qu'il en faudrait encore Grade XII: Lorne Berg, Hi fuit dernier appel aux pas au moins 120 autres pour à ue r# nald Trudel, Normand Hébert, rents des élèves et leur demande au meurt pue su pleine vitalite Gérald Roch l'exprimer le opinion sur le NL SAINS STaRÇRI Conduite iJjet propo Grade VII Raymond Bravon Première partie de gouret nier Roger Dupuis Claude Perchotte, Michel Tymecki Li Hoi prirent leurs Grade VI! Guy Leduc, Cluu HA LALLL officiels sur la de Maguêt, Victor Ste-Croix. AI gluce d 1 Juniorut di St-Bonifuce manzar Trudeau û Î \areqi sol 28 novembre, Grade IX: Alexandre Vincent. | Que froid Les junioristes, après Danny Jordens, Louis Roy, Cla-! Une lutte acharné décrochérent rence Musick, Roland Ledoux, | Victoire uu comple de 5 à 4, Charles Beauchamp La REDACTION, Grade X: Rénuld Purent, Paul Dupuis, Arthur Desharnuis, Hen ri Hamonic, Roger Robidoux Grade XI: Alain LeGall, Denis Raffard, Adélard Sénécal, Gil bert Dumont, Roger Brunet, Jac ques Audet Grade XII: Lorne Berg, Ru: nald Fisett Louis Gosselin,

Maurice Hamonic, Gérald Roch,

Joseph Roy Application

Grade VII: Raymond Bracon nier, Gilles Gauthier, Roger Du puis, Richard Hamilton, Denis Denby

Grade VII: Victor Ste-Croix, | Guy Leduc, Edouard Bouvier, | Pierre Léger, Norbert Martel, | Jean Moal, Guy Rheault, Alman zar Trudeau, Pierre Marcotte, |

Grade IX: Jean-Paul Gobeil, Churles Beauchamp, Roland Le- |doux, Richard Marion, Alexan dre Vincent

Grade X: Rénald Parent, Paul | Dupuis Grade XI: Adélurd Sénécal, De- nis Raffurd, Roger Brunet, Alain LeGall

Grade seph Roy,

XII: Lorne Berg, Jo

Réunion de finissants |

|! Le décembre, une | {trentaine d'étudiants et d'étu-| diantes des écoles secondaires | d'Otterburne, St-Pierre et St- im! Malo se réunissaient à l'amphi- théâtre du collège Sous la prési- dence M, l'inspecteur Thomas Whitley pour entendre une con- |

mardi 2

sail penétrer au-delà des pressions exlérieures, du jeu pittoresque des couleurs et des

mouvements, pour aller u | qu'au coeur a re férence de M, Moffatt, recruteur | | dont il cherche l'âme, l'élément | attitré du Département d'Educa- |

d'universel humain.|tion. Le sujet: “Teaching as a!

permanent Il en est ainsi pour ses oeuvres er RE roc pour ses $200,000,000 laissés | par C. F, Kettering |

DAYTON, Ohio

Vraiment, les amateurs d'art

ne doivent pas manquer l'occa-| Feu Char- |

|sion d'aller voir les oeuvres delles F, Kettering, ancien directeur

M, Salgé au théâtre Dominion,!des recherches à la General! Ils pourront aussi y causer avec | Motors, a laissé une fortune éva- | un artiste sincère, honnête, dont |luée à 8200 millions de dollars toute l'oeuvre est un immense ! au moins effort de compréhension et d'4 La plus grande partie de cette | fortune, qui est sous forme d'ac- | M. Salgô est accompagné au tions dans la Kettering Inc, a cours de ce voyage au Canadalété divisée entre la Fondation | de sa fille, Marita, âgée de 16|Kettering et un fonds de fiducie ! ans, Sa femme, Hélène, pianiste ! philanthropique, | de grande réputation, est de-! Charles Kettering est mort le meurée à Mexico et aussi son!25 novembre dernier d'une crise fils étudiant à l'Université cardiaque,

mour de l'homme,

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pour vous? MANITOBA COMMITTE

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ls

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. Père Gérard Leduc, 0.M.I.

DVILLE Le R,.de Vancouver, pour la commu-| L,, curé de |nauté des Oblats et pour la mi- de Fa-\norité de langue française et de Malllardville, en Co. foi catholique de la Colombie, ritannique, est décédé !en particulier pour ses parois: e matin du à dé-|#iens, mbre à l'âge de 47 ans. C'est nurde perte pour le diocèse

, Coderre

M, l'abbé F

piiai de Regina il à subi Une intervention æu Le souper annuel des Au lard à l'école publique n'a pas eu le même succés que les| “années précédentes, à cause du

Le deuil dans lequel sa dis: parition soudaine plonge ses pa | rolssiens est d'autant plus pénible

commencer la construction d'une église et celle d'une école pa

Le regretté disparu un vaillant apôtre de la survi-

Ducharme, curé,

chirurgicale. |portait aussi un pensionnat dirigé du Bon-Pastieur, nique maison d'enseignement su- | périeur destinée aux jeunes Ca-

nadiennes françaises de la Co

e Québec, l'u

themins, Le tirage d'un billet de 85,00 a été gagné par M tuée dans la paroisse dont le P Leduc avait ja charge

Notre-Dame

Fatima, de Maillardville, est du

étaient de 847.00

Le jeune Daniel Coderre est à l'hôpital de Gravelbourg aprés | s'être fait couper une scie mécanique

le deuxième curé de cette Ovila Meunier, OM, curé

Mme Gilbert LI

Bienvenue à la famille Ernest Saint-Hubert

Arguin qui résidera désormais à |

Louis Gaucher. | actuellement à !n construction d'une nouvelle la rue principale

jeunes gens sont à faire la glace pour le eurling bonspliel aura

soins médicaux

Le premier cette semaine

dernière, 11 avait achelé cet ani mal à la vente de bêtes pur-sang!

Marie-Lorraine, fille de M

rents de l'enfant

torin, C,-B., à rendu visite à son! eyronne séjour à l'hôpital de Visite de Mgr Decosse à ses beaux-parents, M Notre-Dame Mile Patsy Jordens, de White R. P. Henri Desrochers, OM, de Gravelbourg, les parolssiens plus spéciale à la fête de l'Im maculée Conception Le lendemain, Son Exec, Decosse, évêque de Gravel bourg, voulait bien assister à la

| parents, en fin de semaine

d'une facon

couvre-pleds mis en loterie mes de l'Autel, et dont le tirage leut lieu le 25 novembre

. Regina Visite du Consul de France le comte Serge de Fleury,

et parler ensuite de la puissan- ce de Marie et de que tous doivent avoir en Elle. | Mur Decosse, tout en télicitant | les paroissiens de leurs efforts | consul de France à Winnipeg, à fénéreux dans l'embellissement | visité de leur église, leur recommanda | francaise de Regina, le mercredi de garder ce bon esprit parois- | soir 3 décembre dernier, et donné | une conférence très enrichissante paroissiens avalent rempli la salle Debray, du Crédit Franco-Cana dien, présenta le distingué confé

la confiance

officiellement

Après la messe, Mgr Decosse |

se rendre à l'école ils furent fccompasnés des trois commis-

Moser, Son joie d'enten-

Arsène Smith et A, Excellence eut * dre les sentiments de reconnais- since, des,dlièves, exprimés en

‘La France esl un pays néces !, disait le stint pape Pie X

d'une audience à un moment

Ce sont ces roles qu'ont teurs de la trop courte conféren

d'expression vivante et sincère |

coeur des visiblement heureuse de cette délicatesse,

pondit aux enfants, Le président, commissaires

quand tout semble aller mal au vérité énoncée n'est-elle pas le pays des résur

rections? 11 montra donc briève- ment comment cette résurrection

dévouement pour l'école et pour programme l'école complè

tement renovée depuis l'été der- | sous la gouverne du général de

Soirée française Le 11 décembre, à 7 h. 30 pm,

les quelque 125 étudiants en con versation française de l'‘'Adult

re.vet les Dames de l'Autel réu

personnalités mentionnées

vous aux paroissiens de langue française de Regina, au |chewan House’, angle Dewdney Ces étudiants ont orga- nisé cette soirée afin d'avoir une

Dans l'après-midi

ER amant aussi de chanter quelques-uns des chansons françaises

programme chants d'ensemble; un é- tudiant projette des photos qu'il a prises lors d'un récent voyage

et Mme Omer Chouinard et :

Le troisième dimanche de

Turcotte, O.F.M. curé de la pa- St-Jean-Baptiste d'ensemble; conversation ,

{ous l'agréable

messe, Félicitations

“La modération

est le trésor

du sage.” VOLTAIRE

Partie de cartes

Le dimanche soir 24 novem:

bre eut lieu, dans la salle par rolssiale, la première soirée ré- créative de la saison, Ce fut un! réel succés, Elle était organisée | ar les gens de langue anglaise,

és vues animées furent mon

itrées, Les grades 2, 3 et 4 de | l'école présenlérent quelques |numéros, ainsi que les ‘’cortets", | [11 y eut aussi du bingo

Souscription | Le dimanche 16 novembre, M [l'abbé Dayon directeur du collège Notre-Dame de Prince Albert, est venu donner un ser imon sur l'AC.F,C,, passant par! les maisons pour recueillir des | souscriptions Haplémes

Le 9 novembre: Joseph.Lue | Edgar, {ils de M, et Mme Hec ltor Grimard, le 26 octobre |Parrain et marraine, Edgar et | Juliette Grimard, cousin et cou |sine de l'enfant

Le 16 novembre: Marc-Char: | les-Joseph, fils de M, et Mme Claude Francoeur, le 8 no vembre, Parrain el marraine, M et Mme Charles Cyr, grands parents de l'enfant

Le 16 novembre: Lucille-Ma: |! rie, fille de M. et Mme Gérard Bisson, née le 4 novembre, Par rain et marraine, M, et Mme Roland Lujeunesse, grands-pa rents de l'enfant

Le 23 novembre; Marie-Anne Loulse, fille de M, et Mme De nis Blais, née le 12 novembre Parrain et marraine, M, et Mme Jean-Baptiste Blais, grands-pa rents de l'enfant

Le 40 novembre: Lise-Louise Rosa-Marie, fille de M, et Mme Albert Blais, née le 18 novem bre, Parrain et marraine, M, et Mme René Gauthier, oncle et}! tante de l'enfant

| |

Gravelbourg

Déces de M, FE, Gauthier

Le mardi 26 novembre, à l'hô pital St, Mary's de Rochester, Minn,, à l'âge de 56 ans, est cédé M, Ernest Gauthier, hom me bien estime à Gravelbourg Il est en 1902 à Sault-Ste Marie, 11 résida à Gravelbourg depuis 1908, N fut vendeur de ble pendant plusieurs années et aussi agent pour la compagnie Massey-Ferguson, 11 avait beau coup d'intérêt dans les affaires de la ville: membre actif des Chevaliers de Colomb et de la Caisse Populaire, 1l encourageait {beaucoup les sports, surtout Île gourel, En 1935, il épousa Mlle Ena Piché, fille de feu M, et! Mme Amédée Piche,

M, Gauthier laisse dans le deuil, outre son épouse, un fils,! |Jean; une fille, Yvette; un frè-| re, Arthur, de Gravelbourg, et} cinq soeurs, Mmes Conrad Pi-| ché, de Gravelbourg, W, Bilo- deau, d'Ollawa, Augustin Mo rin, d'Edmonton, et G, Lavio lette, de Montréal, et la Rév Sr Joseph-Antoine, de Ja pro-! vince de Québec,

Les funérailles eurent lieu le samedi 29 novembre en la ca-| thédrale Ste-Philomène, M, l'ab Richard Larivère, cousin du! défunt, fit la levée du corps, Le! R, P, Paul Piché, OM, son beau-frère, chanta le service, ussisté des RR. PP, Alain Pi ché et Lionel Dumont, ss ne veux, comme diacre et sous diacre, Une grande foule rem- plissait la cathédrale

Les porteurs étaient MM, Ed gar, Francis et Wilfrid Lariviè re, Victor Godin, Bill Gauthier et Lionel Prud'homme, tous cousins du défunt,

Des parents et amis de Sco-| bey, Montana, Ottawa, Ont, Edmonton, Alta, Brandon et| Fannysielle, Man, Regina, La: flèche ét Ponteix, Sask,, assis- taient aux funérailles

Remerciements

Mme Ernest Gauthier et ses enfants, Elzire (Soeur Joseph Antoine), de Rigaud, P.Q., Alma